Ariane Accomplie, roman politiquement incorrect

1-ariane-200-x150Nous avons quelquefois parlé de livres intéressants. Cette fois, nous allons aborder un roman dû à un ami de notre Camorra, un certain « Monsieur Charles » dont le premier roman (désormais indisponible) s’intitulait « Vindicare ». Je sais qui se cache derrière l’anonymat de ce nom de plume, Monsieur Charles, ayant pour ma part contribué à la conception de la couverture de son nouveau livre , « Ariane Accomplie ». Ce titre est disponible chez l’imprimeur (https://librairie.bod.fr/ariane-accomplie-monsieur-charles-9782322553341), et sur Amazon (lien).

La présentation de l’ouvrage explique : « 2052 : Ariane, jeune archéologue, échappe au monde orwellien dans lequel elle vit. Cependant cette échappée n’est pas du goût des maîtres du système qui la poursuivent. De tribulations en rencontres, à la faveur d’un phénomène cosmique, elle finira par être acceptée par une communauté dissidente qui la protègera et au sein de laquelle elle trouvera enfin la paix et la liberté » Toutefois, nous sommes loin d’un roman à l’eau de rose : le bruit et la fureur des Führers du Monde Nouveau -celui de nos détestés « mondialistes »- y sont bien présents, tout comme la dénonciation du wokisme. Bref : c’est un roman politiquement très incorrect. Ce que nous aimons !

Ariane vit dans une « bulle », du genre ville de 15 minutes, découpée en quartiers isolés les uns des autres, car le « vivre-ensemble » entre tribus hétérogènes ne fonctionne pas du tout. La ville est sous le tyrannie d’un podestat délégué par les mondialistes, relayé par des « kapos », petits hommes gris et veules espionnant numériquement tous les habitants. C’est par hasard qu’un de ces Kapos, Enaid, découvre qu’Ariane ne correspond pas à cet « ordre » des mondialistes wokes, et qu’elle est passée du côté de la Dissidence. Il en informe le podestat Areh, qui décide d’éliminer Ariane en l’envoyant dans une mission dangereuse, conduisant une « Greta » électrique, par un itinéraire traversant des campagnes dissidentes où elle pourrait être victime d’une embuscade.

Heureusement, Estelle, agent de la Dissidence, prévient ses amis de la Communauté de Val-Aux-Blés du passage d’Ariane, en demandant qu’Ariane soit sauvée en éliminant ses suiveurs, Enaid et deux Chimères. Opportunément, un formidable orage magnétique détruit les centres électroniques de l’Intelligence Centrale du Monde Nouveau, grille la voiture (électrique !) suiveuse, et aide au sauvetage d’Ariane recueillie dans la Communauté, sous la protection de la Décurie locale. Elle participera à la vie de la Communauté et aux combats que mène celle-ci sous la commandement du décurion Alexis. Les sbires lancés à ses trousses seront éliminés dans un combat épique, elle retrouvera ses parents et finira par accorder sa main à Alexis.

Il est clair que ce nouvel univers est en totale contradiction avec l’idéologie mortifère du Monde Nouveau de Davos, et que les personnages importants de la Communauté instruisent Ariane des us et coutumes locales. Notamment, dans ce rôle, nous trouvons le décurion Alexis qui instruit militairement Ariane, le maire Martial, ancien chef de guerre, et Isabelle, veuve de guerre. Tous lui apprennent la règle du bon sens qui gouverne les Communautés dissidentes. Nul doute que ces principes pourraient servir aussi dans l’avenir, lorsque nous aurons une France à reconstruire.

Ce roman n’est pas sans parenté d’inspiration avec « La Nouvelle Rome » de Paul Farnet (édité par Terre de France), sauf qu’ici la rupture est violente et la guerre de libération bien présente, avec l’appui logistique secret de la Russie. De quoi donner des boutons aux habituels russophobes de l’occident collectif.

Indice de qualité : la livraison d’Ariane Accomplie est scandaleusement annoncée dans un délais de 3 à 7 mois par  Amazon, ce qui marque un ouvrage dérangeant pour les mondialistes. J’ai personnellement subi presque un an de délais de livraison de « The Real Anthony Fauci » de RF Kennedy, avec des rappels essayant de me faire changer d’avis quant à la commande. Ne vous laissez donc pas décourager, et commandez plutôt le livre à votre libraire ou chez Books on Demand où il est immédiatement disponible.

Ange Gabriel alias « Satellix Géodésix » sur X

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L’assaut populaire

0000256-ni-europe-ni-otan-smallPoint de vœux cette année, sauf pour toi-même, lecteur et pour ta famille. Pour la France.. Ah ! Qu’elle survive aux méfaits de la caste politique du parti de l’étranger, c’est tout ce que nous pouvons espérer si le peuple maltraité se décide enfin à faire parler la poudre.

Cependant l’observateur attentif, sachant se garder de prendre ses espoirs pour la réalité, ne manquera pas de constater que le monde se situe aujourd’hui sur la ligne de partage des eaux entre le déversoir du mondialo-wokisme et celui, tant désiré, d’un retour au bon-sens naturel.

Essayons de faire la part des choses. La France est dans un état paraissant désespéré, comme elle en connut tant depuis le honteux traité de Troyes (21 mai 1420) lorsque le roi fou Charles VI et l’infâme Isabeau de Bavière ont déshérité le Dauphin. La France était vendue aux godons et à leurs complices Bourguignons. Le parti de l’étranger n’a, depuis, jamais désarmé, et nous le retrouvons au pouvoir avec un président psychopathe qui a dépecé les secteurs stratégiques de l’industrie en les vendant à l’étranger, et ne rêve que d’une fédération totalitaire gouvernée par des technocrates ubuesques. L’Europe ! L’Europe ! L’Europe ! ainsi répétait le traître Mitterrand sautant sur son siège comme un cabri.

Mais cette « <europe> n’est qu’une construction juridique totalitaire, porteuse de guerre et de ruine comme nous pouvons le constater dans son engagement délirant en faveur du « proxy » ukro-nazi. Elle essaie de tuer les Nations. Heureusement, des chefs d’Etat, Orban, Fico, s’opposent à cette aventure imbécile et meurtrière. Et des peuples disent « NON » comme le peuple Roumain, comme le peuple Moldave, comme le peuple d’Azerbaïdjan. À chaque fois, la caste répond par l’ingérence active, aidée par des organisations fascistes de milliardaires tels l’abominable Soros (décoré de la merdaille de la « Liberté » par le sénile Biden) ou l’infect Gates, soutenus par des traîtres stipendiés aux leviers du pouvoir.

Mais cela pourrait connaître une fin en 2025. Depuis décembre dernier, les cloportes s’agitent -certains se métamorphosent- dans le perspective de l’arrivée moins de Trump que de celle de son équipe savamment choisie, dont Elon Musk et RF Kennedy, qui entendent bien nettoyer les écuries d’Augias en y faisant passer des fleuves. En outre, il est clair que la guerre de « proxy » ukro-otanienne contre la Russie est perdue, et que la Russie est maîtresse du jeu. Ne nous étonnons donc pas que les ennemis mondialistes de la civilisation cherchent à semer encore plus le chaos, comme ils le font au Proche-Orient.

Ne nous faisons pas d’illusions ! Nous l’avons écrit, Trump n’est pas le Messie, et ce n’est pas de lui qu’il faut attendre la Libération. Il roule pour son pays, et nul ne saurait le lui reprocher, mais il essaiera de sauvegarder ce qu’il pourra de l’hégémon Yankee. Il aura en face de lui les BRICS qui se renforcent (voir la conférence de Kazan). Espérons que la diplomatie -voire le « business »- l’emporteront sur le « big stick ». Toutefois, la Libération ne viendra que de nous seuls !

Des cloportes quittent leur repaire, disais-je. Nous apprenons que le calamiteux Trudeau a démissionné. Fort bien, s’il est remplacé par Poilièvre, qui semble un homme de bon sens. En Géorgie, l’abominable agent de l’occident a été virée. Bien ! Papa Scholtz démissionne en Allemagne : parfait, s’il ne le remplace pas, par un de ces tours de passe-passe dont l’occident collectif a le secret, un forcené euro-atlantiste. Personnellement, comme Elon Musk, mes préférences vont à l’AFD associée à d’autres souverainistes. La construction totalitaire de l’UE vacille, et nous voulons sa destruction complète.

Tout cela, c’est bien beau. Mais la France, sous le socialisme depuis 1792 ? Quatre « gouvernements » en un an, l’actuel étant dirigé par un fossile vivant de la IVe République, fainéant et corrompu, avec une flopée de ministres incompétents, pervers et idiots, une Assemblée bordélique livrée au caprices des « apparentements », des tas de règlementations absurdes comme ces ignobles Zones de Féroce Exclusion inspirée de la vermine escrolo, des agriculteurs qui essaient désespérément de défendre leur métier et la nourriture des Français, et contre qui un salopard de Retaillaud envoie les milices blindées gouvernementales.. La France néantisée diplomatiquement, chassée d’Afrique, ridicule aux yeux des pays sains du monde. Je ne ferai pas l’immense liste des saloperies et sagouineries du régime, vous la connaissez.

La caste et ses maîtres de l’UE vont s’accrocher à leurs vieilles lunes, pour essayer de résister à l’esprit du temps qui est désormais vers un retour aux traités de Westphalie avec un petit air de liberté montant des peuples. Notre seule chance de salut est de faire sauter ce régime, sans inventer une VIe république  qui serait un retour aux impuissances de la IVe. Mais pour  cela, il ne faut pas compter sur le vote, qui, l’expérience le prouve, est systématiquement truqué dans le catalogue des impétrants et dans le comptage des suffrages. Il faut consentir à l’insurrection, à ce populari impetu qui n’exclut pas de faire parler la poudre.

Sacha

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Bravo Trump, mais ne soyons pas « trumpomanes »

citizen-trump-smallBon : Donald Trump a non seulement été élu triomphalement, mais il semble qu’il fasse le « Grand Chelem » en conquérant la majorité du Sénat et de la Chambre des représentants. Nous ne pouvons qu’être contents pour le peuple des États-Unis. En effet, les Démocrates ont dérivé au loin en direction du totalitarisme : censure, propagande éhontée, perversion de l’idéologie des « droits-de-l’homme » (LGBT, trans, wokisme, drogue), climatolâtrie désastreuse, abandon des intérêts du peuple, immigrationnisme échevelé, manipulation des processus démocratiques, complicité criminelle avec la « Big-Pharma » et confiscation des libertés fondamentales. C’en était trop, il fallait que le peuple édifie un barrage contre ce flot de perversion totalitaire.

Les résultats du vote constituent la preuve qu’un sursaut salutaire a été accompli. Il semble que l’administration Trump aura à régler le plus rapidement possible une crise intérieure au pays, économique, certes, sociologique aussi car il semble que le peuple soit partagé entre patriotes « conservateurs », orientés vers la famille, la morale, le pragmatisme qu’implique la réalité, et, en face, les « mondialistes » progressistes, wokes. À cela s’ajoute une dette immense, peut-être impossible à réduire. A priori, disposant des deux Chambres, l’administration Trump bénéficierait d’un boulevard politique pour réaliser ses projets ; mais l’état profond (ou les états profonds selon Jean Lopez) ne s’est pas évaporé soudainement, il perdure, ayant implanté des métastases partout dans les institutions. Pour nettoyer le marais, ou les écuries d’Augias, il faudra à l’administration Trump la force d’Hercule. Souhaitons-lui de pouvoir détourner l’Alphée et la Pénée pour cette tâche.

Cependant, nous demeurons stupéfaits en constatant cette espèce de « Trumpomania » qui s’est emparée des patriotes autres que nous depuis la nuit du 6 au 7 novembre. Ils semblent avoir l’impression que la victoire du candidat Républicain va faire tache d’huile et que tout soudain problèmes et conflits de par le monde vont s’estomper par la grâce de L’Oncle Donald. L’adversaire certes demeure en ses délires, mais l’on dirait qu’un délire inverse s’empare de notre camp, il suffit d’écouter ce qui se dit sur les réseaux sociaux et les chaînes Internet de réinformation.

Autant mettre nos amis et alliés en garde : cessez de rêver, Trump n’est PAS le Messie, il n’est pas là pour rédimer l’humanité. C’est un homme d’État soucieux avant tout de son pays et de son peuple, ce que nous ne lui reprochons pas. Dans son slogan, « make America great again » s’inscrit parfaitement l’esprit de la domination Américaine depuis 1945 avec, sous-jacente, la fameuse « Destinée Manifeste » évoquée en 1845 par un journaliste, John O’Sullivan, pour justifier l’agression à venir contre le Mexique. C’est un messianisme propre à cette Nation se croyant investie d’une mission providentielle, mais dissimulant des intérêts de puissance qui se manifesteront ensuite par des tentatives de domination mondiale sur les pays réputés « barbares ». C’est-à-dire tout le reste du monde. L’infra-culture d’Hollywood et l’ « American way of life » ne sont que des leurres pour asseoir la puissance impériale.

Or c’est précisément cet impérialisme qui est à l’origine de conflits tels que l’on peut en discerner aujourd’hui. Les efforts des BRICS visent précisément à instituer et constituer un autre ordre mondial entre Nations dans le même esprit que celui ayant inspiré les Traités de Westphalie (1648). L’unipolarité mise en œuvre par les États-Unis et leurs satellites après l’effondrement de l’URSS est désormais contestée. Notamment l’unicité du Dollar comme monnaie d’échange internationale et l’exportation du droit des États-Unis ne sont pas plus supportables que les incessantes ingérences états-uniennes dans la vie des Nations.

Or Donald Trump entend bien préserver la suprématie du Dollar dans les échanges mondiaux, cela veut dire qu’il souhaite conserver un levier de puissance auquel il est difficile de résister sans s’exposer à des sanctions appauvrissant les États qui ne viendraient pas à résipiscence. Il faut à un impérialisme du temps, des défaites voire des humiliations pour abandonner ses velléités de domination. Les États-Unis n’en sont pas encore là. C’est pourquoi nous ne sombrons pas dans la « trumpomania » et pensons, comme les Russes et probablement les Chinois, qu’au-delà des politesses protocolaires, il serait décevant voire dangereux de s’en tenir aux professions de foi du Président Trump, et qu’il est plus réaliste d’attendre ses actes pour en tirer des conséquences diplomatiques, économiques et stratégiques.

Certains patriotes attendent la chute de l’Union Européenne comme si tout soudain la caste de Bruxelles et sa clientèle mondialiste allaient s’égayer dans la nature, épouvantés par le spectre Trump. Dangereuse illusion ! Rien ne permet de penser que ces gens-là seraient disposés à abandonner leurs dérives totalitaires fédéralistes, leurs délires politiques et sociologiques, leur pouvoir absolu. Il est intéressant de constater qu’ils se rendent à Belgrade, pour rencontrer Viktor Orbàn qu’ils vouaient hier encore aux gémonies, tout simplement parce que le Premier Ministre de Hongrie aurait l’oreille de Donald Trump. Pure manœuvre dilatoire. Peut-être les États-Unis les mettront-ils au pied du mur en affaiblissant l’Otan (nous ne croyons pas à la disparition totale de cette organisation agressive), mais alors nous serions prêts à parier qu’ils ressortiraient des cartons moisis des années 50 du XXe siècle le projet de Communauté Européenne de Défense, combattu par le Général De Gaulle en son temps. Autrement dit que les européâstres durcissent leurs projets fédéraux et tentent de faire de l’UE un sous-empire agressif bien que ruiné économiquement et nain diplomatique. De même le mondialisme et le wokisme de cette Europe ne s’éteindront pas d’un coup ! C’est pourquoi nous ne devons pas baisser les bras, devons œuvrer encore et toujours plus activement à en finir, nous seuls patriotes des pays d’Europe, avec cette entité monstrueuse. La victoire ne viendra pas d’ailleurs.

Quant à l’Ukraine, penser que la question serait réglée en vingt-quatre heures, c’est pure folie. L’Occident collectif est à l’origine du conflit, avec le projet de démantèlement de la Fédération de Russie et la mainmise sur les richesses de la Russie, tel qu’il est exprimé dans les plans de la Rand Corporation. Il est en passe d’échouer dans sa tentative, et il serait naïf, dangereusement naïf, de croire que la Russie accepterait soit un gel du conflit à la Coréenne, soit de renoncer aux oblasts russophones désormais incorporés par référendum et acceptation par la Douma à la Fédération de Russie. Sans doute Donald Trump en est-il conscient, et sait-il que les négociations seront très difficiles et longues. Tout ce que l’on peut espérer étant qu’en regard les va-t-en-guerres de l’UE ne deviennent pas plus déments qu’ils le sont à la perspective de la paix.

Ce ne sont là que des exemples de problèmes graves, et n’imaginons pas par ailleurs que Trump s’accommodera des BRICS sans chercher à les diviser. En conclusion, réjouissons-nous que le peuple Yankee ait enfin trouvé un homme d’État à la hauteur, mais, amis patriotes, remettez les pieds sur terre, ne soyez pas « trumpomanes », encore une fois ce n’est pas l’avènement du Messie qui s’est produit le 5 novembre. Le chemin vers la liberté, la souveraineté et l’indépendance reste encore à parcourir.

Pour notre « Camorra »,

L’Imprécateur.

 

 

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Vers la lutte de libération !

L’élection-référendum de Moldavie est un cas d’école pour qui observe comment l’hégémon Américain et ses valets de l’UE éludent la démocratie pour imposer leurs agents aux peuples asservis. François Asselineau détaille la manœuvre :

Naturellement, le chœur des pintades de l’UE et tous les médias pourris de l’occident collectif entonnent le péan habituel : « La Russie est intervenue pour acheter des voix ! » Salauds criminels ! Menteurs ! Nous pensons, nous, que la vérité est celle-ci : comprenez enfin que les potentats de l’occident collectif sont des agents de l’étranger, qu’ils ne vous veulent aucun bien, et qu’ils emploient une démocratie-Potemkine pour vous faire croire que vous avec choisi vos gouvernants, le « destin » de votre peuple, VOTRE destin, alors que tout est le produit d’une machination totalitaire. Autrement dit : vous vivez dans le monde du mensonge, les votes sont truqués, on vous trompe pour vous asservir.

Nous le disons depuis longtemps : pour recouvrer votre pouvoir inaliénable, pour sauver votre pays, votre famille, vous ne pourrez jamais plus recourir à des voies « légales » qui n’existent plus. La Résistance, malgré tous les risques et sacrifices qu’elle comporte, est votre dernier espoir.

Sacha, pour le collectif ChezRaoul.

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Remettons l’élection US à sa juste place

OLYMPUS DIGITAL CAMERALes médias de grands chemin et même ceux de la Dissidence sont obnubilés par l’élection Américaine : qui l’emportera de la dinde woke ou de l’homme d’affaires. Il n’est pas sûr que ce soit le cas de la Russie, de la Chine, de l’Inde, en général des pays de la nouvelle constellation BRICS, préoccupés à commercer entre eux. Non qu’ils jugent l’élection Américaine sans importance, mais ils la remettent à sa place. Car Harris ou Trump, si ce n’est pas tout-à-fait la même chanson, c’est au fond la même musique : conserver si possible l’hégémonie des États-Unis, ce que l’Asie et le Sud n’apprécient guère.

En Occident collectif, c’est fondamentalement la même sauce, notamment dans ce Goulag qu’est devenue l’UE, entièrement dominée par l’ « ami » Américain. Chez les européâstres, l’inquiétude est grande car le wokisme peut perdre l’élection, Trump siffler la fin de la récréation dans la guerre Ukrotano-Russe, renvoyer l’agressive Otan à la niche, et s’occuper des affaires intérieures des États-Unis en premier lieu. Si cela arrive, voilà nos européâstres orphelins, obligés de se débrouiller avec les conséquences de leur suivisme, la récession et la chute de leur monnaie de singe. Avec, pour nous autres Dissidents, la perspective éventuelle de voir l’état-profond Américain trouver refuge dans sa colonie ouest-européenne et sévir contre nous tout en préparant sa vengeance.

Certes, nous préférons Trump à l’idiote, laquelle ne serait qu’une marionnette entre les sales pattes des Obamaniaques et des néo-cons (plutôt archéo-cons, car leur doctrine ignore la réalité du monde nouvellement reconfiguré). Toutefois, il serait idiot et dangereux de considérer Trump comme le Grand Sauveur. Peut-être est il suffisamment avisé pour comprendre qu’il faut négocier avec Vladimir Poutine et Xi Jinping, mais il est inconditionnellement soutien d’Israël même si ce pays est gouverné par un psychopathe, et il voue une haine destructrice à l’Iran. Ce n’est pas une situation d’avenir ! Mais surtout, il entend bien faire de son mieux pour sauver l’hégémonie du dollar, donc le pillage des pays asservis à cette monnaie désormais de singe, et l’exportation insupportable des « lois » Américaines (appelées « droits ») qui permet d’exercer un chantage sur les pays en question.

Nous ne pouvons pas reprocher à Trump de servir son propre pays, ni refuser de lui souhaiter plein succès en politique intérieure (si toutefois les démocrates enragés et l’état profond ne réussissent pas à faire obstacle à son nettoyage des écuries d’Augias), mais il est souhaitable, s’il vient à être élu, de lui rappeler que de son slogan « Make America Great Again ! » ne doit pas s’ensuivre d’une politique hégémonique sur le reste du monde, sinon la paix et l’équilibre mondiaux seraient gravement compromis.

En somme, « Make American Great Again » :  So be it! But not the greatest, not the prima inter pares, not the suzerain, strictly on a par with all the others.(1) Car nous ne sommes plus en 1945 ni en décembre 1991. La donne mondiale a changé.

Raymond

(1) Soit ! Mais pas la plus grande, pas la prima inter pares, pas la suzeraine, strictement à égalité avec tous les autres.

 

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Éléments de verbiage ministériel

Hier, l’ami Sacha vous a expliqué ce que sont des éléments de verbiage, ce salmigondis de fragments de baratin que les politichiens assemblent à leur guide pour dire exactement les mêmes choses mensongères.
En écoutant ce matin l’excellent Jean-Dominique Michel, j’ai trouvé une séquence très illustrative de ce phénomène, que Jean-Dominique a fort à propos intégrée à sa vidéo.
Le montage est l’œuvre d’Iva Masson, abonnée de X, qui dit  des choses très intéressantes et dont je suis devenu « suiveur » attentif. Je vous recommande ses messages sur X. J’ai limité la lecture à la durée de la séquence, mais bien entendu je recommande la lecture intégrale de la vidéo de Jean-Dominique.

Au passage, ces euro-atlantistes osent se réclamer du « gaullisme » ! Si là-haut le Général entend cela, il doit bien s’amuser de voir les geais essayant de se parer des plumes du paon !

Antonio

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Éléments de langage, éléments de verbiage

cheveche-athena-smallUn petit malin s’est amusé à reprendre les discours d’installation des premiers ministres successifs. Beaucoup ont été surpris de constater que tous utilisent ce que l’on appelle les mêmes «éléments de langage ». Moi pas du tout, sachant que les politicards sont incapables de rédiger eux-mêmes leurs discours et font appel à des rédacteurs, sortes de robots de jactance, et cela s’aggravera s’ils font appel aux logiciels tels ChatGPT.

Ce que je conteste, c’est que l’on parle d’éléments « de langage » alors qu’il s’agit d’éléments de propagande, ou plus prosaïquement d’éléments de verbiage.

Car les éléments du langage, cela n’existe pas physiquement comme existent les briques du Lego. Il s’agit simplement de rapports formels permettant de constituer abstraitement du Signe au sens saussurien du terme. Il y a des traits qui rendent distincts par exemple le [f] et le [v] comme sourde/sonore et les opposent également à tous les autres éléments du registre ; ces traits sont des éléments différentiels. Et ils entrent dans les phonèmes, éléments séquentiels, de telle façon que l’on peut formellement contraster le « feu » du « vœu » ou le « fer » du « verre », par exemple. Cela c’est pour le signifiant.

Pour le signifié, l’élément différentiel est le sème qui définit des valeurs minimales oppositionnelles, exclusives les unes des autres. Par exemple « je les vois » et « je ne les vois pas » opposent l’affirmation à la négation (respectivement zéro et zéro / négation (ne) et négation(pas)). L’élément séquentiel, le segment -improprement appelé « mot »- est l’unité indécomposable mais qui peut être constituée de fragments : « livre » est un fragment non-énonçable seul, il est sous la forme d’un « mot nominal » : le livre, ce livre, un livre, pour ce livre-là etc.

Voilà les éléments de langage, purement formels, immanents car ils ne dépendant pas du dictionnaire d’une langue donnée mais se retrouvent sous les espèces des réalisations dans toutes les langues (rhétorique). Tous les hommes font du signe, donc des éléments de langage, mais ils les réalisent différemment dans la parole. Cela demanderait évidemment un très long développement, mais mon but est de détruire la sotte formule des « éléments de langage ».

Si je parle « d’éléments de verbiage », c’est parce que la rhétorique des personnages appelés très improprement « communicants » (en fait leurs postures sont tout sauf de la communication, ce n’est pas même de l’interlocution ) se réduit à une combinatoire que sait désormais faire ChatGPT -lequel ne fait pas de Signe- de fragments rhétoriques acceptés piqués dans le dictionnaire d’une langue. Exemple : le même verbiage en rouge peut être complété en vert ou le vert peut venir d’un autre personnage formaté à l’exemple du rouge.

 illustration-exemple

 Sacha

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Pas de solution légale à l’équation politique tordue

mon-oeilLe globalo-fascisme est à l’offensive partout dans l’occident collectif. Chez nous, outre son caractère odieux, il revêt des aspects grotesques au point d’être cocasses.

Par exemple l’affaire Durov. Je ne sais pas si elle fait l’objet d’intérêt chez les déblatérroristes sévissant sur les chaînes TV des médias de grands chemins, mais elle tient encore la vedette sur les réseaux « sociaux ». Mon hypothèse est qu’il s’agit d’un coup monté avec l’aval et la complicité active du malfaiteur de l’Élysée. Le but étant probablement d’obtenir, pour le compte de la criminelle CIA, les clés de codage de Telegram. Accusations de ceci, de cela, de complicité de Durov avec les malfaiteurs utilisant son système – comme si SFR de Niel n’était pas utilisé par des réseaux pédophiles- pour essayer de camoufler des projets tellement cachés qu’on les aperçoit à l’œil nu.

D’une certaine manière, c’est à rapprocher de l’ignoble offensive d’un juge Brésilien contre le réseau X d’Elon Musk. Ce juge, par sa tronche, ressemble à Mussolini ou au juge De Moore, dans « Qui veut la peau de Roger Rabbit ». C’est que le régime gauchiste -donc fasciste- de Lula n’admet pas la critique ! Donc on interdit la plateforme où s’exerce encore l’autonomie d’expression. Mais l’on peut tout aussi bien penser au commissaire politique de la commission européâstre, Breton le naufrageur d’entreprises, qui, lui aussi, s’en prend à X. Nous pourrions multiplier les exemples. Dans sa déconfiture, l’occident collectif voit que son projet totalitaire de gouvernement mondial est en passe d’être vaincu, et il se défend unguibus et rostro. Ils appellent cela « démocratie ».

Naturellement, le très prévisible Foutriquet élyséen joue pleinement son rôle destructeur dans ces manigances mondialistes.

Mais chez nous, la farce commencée avec la dissolution de l’assemblée et poursuivie par des élections à « combinazioni » très IVe République (front crapulaire, « barrage » de castors écervelés) continue. Le petit Calligulaminus prend son temps pour nommer un premier sinistre. Le problème étant de fabriquer de bric et de broc un gouvernement qui ne serait pas illico viré par les députés. Donc, des faux-semblants, des manigances, une procrastination de façade. Et le chantage à la destitution de LFI qui voudrait imposer la Lulu de chez Hidaldingo, parangon du wokisme et de l’euro-atlantisme, comme premier sinistre.

Prenons les choses autrement. Il n’est nullement stipulé dans la Constitution que le président est tenu de nommer premier ministre quelqu’un de la majorité de l’Assemblée, même si, évidemment, l’appui du Parlement lui faciliterait la tâche. Il n’est même pas stipulé qu’il choisisse un élu. Ce qui, bien sûr, avec un tyranneau euro-atlantiste, reviendrait peut-être à choisir un eurocrate qui composerait un catastrophique « gouvernement technique ». Lequel, dans la pétaudière actuelle, se ramasserait une motion de censure au premier projet de loi.

Donc en apparence, la marge de manœuvre du Foutriquet  est bien ténue. En vertu de quoi, ledit tyranneau emploie une détestable méthode de IVe république : il « consulte » … les chefs de partis. Or dans l’esprit de l’inspirateur de la Constitution, le Général De Gaulle, le gouvernement doit être celui de la France, et non celui des partis. Il le faisait bien sentir aux ministres. Car, quel qu’il soit, un parti n’est que l’émanation d’une classe ou d’une coterie, il est le porte-parole et le quémandeur au nom d’intérêts strictement catégoriels. La France est bien au-dessus de ces minables prétentions déjà dénoncées par Bastiat dans La Loi sous le terme « d’égoïsme intelligent » et  de « fausse philanthropie ».

Pour le premier, « L’histoire en rend témoignage par les guerres incessantes, écrit Bastiat, les migrations de peuples, les oppressions sacerdotales, l’universalité de l’esclavage, les fraudes industrielles et les monopoles dont ses annales sont remplies. » Quant au second, « Lors donc que la Spoliation est organisée par la Loi, au profit des classes qui la font, toutes les classes spoliées tendent, par des voies pacifiques ou par des voies révolutionnaires, à entrer pour quelque chose dans la confection des Lois. Ces classes, selon le degré de lumière où elles sont parvenues, peuvent se proposer deux buts bien différents quand elles poursuivent ainsi la conquête de leurs droits politiques : ou elles veulent faire cesser la spoliation légale, ou elles aspirent à y prendre part. » L’observation du chaos d’aujourd’hui montre que les aspirations des partis sont égoïstes, chez les mondialistes, faussement philanthropiques chez leurs adversaires tout aussi mondialistes qu’eux.

Bref : sans doute le tyranneau élyséen cherche-t-il comment noyer le poisson, mais s’il cède à un parti ou à une « combinazione », une coalition provisoire de partis, ou s’il choisit un gouvernement d’eurocrates, il choisira pour nous entre peste et choléra. Coincé !

Mais alors, la destitution ? C’est une voie possible. Et sans aucun doute, nous serions tous contents de le voir partir. Le problème est « après ». Il ne manque certainement pas de candidats pour le remplacer, les vautours avides de pouvoir font des ronds dans le ciel, par exemple l’ancien premier sinistre de l’arnaque « covid », fort insistant. Mais cela ne fait pas l’affaire de la France. L’ « après » ne s’improvise pas, il faut un président au-dessus des partis, ayant de la droiture et un projet pour la France, quelqu’un pensant aux générations prochaines et non à sa réélection et aux intérêts partisans. Bref : un homme d’État. Il n’y en a dans aucun parti ayant des députés, et le petit nombre d’hommes répondant au critères de l’homme d’État sont en-dessous de l’horizon, occultés par la propagande des médiastres, attendant l’appel du peuple. Je consens à ce que le tyranneau soit démis, mais nous devrions appréhender la suite, dans la conjoncture actuelle.

Nous connaissons tous les maux qui nous frappent : le totalitarisme, la dette, la menace de mise en esclavage par l’UE et les mondialistes, la guerre et ainsi de suite. Et personne, dans la caste politichienne, n’est en mesure d’y faire face. Je ne vois que des hommes de parti, ne pouvant qu’empirer la catastrophe. Sale temps, si le peuple ne se réveille pas et n’appelle pas au pouvoir un homme d’État qui, opportunément, se ferait connaître.

Pour le moment, le discriminant de l’équation est inférieur à zéro : il n’y a pas de solution légale.

Raymond.

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Paradoxe d’Épiménide et enfumage

cheveche-athena-smallBon.. L’hypnose des Jeux Macrono-Hildaguiens se dissipe peut-être peu-à-peu. Inutile de revenir sur les divers scandales, blasphèmes, mensonges propagandistes de ce barnum des « circenses » sans « panem », tout a été dit sur X et GETTR. E finita la comedia.

Inutile de développer sur le coup d’État permanent de Macron, les couinements du conglomérat gauchiste des « castors » essayant de faire nommer « premier sinistre » des interlopes de leur camp. Là aussi, tout est connu et le sage sait très bien que les euro-atlantistes et leurs maîtres milliardaires globalo-fascistes aiment l’aphorisme de Musset : « qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ». Peu importe le ministre pourvu que la politique reste fondamentalement identique. Trilatérale, Bielderberg, Davos obligent.

Je ne commenterai pas per se l’affaire de la vérole variole simiesque – dite plaisamment MoneyPox, c’est manifestement une resucette de l’arnaque « covid ». Ce qui m’intéresse est la mise en scène et le livret. Lors de l’arnaque « covid », la mise en scène était soignée, faux hôpitaux archi-pleins, malades frappés agonisant en pleine rue, graphiques élaborés à partir de statistiques bricolées, et ainsi de suite. Quant au livret, il était débité par des histrions de plateaux enrôlés par les médias de grands chemins. Ils refont le coup : « Gwendoline a les yeux verts » remplace « Isabelle a les yeux bleus ». On ouvre les placards, on ressort les vieilles bricoles corrompues comme Lacombe, on les époussette, ripoline, et, repimpées, on les relance à mentir sur les plateaux-pas-beaux.

Mais il y a tout de même un hic : l’OMS de Gates n’apparaît plus guère comme le parangon de la Science médicale (qui n’existe pas, car la médecine est un art, pas une science), et les faits, têtus, remontent à la surface sustentés par les circuits d’informations parallèles. Tout comme les bobards LCI de  l’OTAN ne font plus guère recette.  Le mensonge, cela fonctionne un temps, mais tôt ou tard il est rattrapé par la patrouille, par la vérité empirique des faits.

Mais voilà que je lis, sur X comme sur GETTR, que  les virus n’existent pas et que personne n’a marché sur la Lune. Diantre ! Concernant la Lune, j’avais depuis longtemps que des hurluberlus ayant un point commun avec cet astre -par exemple une de nos actrices gauchistes- avançaient cette thèse. Quant à la non-existence des virus, j’en tombe sur le séant lorsqu’elle est énoncée par des internautes habituellement « raisonnables ».

Ce n’est pas parce que l’on nous a bassinés et manipulés avec le SARS-Cov-19 que ce machin ne serait pas un virus. Son génome, et celui de ses descendants mutants, ont été séquencés systématiquement avec des outils précis et puissants. Son mode d’action et de transcription ont été décrits. S’il n’existe pas, alors, à quoi riment les séquenceurs ? Ces machines n’existeraient-elles pas, ou seraient-elles piratées comme de vulgaires machines à voter ? Moi qui ai étudié la biologie moléculaire, je sais bien que nos connaissances ne cessent d’évoluer en ce domaine et que vérité d’aujourd’hui sera erreur demain, mais enfin je vois bien qu’il y a un machin à brins d’ARN qui joue les pique-assiettes dans le ribosome cellulaire. Ou alors un habile charlatan m’en aurait-il persuadé ???

Bref : il y a là un hic. Quant à l’évènement interplanétaire du 20 juillet 1969, je m’en souviens, je l’ai vu sur le téléviseur de mon voisin, comme j’ai suivi sur celui de ma voisine l’odyssée d’Apollo 13 quelques années après. On me soutient merdicus mordicus que c‘était du flan et que tout avait été fabriqué en studio. Il y a même un documentaire, American Moon, qui essaie de démontrer cette thèse. Fort bien : après tout, en 1969, les Soviets dominant la course à l’espace, les Américains, au lieu de réaliser techniquement le pari de John Kennedy, auraient pu monter une superproduction hollywoodienne. Mais enfin, la fusée Saturn V a bien existé, on peut en voir une version au U.S. Space and Rocket Museum. Ah, me dit-on, et si c’était un faux ? Eh bien il suffit de disséquer la fusée, et on saura ! Comme pour le sexe de Brichel : l’analyse ADN dirait sûrement si c’est une XX ou un XY. Il faut être empirique pour vérifier les théories.

En fait, on ne connaîtra la fin de l’énigme que lorsque l’Homme ira -ou reviendra- sur la Lune, ce qui ne saurait tarder. Car les délires sur la consommation des ergols durant le voyage, ou encore sur la conversation téléphonique de Nixon avec les astronautes relèvent essentiellement, eux, de l’ignorance : les premiers parce que ceux qui les profèrent ignorent tout des lois de la gravitation, les seconds ne savent rien de la technique des transmissions radio. Il ne faut pas exagérer dans la sottise. N’empêche qu’il il a là aussi, dans cette aventure lunaire, un hic.

Le hic devrait conduire à l’attitude intellectuelle du sceptique : l’ἐποχή (epokhê) ou suspension du jugement, au moins jusqu’à administration empirique de la preuve. Mais s’il conduit à ne pas agir, il devient nuisible sauf en matière de morale où « dans le doute il vaut mieux s’abstenir » au lieu de risquer le péché.  Mais dans le cadre la guerre de « cinquième génération », où la guerre n’est pas seulement l’affrontement sur le champ de bataille, mais la fabrique du consentement par violation de l’esprit, le doute doit être combattu par ceux qui ont intérêt à asservir les masses.

L’esprit qui doute ne gobera pas les bobards genre « covid », « variole du singe », « dérangement climatique » et tutti quanti car il constate empiriquement l’usage politique totalitaire qui en est fait, l’inanité réelle des effets annoncés et la réalité des effets inavoués. C’est évidemment plus délicat lorsqu’il s’agit de matières scientifiques ou techniques, où l’obtention de la preuve demande un appareillage complexe dont l’absence hic et nunc peut aussi en différer l’administration. Voilà des domaines propres à fournir des hics dédiés à, tout simplement, faire douter du doute !

Il serait trop long de développer ici cette hypothèse, qui demande certainement une réflexion plus approfondie. Prenons donc un exemple imaginaire. Les collaborateurs de Herr K.S. constatent que décidément, de moins en moins de Déplorables (© Hillary Clinton) gobent le roman officiel -covid, vérole simiesque, vaccins ARN, dérangement climatique… – et que des faits viennent prouver en abondance que ces romans ne sont que mensonges.

Il faut donc combattre l’influence des « complotistes » qui alertent le peuple. Bien sûr les zélotes de K.S. vont essayer la censure, mais, Internet aidant, celle-ci est constamment battue en brèche. Et si l’on fabriquait de faux complotistes ? Il suffirait que ces agents-là fassent mine d’être des lanceurs d’alertes, qu’ils abondent dans le sens de la contre-propagande et captent la confiance des résistants. Ensuite il suffirait d’introduire dans leurs propos le doute concernant des faits cette fois scientifiques ou techniques, généralement admis mais présentés par les agents comme des faux ou des fabriques. Ce sont les hics dont je parlais. Ou bien les agents seraient crus, ce qui ne serait pas rentable, ou bien ils seraient illico considérés comme traîtres, ce qui serait un peu plus rentable, car ils installeraient la zizanie dans le camp des résistants, ou bien l’on douterait de leurs propos, c’est-à-dire que l’on installerait le doute sur le doute.

Et là, ce serait rentable, car le résistant Lambda ne serait plus en mesure de départir le vrai du faux et donc soit suspendrait son jugement, soit confronté à un raisonnement en boucle – ça peut être vrai, ça peut être faux, mais si c’est faux ça peut être vrai, mais si c’est vrai ça peut être faux et ainsi de suite- finirait par être enfermé dans une sorte de paradoxe d’Épiménide le conduisant à suspendre son jugement à l’infini, voire à laisser le mérinos à sa légendaire diurèse, soit à renoncer à agir ou réagir. Par lassitude ou dépression. Ainsi un coup sévère serait porté à la résistance.

Je ne sais pas si nous avons affaire à ce genre de plan diabolique (le Diable est l’esprit malfaisant qui sépare !) mais la négation des virus et des voyages vers Séléné me le fait subodorer. Ce que raconte American Moon -réalisé par d’anciens réalisateurs hollywoodiens- me fait penser à la mise en abyme du théâtre dans le théâtre, qu’illustrait très bien ce passage de Who Frames Roger Rabbit (« Qui veut la Peau de Roger Rabbit » en version française) dans lequel le Lapin, manipulant à toute vitesse les photos de la scène entre Jessica et Marvin Acmé, prises par Eddy Valliant, recrée le dessin animé dans le dessin animé. Et le Lapin a raison : « Ve n’peux pas vy croire ! », car la preuve d’une manipulation criminelle sera faite ultérieurement.

Bon, voilà. Vous pouvez admettre ou non mon hypothèse, mais, méfiance ! L’ennemi est assez rusé pour essayer de nous enfermer dans le paradoxe d’Épiménide pour mieux nous enfumer !

Antonio

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Paris laboratoire du totalitarisme

la-corde-du-penduLeurs JO politiques sont bel et bien dans l’esprit de KlauSS SSchwab et des nazis mondialistes. Nous en reparlerons. Pour le moment, Slobodan Despot (https://x.com/despotica) publie sur Antipresse, la traduction de la mise en garde de @gro_tsen destinée aux étrangers, sur la dystopie policière installée à Paris en prévision des #JO2024 .
Nous relayons.

JO: Paris en état de siège

Témoignage du mathématicien franco-canadien @gro-tsen à l’adresse des étrangers et des non-francophones au sujet de la situation à Paris. C’est la vue d’ensemble la plus claire et la plus inquiétante que nous ayons lue jusqu’ici.
Je pense que les lecteurs non francophones et non francophiles devraient être informés de la folie qui règne actuellement à Paris et dans ses environs à cause des Jeux olympiques. La cérémonie d’ouverture aura lieu dans une semaine et l’accès à la Seine a déjà été interdit !

Les différents niveaux des périmètres de sécurité sont incompréhensibles, mais en gros, toutes les zones situées à moins de 100 mètres de la Seine sont désormais totalement interdites. Vous ne pouvez vous y rendre, même à pied, que si vous y habitez ou y travaillez, et vous devez obtenir un permis spécial à l’avance.

L’obtention de ce permis n’est pas acquise : apparemment, certaines personnes ont vu leur demande refusée (sans explication), et ne sont donc pas autorisées à se rendre sur leur lieu de travail, ni même sur leur lieu de résidence. Personne ne sait ce qui est censé leur arriver.

Par ailleurs, un hôpital se trouve dans ce périmètre interdit, et certaines personnes y reçoivent des soins vitaux. Les patients peuvent demander une autorisation, mais celle-ci n’est pas automatiquement accordée.

N’oubliez pas qu’il s’agit d’une semaine avant la cérémonie d’ouverture (pourquoi faut-il fermer toute la zone quelques jours avant la cérémonie ? personne ne le sait !) Pendant la cérémonie elle-même, l’accès à l’hôpital sera totalement interdit à quiconque. C’est de la folie !

Bien sûr, ce n’est pas la seule restriction. Autour de cette zone interdite « anti-terroriste », il y a une zone « rouge » beaucoup plus grande qui est « seulement » fermée à tout trafic routier. Ce n’est pas aussi catastrophique, mais si vous êtes une entreprise ou si vous avez besoin de faire livrer quelque chose, vous aurez de gros problèmes.

La zone « bleue », encore plus vaste que la zone rouge, est fermée à la plupart des routes, mais pas à toutes. En outre, la plupart des autoroutes reliant Paris à la banlieue ont des voies spéciales « Paris 2024″, réservées aux officiels des Jeux olympiques, y compris le périphérique. Si vous avez vu à quel point la circulation est difficile sur le périphérique en temps normal, même en été, essayez d’imaginer cela avec une voie fermée à la plèbe : ouais, c’est l’apocalypse totale !

Peut-être ne conduisez-vous pas de voiture (à Paris, c’est une mauvaise idée, si vous pouvez l’éviter) et préférez-vous prendre les transports en commun ? Eh bien, surprise : de nombreuses stations de métro sont également fermées. La liste est incompréhensible et illogique.

Certaines ont été fermées bien avant les Jeux olympiques, et personne ne sait pourquoi : La station « Concorde » est fermée depuis le 17 JUIN, et il n’y a eu aucune explication sur la nécessité de fermer si tôt.

Et quand ils ferment une station, cela ne signifie pas seulement que vous ne pouvez pas y monter ou en descendre : vous ne pouvez même pas changer de ligne à cet endroit – pour on ne sait quelles raisons. Le métro parisien est donc aujourd’hui un labyrinthe incompréhensible de lignes déconnectées et de stations fermées au hasard, qui change tous les jours.

Le jour de la cérémonie d’ouverture, les choses seront encore plus folles : tous les avions sont interdits de décollage d’atterrissage ou de vol près de Paris, TOUS LES TRAINS ont même été annulés. En fait, la cérémonie d’ouverture aura l’effet d’un essai de bombe nucléaire à l’échelle d’une ville.

Par ailleurs, des barrières ont commencé à être érigées un peu partout dans Paris. Personne ne semble savoir exactement à quoi elles servent. Et si vous êtes en fauteuil roulant, tant pis pour vous.

Et bien sûr, ce n’est pas tout : il y a des policiers partout dans Paris, et les autorités ont déployé des caméras de sécurité à grande échelle et un système expérimental de vidéosurveillance basé sur l’IA qui rendrait le président Xí jaloux.
Et comme toutes les réserves de la police française sont mobilisées à Paris, toute manifestation de grande envergure autre que les Jeux olympiques est impossible : de nombreux festivals de musique ont donc été annulés, non seulement en région parisienne, mais dans toute la France.

Je ne vais même pas parler du coût des jeux, car ce n’est pas vraiment mon propos ici : mais j’aimerais rappeler que la France est déjà lourdement endettée, et que les finances de Paris sont alarmantes, et que nous n’avions vraiment pas besoin de ce fardeau supplémentaire.

Lors de sa campagne électorale en 2014, l’actuelle maire de Paris, Anne Hidalgo, a déclaré qu’elle ne souhaitait pas que la ville se porte candidate à l’organisation des Jeux. Pour une raison ou une autre, elle a changé d’avis peu après avoir été élue, et un certain nombre de Parisiens qui l’ont élue en sont quelque peu mécontents.

Depuis des mois, les autorités organisent des campagnes publicitaires invitant les Parisiens à se «préparer à l’avance» à la tenue des jeux. En gros, cela signifie : essayez de quitter Paris pendant l’été ou, si vous devez y être, restez chez vous et travaillez à distance. (Et ne vous faites pas livrer).

Donc, maintenant que nous devons payer des milliards pour accueillir un grand spectacle commercial auquel nous ne sommes absolument pas invités, on nous dit de quitter la ville ou de rester à la maison (et aussi de ne pas être malades) pendant cette période. Comme vous pouvez l’imaginer, tout le monde n’est pas très content de cette affaire.

Fil original sur Twitter traduit de l’anglais par Slobodan Despot

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