Nous n’avons guère écrit au cours de cet été beau par le temps mais sanglant par le climat politique. Inutile de rappeler les méfaits des islamistes, ni leurs provocations. Saluons cependant la salutaire réaction des Corses à la provocation musulmane de Sisco, en regrettant qu’il n’en aille pas partout de même.
Comme d’habitude, les chiens galeux de la caste politique, côté gauche, se sont lancés à corps perdu dans la chasse au « racisme », et le conseil d’état (pas de majuscules, il n’en est pas digne) a montré ce qu’il était : une magistrature couchée, même pas légitime parce que non élue. La vermine des « zassocs » prétendument anti-racistes, mais réellement racistes anti-blancs, se lance à la curée à la suite de l’infect trotskyste Tubiana, attaquant tous les maires ayant interdit l’exhibition d’un accoutrement musulman évidemment provocateur. La racaille rejoint en cela la musulmane Belkacem, qui a introduit à l’école l’intoxication des enfants par le baragouin chamelier vecteur de charia. Cette pétasse prétend apprendre aux enfants à « penser ». On saisit tout de suite ce qu’elle a dans son cerveau à courants d’air, celle-là.
Un peuple de citoyens aurait déjà chassé la canaille des traîtres et envahisseurs, à tout le moins aurait déjà constitué des maquis et engagé des actions offensives contre elle. Ouiche ! À quelques brillantes exceptions près, le peuple est un ramassis de lopettes hédonistes, il ne bouge pas, il ne bougera pas, quitte à se rallier à la dernière minute, comme en juin 1944, pour voler au secours de la victoire. On aura beau lui montrer l’extrême danger qu’il courre en laissant les « gouvernants » installer l’envahisseur musulman, les islamistes auront beau tuer et tuer encore, l’apeuré troupeau ne fera rien pour se défendre.
J’ai la nausée lorsque je vois que l’on peut encore, en majorité, se laisser duper par le ridicule barnum électoral qui vient de commencer. Dans l’Herpès (LR-PS), c’est à qui pose sa candidature, en espérant quoi ? Il n’y a rien de plus imbécile que les « primaires », c’est une fausse compétition de primitifs, sauf que les compétiteurs sont tous, sans exception, des traîtres, islamophiles européâstres, atlantistes, inféodés au IVe Reich de Merkel, aux monopoles de Wall-Street et aux wahhabites. Du monde pourri, miteux, organisant l’invasion. Du monde prêt à tout pour se servir et refusant de servir. En des temps plus raisonnables, ce vilain monde serait en prison pour concussion, prévarication, haute trahison, et traîné un matin devant le peloton d’exécution.
C’est cette soupe infâme que vous servent les médias de propagandes, sondant à qui mieux mieux une population indécise, floue, afin de pousser en avant qui l’Ali Jupé contre le Sarkopithèque, qui Hollandouille contre Macron, Montebourg ou Méchancon. Un jeu télévisuel ridicule, inconvenant, dont le niveau intellectuel est à peu près celui de l’émission de propagande perverse « plus belle la vie ». Et les Ducon de se repaître de ce brouet avarié ! N’y aurait-il personne pour faire sauter les tours de la télévision numérique ?
Les gens sensés -il n’y en a que très peu- savent qu’aucun de ces énergumènes prétendant à la présidence n’en est digne. Aucun d’eux. C’est du gibier de potence, ni plus ni moins. Plus que jamais le vieux slogan des anarchistes, « élection piège à cons » est plein de vérité. On aurait pu penser que Mme Le Pen Marine, la seule candidate ne jouant pas le stupide jeu américain de la « primaire », ouvrirait la porte vers plus de dignité. Mais l’attitude de son front national, emphilippoté à outrance, laisse planer plus qu’un doute sur la solidité de sa politique et sur le pertinence d’un contrat social que par ailleurs elle ne propose même pas. Faute de clarté, et à cause de son esprit sectaire qui lui fait refuser l’ouverture vers la droite patriotique hors-fn, Marine n’a aucune chance de réussir.
Donc les jeux sont faits, les carottes sont cuites : PS ou LR, la même politique de trahison nationale se poursuivra après l’élection, le pire étant sans doute la reconduction de l’andouille élyséenne actuelle. L’ennemi a des raisons de se réjouir et nous de rager. De rager aussi parce que des imprudents ont déclaré que nous avions gagné la « bataille des idées ». Fausse nouvelle : un peuple d’esclaves hédonistes ne songe même pas à examiner les idées perverses que lui instillent tous les Sorros, les Junker, les Merkel, les socialistes, les faux gaullistes, à grands renforts de propagande médiatique. Il avale tout cru les couleuvres, ce peuple minable !
En toute franchise, je voterai probablement pour Mme Le Pen au premier tour, non par conviction -j’ai dit ce que je pense de sa politique- mais pour barrer la route à Hollande ou à un candidat socialiste. Au second tour, le « front républicain », cet attrape-nigaud, jouera à plein. Plutôt que de m’abstenir, je déposerai un bulletin apportant mon suffrage à Monseigneur Louis de Bourbon, Duc d’Anjou et légitimement Louis XX. Et j’invite le lecteur à lire ce que le descendant de nos Rois a écrit à l’occasion de la fête de Saint-Louis le 25 août. Il nous faut quelqu’un qui représente vraiment la Nation, et non un de ces tristes pitres que voudrait nous fourguer la caste politique.
D’ailleurs, j’en ai marre de la république, de cette gueuse, de cette « femme sans tête » comme l’appelait Maurras. Je constate qu’il fallut mille cinq cents ans à nos rois dont les corps reposent aujourd’hui en terre ennemie, hélas, pour construire la France, et deux siècles aux républiques successives pour la détruire. La république n’a pas de valeurs, elle n’est porteuse que de décadence et de destruction nationale. De toute manière, ce n’est pas une question de délégation de pouvoir qu’il s’agit (kratos), mais de principe de repérage social (archê) ; un minable gredin peut toujours squatter l’Élysée, il ne représente nullement la Nation. Les Anglais, l’un des peuples les plus pragmatiques de la Terre, l’ont bien compris, qui ont conservé la royauté tout en établissant la démocratie. Il faut être ridiculement bête comme un républicain pour penser le contraire.
Et puis, nous devons cogner sur tous les abrutis qui se laissent aller à l’auto-flagellation, en assumant tranquillement les appellations dont nous affublent les racistes anti-blancs, les pervers, les islamophiles : oui, soyons « racistes », « homophobes », « islamophobes », avec courage et fierté. Osons dire : « je suis Français, homme Blanc, hétérosexuel, miso-islamique, et je vous emmerde ! » Cela ne servira plus à grand-chose, mais au moins à sauver l’honneur. Et ne soyons pas dupés par les « droits de l’homme », doctrine perverse et sanglante. Le recto-humanisme, c’est pour les mauviettes qui préfèrent offrir leur rectum à l’ennemi plutôt que de lui envoyer un magistral bourre-pif.
Voilà « J’ai à la vérité de terribles nouvelles. Les temps seront mauvais » annonçait le file Fechertne dans Le Dialogue des Deux Sages (Book of Leinster, XIIe siècle). Je souhaite ne pas avoir à vivre si longtemps que je dusse proférer encore, comme Morrigan, la déesse celtique des batailles : « Je verrai un monde qui ne me plaira pas » (Cath Maighe Tuireadh, ou Seconde Bataille de Mag Tured).
Sacha
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