Bon.. L’hypnose des Jeux Macrono-Hildaguiens se dissipe peut-être peu-à-peu. Inutile de revenir sur les divers scandales, blasphèmes, mensonges propagandistes de ce barnum des « circenses » sans « panem », tout a été dit sur X et GETTR. E finita la comedia.
Inutile de développer sur le coup d’État permanent de Macron, les couinements du conglomérat gauchiste des « castors » essayant de faire nommer « premier sinistre » des interlopes de leur camp. Là aussi, tout est connu et le sage sait très bien que les euro-atlantistes et leurs maîtres milliardaires globalo-fascistes aiment l’aphorisme de Musset : « qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ». Peu importe le ministre pourvu que la politique reste fondamentalement identique. Trilatérale, Bielderberg, Davos obligent.
Je ne commenterai pas per se l’affaire de la vérole variole simiesque – dite plaisamment MoneyPox, c’est manifestement une resucette de l’arnaque « covid ». Ce qui m’intéresse est la mise en scène et le livret. Lors de l’arnaque « covid », la mise en scène était soignée, faux hôpitaux archi-pleins, malades frappés agonisant en pleine rue, graphiques élaborés à partir de statistiques bricolées, et ainsi de suite. Quant au livret, il était débité par des histrions de plateaux enrôlés par les médias de grands chemins. Ils refont le coup : « Gwendoline a les yeux verts » remplace « Isabelle a les yeux bleus ». On ouvre les placards, on ressort les vieilles bricoles corrompues comme Lacombe, on les époussette, ripoline, et, repimpées, on les relance à mentir sur les plateaux-pas-beaux.
Mais il y a tout de même un hic : l’OMS de Gates n’apparaît plus guère comme le parangon de la Science médicale (qui n’existe pas, car la médecine est un art, pas une science), et les faits, têtus, remontent à la surface sustentés par les circuits d’informations parallèles. Tout comme les bobards LCI de l’OTAN ne font plus guère recette. Le mensonge, cela fonctionne un temps, mais tôt ou tard il est rattrapé par la patrouille, par la vérité empirique des faits.
Mais voilà que je lis, sur X comme sur GETTR, que les virus n’existent pas et que personne n’a marché sur la Lune. Diantre ! Concernant la Lune, j’avais depuis longtemps que des hurluberlus ayant un point commun avec cet astre -par exemple une de nos actrices gauchistes- avançaient cette thèse. Quant à la non-existence des virus, j’en tombe sur le séant lorsqu’elle est énoncée par des internautes habituellement « raisonnables ».
Ce n’est pas parce que l’on nous a bassinés et manipulés avec le SARS-Cov-19 que ce machin ne serait pas un virus. Son génome, et celui de ses descendants mutants, ont été séquencés systématiquement avec des outils précis et puissants. Son mode d’action et de transcription ont été décrits. S’il n’existe pas, alors, à quoi riment les séquenceurs ? Ces machines n’existeraient-elles pas, ou seraient-elles piratées comme de vulgaires machines à voter ? Moi qui ai étudié la biologie moléculaire, je sais bien que nos connaissances ne cessent d’évoluer en ce domaine et que vérité d’aujourd’hui sera erreur demain, mais enfin je vois bien qu’il y a un machin à brins d’ARN qui joue les pique-assiettes dans le ribosome cellulaire. Ou alors un habile charlatan m’en aurait-il persuadé ???
Bref : il y a là un hic. Quant à l’évènement interplanétaire du 20 juillet 1969, je m’en souviens, je l’ai vu sur le téléviseur de mon voisin, comme j’ai suivi sur celui de ma voisine l’odyssée d’Apollo 13 quelques années après. On me soutient merdicus mordicus que c‘était du flan et que tout avait été fabriqué en studio. Il y a même un documentaire, American Moon, qui essaie de démontrer cette thèse. Fort bien : après tout, en 1969, les Soviets dominant la course à l’espace, les Américains, au lieu de réaliser techniquement le pari de John Kennedy, auraient pu monter une superproduction hollywoodienne. Mais enfin, la fusée Saturn V a bien existé, on peut en voir une version au U.S. Space and Rocket Museum. Ah, me dit-on, et si c’était un faux ? Eh bien il suffit de disséquer la fusée, et on saura ! Comme pour le sexe de Brichel : l’analyse ADN dirait sûrement si c’est une XX ou un XY. Il faut être empirique pour vérifier les théories.
En fait, on ne connaîtra la fin de l’énigme que lorsque l’Homme ira -ou reviendra- sur la Lune, ce qui ne saurait tarder. Car les délires sur la consommation des ergols durant le voyage, ou encore sur la conversation téléphonique de Nixon avec les astronautes relèvent essentiellement, eux, de l’ignorance : les premiers parce que ceux qui les profèrent ignorent tout des lois de la gravitation, les seconds ne savent rien de la technique des transmissions radio. Il ne faut pas exagérer dans la sottise. N’empêche qu’il il a là aussi, dans cette aventure lunaire, un hic.
Le hic devrait conduire à l’attitude intellectuelle du sceptique : l’ἐποχή (epokhê) ou suspension du jugement, au moins jusqu’à administration empirique de la preuve. Mais s’il conduit à ne pas agir, il devient nuisible sauf en matière de morale où « dans le doute il vaut mieux s’abstenir » au lieu de risquer le péché. Mais dans le cadre la guerre de « cinquième génération », où la guerre n’est pas seulement l’affrontement sur le champ de bataille, mais la fabrique du consentement par violation de l’esprit, le doute doit être combattu par ceux qui ont intérêt à asservir les masses.
L’esprit qui doute ne gobera pas les bobards genre « covid », « variole du singe », « dérangement climatique » et tutti quanti car il constate empiriquement l’usage politique totalitaire qui en est fait, l’inanité réelle des effets annoncés et la réalité des effets inavoués. C’est évidemment plus délicat lorsqu’il s’agit de matières scientifiques ou techniques, où l’obtention de la preuve demande un appareillage complexe dont l’absence hic et nunc peut aussi en différer l’administration. Voilà des domaines propres à fournir des hics dédiés à, tout simplement, faire douter du doute !
Il serait trop long de développer ici cette hypothèse, qui demande certainement une réflexion plus approfondie. Prenons donc un exemple imaginaire. Les collaborateurs de Herr K.S. constatent que décidément, de moins en moins de Déplorables (© Hillary Clinton) gobent le roman officiel -covid, vérole simiesque, vaccins ARN, dérangement climatique… – et que des faits viennent prouver en abondance que ces romans ne sont que mensonges.
Il faut donc combattre l’influence des « complotistes » qui alertent le peuple. Bien sûr les zélotes de K.S. vont essayer la censure, mais, Internet aidant, celle-ci est constamment battue en brèche. Et si l’on fabriquait de faux complotistes ? Il suffirait que ces agents-là fassent mine d’être des lanceurs d’alertes, qu’ils abondent dans le sens de la contre-propagande et captent la confiance des résistants. Ensuite il suffirait d’introduire dans leurs propos le doute concernant des faits cette fois scientifiques ou techniques, généralement admis mais présentés par les agents comme des faux ou des fabriques. Ce sont les hics dont je parlais. Ou bien les agents seraient crus, ce qui ne serait pas rentable, ou bien ils seraient illico considérés comme traîtres, ce qui serait un peu plus rentable, car ils installeraient la zizanie dans le camp des résistants, ou bien l’on douterait de leurs propos, c’est-à-dire que l’on installerait le doute sur le doute.
Et là, ce serait rentable, car le résistant Lambda ne serait plus en mesure de départir le vrai du faux et donc soit suspendrait son jugement, soit confronté à un raisonnement en boucle – ça peut être vrai, ça peut être faux, mais si c’est faux ça peut être vrai, mais si c’est vrai ça peut être faux et ainsi de suite- finirait par être enfermé dans une sorte de paradoxe d’Épiménide le conduisant à suspendre son jugement à l’infini, voire à laisser le mérinos à sa légendaire diurèse, soit à renoncer à agir ou réagir. Par lassitude ou dépression. Ainsi un coup sévère serait porté à la résistance.
Je ne sais pas si nous avons affaire à ce genre de plan diabolique (le Diable est l’esprit malfaisant qui sépare !) mais la négation des virus et des voyages vers Séléné me le fait subodorer. Ce que raconte American Moon -réalisé par d’anciens réalisateurs hollywoodiens- me fait penser à la mise en abyme du théâtre dans le théâtre, qu’illustrait très bien ce passage de Who Frames Roger Rabbit (« Qui veut la Peau de Roger Rabbit » en version française) dans lequel le Lapin, manipulant à toute vitesse les photos de la scène entre Jessica et Marvin Acmé, prises par Eddy Valliant, recrée le dessin animé dans le dessin animé. Et le Lapin a raison : « Ve n’peux pas vy croire ! », car la preuve d’une manipulation criminelle sera faite ultérieurement.
Bon, voilà. Vous pouvez admettre ou non mon hypothèse, mais, méfiance ! L’ennemi est assez rusé pour essayer de nous enfermer dans le paradoxe d’Épiménide pour mieux nous enfumer !
Antonio
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