Résistance dans nos campagnes !

Pas question (3)Donc, par oukase, l’infect gouvernement socialaud impose à nos petites villes et à nos campagnes des quotas d’envahisseurs, sous prétexte de mettre fin à la jungle calaisienne. On remarquera que l’idée même de « décentralisation », qui devait donner des pouvoirs aux régions, est un de ces concepts creux et mensongers. Il n’y a que la tyrannie étatique : « accueillez, payez, rompez ! », les régions n’ont pas leur mot à dire, encore moins les Communes. C’est toujours l’État totalitaire, caporaliste. Remarquez que la seule région qui ne soit pas touchée par les abus de pouvoir est la Corse. Le peuple Corse a fait savoir, par de solide démonstrations -parfaitement légitimes- que l’envahisseur n’est pas désirable sur l’Ile de Beauté.

Ah ! Si les continentaux pouvaient avoir le courage des Corses ! Mais non : les voilà avachis devant leurs écrans plats, à bouffer sans retenue des saletés industrielles en s’enivrant de bière bon marché et écoutant les bobards de la propagande recto-humaniste des bobos et autres crétins manipulés par les monopoles. Un peuple arrivé à ce stade d’abjection ne mérite que ce qui lui arrivera, à moins qu’il ne suive les deux ou trois pour cents d’entre nous décidés à mettre les truands européâstres pro-invasion au pas manu militari.

Les socialauds voudraient semer les graines de la guerre civile qu’ils ne s’y prendraient pas autrement qu’en imposant aux populations autochtones des bandes de barbares dont on a vu les exploits à Calais. Le cochon de contribuable est sommé de payer pour être importuné, agressé, volé, voire assassiné, en attendant que l’envahisseur prenne lui-même le pouvoir. Trop, c’est trop ! Il faut en finir avec le mythe des « réfugiés ». Certes, dans l’immense flux intarissable de l’invasion, il y a un petit pourcentage de gens effectivement menacés. Mais l’on sait désormais que la majorité des envahisseurs est composée, à près de 90%, de mâles jeunes sans impédimenta familiaux. Autrement dit, ces rombiers glauques sont à la conquête d’un espace vital où les contribuables leur paient toutes les commodités.

Vider le jungle calaisienne en créant des abcès de fixation partout en France, c’est la pire des solutions, c’est-à-dire la seule pouvant être concoctée dans le cerveau mononeuronal d’un socialiste « progressiste » et mondialiste. Car on ne fait que déplacer et aggraver le problème. Les troubles menacent nos campagnes. Mais les traîtres à la Nation oublient que nos campagnes abritent des gens pas du tout décidés à obéir au « vivre-ensemble », même la kalachnikov dans le dos. Il y aura nécessairement des heurts, avec naturellement les chiens galeux des organisations Sorros, type « no-borders » et « black-block ». Que ces guenilles intellectuelles le sachent : si leurs protégés nous pourrissent la vie, c’est d’abord à leurs protecteurs-agitateurs que nous nous en prendrons. À bon entendeur, salut.

Les solutions sont connues, et récemment nous avons entendu parler du Grand Réembarquement. Fermer les frontières, tirer le bon grain réfugié de l’ivraie invasive, mettre au pas les musulmans, et organiser la grande réexpédition des écornifleurs, le grand retour à l’envoyeur. Pour cela, il ne faut pas de lopettes tyranniques au gouvernement. Il faut -pour un temps- une dictature populaire, le temps de dire « merde » à l’europe des européâstres, aux otaniens, et « adieu » aux envahisseurs. Autrement dit, le temps de retrouver souveraineté et indépendance.

Donc le mot d’ordre est : que partout l’envahisseur se sente malvenu. Que partout ceux qui brament « refugees welcome » reçoivent la dure correction qu’ils méritent. Ne pas se faire d’illusions en songeant au ridicule barnum des présidentielles de 2017, il n’en sortira rien de bon. Il faut libérer ce qu’on aime, soi-même, soi-même, soi-même ! Mort aux vaches, mort aux lois socialistes, vive la démocratie (la vraie !) !

Raymond

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