Il n’est plus temps de tirer la sonnette d’alarme, c’est déjà fait depuis longtemps.
Ce gouvernement de voyous, arrimé à l’UE et aux États-Unis, nous a conduits à devenir un pays du tiers-monde : dette, inflation, dépendance, pauvreté. Il nous mène à la guerre en un combat douteux inspiré de la doctrine de Brezynsky, au service unique de l’impérialisme Américain. Il a vandalisé et vendu l’industrie, l’énergie, l’agriculture. Il a domestiqué une trop grosse partie de la population en pilotant (à l’aide des «sociétés de conseils » américaines) la « crise » volontairement déclenchée de la covid, il s’apprête d’ailleurs à remettre le couvert avec une prétendue 9e vague ( !!! ). J’ai encore ce matin entendu de vieux cons frileux, lâches, se lamenter du « retour de a maladie » : pauvres crétins !
Tout cela relève d’une politique voulue : « Ne leur pardonnez pas, car ils savent ce qu’ils font ! » Oui, ils accomplissent le programme de Davos et du capitalisme de connivence, au détriment des peuples et du vrai capitalisme créateur de richesses. Nous sommes face à une immense machination. Nous avons parlé de machinations de l’AFP (fact & furious ) ; écoutez ce que dénonce Martine Wonner sur France-Soir !
Voilà, tout est dit : leur système est pervers. Et ne mérite que de passer dans la poubelles de l’Histoire.
Ceux à qui il reste l’intelligence et le courage ont le devoir, désormais, de résister par TOUS les moyens. Les brigands élyséens le savent et le craignent, c’est pour cela qu’ils essaient de désarmer les Français (1). Avec les restrictions -strictement consécutives à l’alignement sur les USA dans la guerre de l’OTAN contre la Russie- le froid, les pénuries et les faillites (donc le chômage) qui s’ensuivront, du plomb chaud pourrait bien voler bientôt. L’ennemi compte sur son OTAN pour protéger son pouvoir : qu’il se souviennent qu’un peuple trempe sa résistance dans l’adversité et que les zozoboys se sont fait plumer par des nha-qués en sandales coupées dans de vieux pneus et par des Afghan déguenillés ! Ce n’est qu’une question de temps.
Raymond
(1) Il s’est tout de même trouvé assez d’abrutis pour rendre 150 000 pétoires (sur cinq millions, cela ne fait que 3%, toutefois).
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