Réinformation

4- Les démocrates fous aux USA

Les Démocrates s’efforcent de bloquer les nominations au cabinet de Trump et appuient les manifestations même les plus violentes qui appellent à la destitution voire à l’assassinat du Président Trump.

Pour les Lecteurs de Dreuz, Magali Marc  a traduit ce texte de Michael Goodwin, chroniqueur au New York Post.

Le Parti Démocrate a perdu la tête et son âme. Michael GoodwinNew York Post 8 février

Mardi, le 7 février, a été une journée historique puisque le Vice-Président, Mike Pence, a dû ajouter son vote afin de briser l’égalité au Sénat et confirmer Betsy DeVos comme Secrétaire de l’éducation (NDT: il s’agit d’une procédure d’exception au Sénat américain).

Mais le fait que le vote de Pence ait été rendu nécessaire reflétait un autre problème : la décision prise par tous les Démocrates du Sénat de rejeter la nomination de DeVos a montré jusqu’où ils sont prêts à descendre.

Les Démocrates prétendent défendre les pauvres, les immigrants et les non-blancs.

Pourtant, alors qu’ils avaient l’occasion justement de soutenir quelqu’un qui s’est dévoué à l’amélioration de l’éducation pour tous les enfants américains, en particulier ceux qui sont piégés dans des écoles urbaines en faillite, les Dems ont dit « Non! Jamais!».

Rejoints par deux Républicains, ils se sont tenus en travers de la porte des écoles pour bloquer un changement vital, liant leur sort avec celui des syndicats d’enseignants qui craignent la réforme comme un vampire a peur de l’ail.

Mettez de côté tous les sous-entendus et les subterfuges et une seule explication demeure pour expliquer la tentative de blocage de la nomination de DeVos: la défense d’un statu quo rance.

Les syndicats d’enseignants ont tiré les ficelles, et leurs marionnettes politiques ont dansé sur la musique de leurs maîtres.

DeVos a survécu parce que le président Trump est déterminé à mettre sur pied un gouvernement qui va remiser les avantages et les privilèges des initiés et ouvrir la porte à de nouvelles façons de faire les choses.

Dans le domaine de l’éducation, cela signifie donner à plus de parents le pouvoir de choisir l’école où ils enverront leurs enfants et retirer son pouvoir à l’establishment syndical.

Des millions d’enfants parmi les plus pauvres, de nombreux noirs et latinos, sont obligés de participer à des usines en déchéance qui leur dérobent la promesse de l’Amérique. Tandis que la destruction des familles porte la principale responsabilité (des difficultés scolaires des enfants), le contrat social exige que la société fasse de son mieux pour compenser.

Et il ne fait aucun doute que les écoles à charte, les allocations scolaires (school vouchers) et d’autres expériences offrent le meilleur espoir d’apporter des idées et des progrès nouveaux dans le désert de l’éducation.

DeVos, une Croisée passionnée d’excellence dans les salles de classe, n’est qu’une des candidats nommés par Trump que les Démocrates s’efforcent de bloquer dans leur folle tentative de démolition de sa présidence avant même qu’elle ne commence.

Aucun président n’a jamais eu si peu de membres de son cabinet confirmés à cette date tardive, de même qu’aucun président n’a été confronté à des discussions tenues ouvertement sur l’opportunité de l’assassiner ou de le destituer (impeachment).
Parlant de cela, avez-vous entendu un seul Démocrate dénoncer les appels à l’assassinat de Trump? Avez-vous entendu un seul Démocrate dénoncer la violence exercée par les soi-disant manifestants ?

La réponse est «Non» parce que les Démocrates voient les émeutes et les menaces de violence comme des expressions légitimes de désapprobation – et que celles-ci sont propices au but qu’ils poursuivent.

Leur contribution à la «résistance» a commencé quand 70 Démocrates ont boycotté l’investiture de Trump et quand de nombreux sénateurs ont boycotté les audiences de confirmation et les votes. Peut-être qu’ils vont bientôt jeter des pierres par les fenêtres.

Leur folie était évidente lundi soir (le 6 février) lorsque le leader de la minorité du Sénat, Chuck Schumer, s’est vanté dans un tweet de l’extérieur du Capitole qu’ « Alors que le GOP soutient la nomination de Betsy DeVos, les gens se rallient à l’extérieur. Nous sommes avec eux ».

Pensez-y bien: le chef des Démocrates sort de son rôle au Sénat afin de jouer à l’homme du peuple soutenant une manifestation qui n’est qu’une mise en scène. Ce parti a perdu son esprit, ainsi que son âme.

Il est à noter que Schumer a commencé l’ère Trump en parlant d’une volonté de travailler avec le nouveau président sur les questions d’infrastructure et d’autres domaines où il voyait un terrain d’entente. C’était trop beau pour durer.

Pour s’être montré relativement raisonnable, Schumer a été dénoncé par les radicaux du parti et les anarchistes en tant que collabo et a été l’objet de manifestations bruyantes et vulgaires devant sa résidence de Brooklyn.

En un clin d’œil, il a abandonné toute idée de coopération (avec Trump) et a bondi pour se joindre au mouvement radical, espérant sans doute conserver le poste de dirigeant minoritaire qu’il vient d’obtenir.

Schumer voit probablement son appui à la populace comme la seule façon de lever des fonds afin de financer les candidats démocrates assiégés qui devront faire face à une élection en 2018.

Quoiqu’il en soit, la responsabilité du leadership lui échappe. Les Démocrates ont créé leurs propres problèmes en acceptant aveuglément toutes les politiques ultra-libérales de Barack Obama et les électeurs républicains exaspérés ont répliqué en nommant Trump.

La réponse d’Hillary Clinton et de son équipe a consisté à verser de l’acide sur Trump et sur ses disciples en espérant qu’ils le rendraient tellement toxique qu’il serait disqualifié. Ils avaient tort.

Pourtant, même maintenant, ils n’ont apparemment aucune idée sur pourquoi ils ont échoué et ils poursuivent la même stratégie. Ils continuent de dénoncer Trump dans les termes les plus hyperboliques, déclarent ses candidats incompétents et dangereux – et s’attendent à un résultat différent.

Ils ne devraient pas retenir leur souffle. Trump a fait des erreurs de débutant mais sa détermination à choisir DeVos et à l’appuyer jusqu’au bout prouve qu’il est absolument sérieux quant à la réparation de ce qui est brisé dans le système d’éducation américain.

Quels sujets les Démocrates prennent-ils au sérieux?

Les New-Yorkers qui se disent contre la vérification très poussée des immigrants sont des hypocrites.

Un auteur, Harold Theurer, affirme que la vérification minutieuse, en dépit de son nom, est plutôt courante et cite un exemple familier. Il a écrit:

« Si les opposants siègent à un conseil d’administration de logement coopératif ou vivent dans un édifice qui a un organe directeur chargé d’examiner, d’accepter ou de refuser que des locataires potentiels vivent parmi eux, peuvent-ils être contre une vérification extrême (des immigrants) sans être taxés d’hypocrisie ? »

Reproduction autorisée.  Traduit par Magali Marc

 

3- Bikers for Trump

J’apprécie les « Bikers » qui ont le front de s’opposer aux leftish, pinkoes, « démocrates », starlettes hollywoodiennes, bref : à ces gauchistes enragés pour qui la démocratie se confond avec leur domination et la tyrannie de leurs idées perverses et réellement fascistes. Il va y avoir du sport !
Maintenant, nous pouvons sans peine imaginer les couinements, glapissements, brames de la caste devant le déferlement populaire !


Soros, cette vieille ordure, organise, lui, les manifs gaucho-fascistes :

Mais la Cavalerie arrive :

1- Ce que nous dit Bachar Al-Assad.

Version complète de BdVoltaire, grâce à Charlotte d’Ornella. Car il y avait bien QUATRE représentations des médias lors de cet entretien. Mais pour le Propaganda Staffel, il n’y avait pas BdVoltaire.

Bachar el-Assad – Entretien sur Boulevard Voltaire par bvoltaire

2- Ce que disent les Syriens loyaux … et trois de nos députés :



Syrie : « La France nous a trahis » par bvoltaire
(Boulevard Voltaire)

1- Ce que pense Donald Trump de l’invasion déclenchée par Merkel :

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