Qu’est-ce qui s’oppose à l’harmonie du monde ? Le chaos. Le Ponant, totalement perverti, barbote dans cette soupe chaotique qui n’est pas seulement composée d’ARNm de synthèse labellisée Pfizer.
Au moins l’ubuesque de la situation nous donne-t-il parfois l’occasion de rigoler. C’est le cas de cet accident arrivé à un « drone » de chez Joe Robinet Biden. Laissons de côté la réponse à la question « qu’allait-il fouiner à soixante miles de la Crimée ? », il suffit de regarder la carte pour comprendre. Non, ce qui est rigolo, ce sont les images publiées par Washington. Un vilain chasseur Russe fonce sur le pôvre avion espion et, tel un brave clébard levant la patte sur quelque infâmure genre chien-chien à sa mémère, lui licebroque tranquillement du kérosène sur le pif. D’où plouf ! Et cris de putois en gésine côté ricain. Bah ! C’est tout de même plus amusant et moins salopard que de saboter les Nord-Streams, non ? Évidemment, la Flotte Russe s’efforce de récupérer l’engin, juste pour faire un peu de « rétro-ingénierie ». En fait, je me demande si la vidéo Yankee est bien réelle, car je ne vois pas d’effet stroboscopique dû à la rotation de l’hélice du drone ; en fait, peut-être cette hélice tournait-elle trop lentement pour en produire, je ne suis pas spécialiste des drones que je considère par ailleurs comme des armes de tarlope.
Un peu plus inquiétant est la cascade de faillites bancaires commencée avec la banqueroute de la Silicon Valley Bank. On dirait bien que l’effet domino est en train de se produire. Le Crédit Suisse est pratiquement « mouru », et des tas d’autres banques ne se sentent pas bien. Que l’on se rassure, l’ineffable Le Maire dit que tout va bien. Oui, oui, la France est protégée des contagions financières, comme elle l’était du nuage de Tchernobyl, ou de la grippe artificielle de Wuhan. Et puis nous autres avons des boucliers ! Bon… de l’argent emprunté, qu’au bout du compte le cochon de con-tribuable sera prié de rembourser, mais ça marchera un petit moment. Après… Ben les adolescents outrepassés du gouvernement s’en foutent, de ce qui arrivera. M’enfin, l’inflation, l’impression de monnaie de singe par la planche à billets, ça finit par faire du vilain, je crois même que l’Histoire nous apprend l’issue inévitable : la Guerre. Remarquez, les otaniens s’y emploient, non ?
Pendant ce temps-là, on dispute du sexe des anges. Ou plutôt on veut faire entrer les faiseurs d’anges dans la Constitution. Choupinet va rassembler les pourris du Parlement en congrès pour cela. En fait, l’infanticide va devenir constitutionnel. Pour plaire aux déséquilibres « wokes » en tous genres y compris fluide. Quelle avancée « sociétââââle », n’est-ce pas, que le meurtre légal d’innocents ?
Toujours dan le cadre de la sexualité angélique, on dispute des retraites. Bon : on dit que 71% des gens sont contre la « réforme ». Soit. Mais le grotesque de l’affaire éclate ! Les magouilles des Choupinet’s boys avec la clique à Ciotti avaient bien marché au Sénat, mais manque de chance, il n’était pas sûr que tous les faux « gaullistes » LR allaient marcher dans la même bouse à l’Assemblée. Catastrophe ! Bon, ben… puisque ça peut foirer, autant donner une nouvelle injection de 49-3. Alors ça renaude de partout, paraît même que des manifs spontanées brûlent des poubelles (il ne manque pas de combustible en ce moment). Tout ça pour pas grand-chose ; l’inquiétant est que ça met les gauchistes et un tas de suiveurs qui n’ont rien compris en « pole position » pour gagner des élections si Choupinet, furieux d’une motion de censure, dissolvait l’Assemblée. Vous imaginez : une majorité de « wokes », « intersectionnistes » et autres oligophrènes escrolos ? Déjà que nous sommes dans la mouise, ce serait non pas l’’Apocalypse -car celle-ci annonce le Royaume- mais bien l’orgie sanglante. Petites causes, effets tragiques.
Beaucoup d’auteurs mal-pensants se penchent sur ce chaos ubuesque. En ce moment, je suis personnellement agacé des déprédations intellectuelles et sociologiques occasionnées par les « néo-féministes », ces tueuses d’amour complètement à la masse. Du coup, j’ai relu l’excellent ouvrage de Yannick Jaffré : « Paris-Moscou. Aller simple contre le féminisme » (éd. La Nouvelle Librairie, 2021). C’est un chef-d’œuvre à la fois anthropologique et philosophique, opposant les femmes Russes aux Françaises (pas à toutes, il en est encore de raisonnables dans notre pays en déchéance) et réhabilitant la galanterie française vilipendée par les horreurs à cheveux bleus mais appréciée, dit l’auteur, des femmes Russes. « À la pointe dénudée de tout, elles [les Russes] ont des exigences vitales, et les Françaises des récriminations psychologiques. » Voilà de quoi donner des démangeaisons salopardes à nos harpies. Je ne détaillerai pas, il faut simplement lire ce livre fondamental, que l’on soit homme ou que l’on soit femme.
Et voilà qu’à ce chaos néo-féministe insupportable, castrateur, quérulent, stupidement revendicatif et finalement destructeur de civilisation, un gars dont je regarde depuis quelques temps les vidéos sur YouTube, Maudin Malin, oppose une métaphore musicale d’harmonie :
C’est poétique, émouvant, tellement vrai par nature. Les constructions sociales loufoques du Ponant pourront toujours avoir la peau de notre civilisation, il demeurera toujours dans le monde des rapports entre hommes et femmes en harmonie avec la nature.
J’attends la chute de Bakhmout !
Raymond.
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