Oriana Fallaci : « Honte à l’Occident qui capitule devant l’islam ! »
PUBLIÉ PAR ROSALY LE 21 MARS 2018
© Rosaly pour Dreuz.info
J’ai traduit pour les lectrices et les lecteurs de Dreuz un remarquable texte inédit de la courageuse et lucide journaliste Oriana Fallaci, décédée en 2006, un appel déchirant à nos lâches démocraties à lutter contre l’islam. Il est toujours d’une brûlante actualité.
Depuis son décès, la lâcheté de nos gouvernements envers leurs propres citoyens s’accroît : censure, liberté d’expression agonisante, répression à l’encontre des islamolucides traités comme des terroristes.
L’intelligentsia pro-islam, pro-migration, soutenue par les bisounours « peace & love » était à l’époque révulsée, choquée, indignée par ses idées, ses textes, ses écrits courageux et lucides.
Un courage qui dérangea l’élite bien-pensante d’alors – n’ayant rien à envier à celle d’aujourd’hui – nourrie au politiquement correct, sans aucun esprit critique, atteinte d’une cécité collective incurable, professant joyeusement et avec conviction un angélisme pro-islam, pro-immigration musulmane, tandis que l’Europe commençait déjà à brûler sous ses pieds.
Les textes sur le rapport entre l’islam et l’Occident furent écrits par Oriana après le 11 septembre 2001.
Ils auraient pu être écrits hier car rien n’a changé depuis 2001, bien au contraire, et l’islam ne cesse de progresser, d’imposer – de manière soft pour l’instant – son idéologie liberticide et mortifère, avant de terminer le travail par le sabre, une fois ses soldats devenus majoritaires en Europe grâce à l’aimable collaboration de nos pleutres dirigeants.
Ces idiots utiles de l’islam s’imaginent-ils réellement convertir nos ennemis à nos valeurs par l’amour et la tolérance ?
Ne comprennent-ils pas que nos valeurs sont leurs cibles ?
Quand saisiront-ils que le but ultime des musulmans, à quelques exceptions près, n’est pas de cohabiter en paix parmi nous mais de nous soumettre, de détruire nos libertés, notre façon de vivre, notre civilisation ?
Relire les écrits d’Oriana aujourd’hui, c’est accomplir un acte de justice envers cette combattante, cette patriote, cette grande amoureuse de la liberté.
Nombreux parmi ceux qui la traitèrent de folle à l’époque sont aujourd’hui obligés d’admettre que sa vision était juste.
« Chers dirigeants politiques et religieux,
Que voulez-vous de plus, de quoi d’autre avez-vous besoin pour admettre ce que vous savez déjà parfaitement bien, mais que vous refusez de reconnaître par crainte, par hypocrisie ou par convenance, à savoir que nous sommes en guerre : une guerre qui nous a été déclarée par eux, non par nous.
Voulez-vous que cette guerre continue dans toutes les formes possibles, par le sang, les assassinats, les incendies des ambassades (à quand les incendies des églises ?) par les menaces et les paroles, par les persécutions, comme celles que je subis, par les décapitations réelles ou figurées ?
Que voulez-vous de plus ? De quoi d’autre avez-vous besoin pour vous réveiller et comprendre qu’il est temps de nous défendre ?
Que voulez-vous de plus, de quoi d’autre avez-vous besoin pour comprendre que notre liberté est en danger, que notre civilisation est en danger, que la Démocratie est désarmée, veule et suicidaire ?
Que voulez-vous de plus, de quoi d’autre avez-vous besoin pour sortir de l’inertie ou plutôt de la servitude dans laquelle vous vous êtes réfugiés pour protéger vos agresseurs, vos envahisseurs, vos ennemis ?
Don Andrea du diocèse de Rome, âgé de 60 ans, a été assassiné dans son église à Trabson en Turquie à coups de revolver par un adolescent alors qu’il était en train de prier. Il était missionnaire en Turquie depuis 5 ans.
Que voulez-vous de plus ? Dans les rues de Damas, ils chantent « Allah est le plus grand ». Rassemblés en hordes, ils répètent qu’ils veulent la guerre sainte généralisée, qu’ils défendront le prophète dans le sang. Et il ne s’agit pas de deux ou de trois kamikazes, mais de centaines et de centaines de manifestants que vous qualifiez de « modérés ». Certes, ces braves gens ne font pas partie d’une minuscule minorité ou d’une secte restreinte d’assassins et ne doivent pas être confondus avec les terroristes d’Al-Qaïda, car le peuple musulman est bon et pacifique. Mais ce sont ces gens qui débarquent par la suite sur nos côtes et peu à peu, selon une stratégie bien conçue, parfaitement huilée et bien menée nous envahissent, se substituent à nous. Et vous ne dites rien contre eux. Vous marmonnez les mêmes petites condamnations viles et ambiguës., mais vous condamnez énergiquement les auteurs de quelques caricatures pourtant légitimes.
Au Pakistan, la plèbe hystérique vocifère. A Islamabad, les ambassadeurs de France, d’Allemagne, d’Espagne, des Pays-Bas ont été convoqués et condamnés à cause des caricatures blasphématoires. A Amman, le directeur de l’hebdomadaire Shinan a été arrêté pour avoir publié les caricatures du prophète. A Paris, oui à Paris, le directeur de France Soir a été licencié pour la même raison. A Beyrouth, l’ambassade danoise a été incendiée, de même que les drapeaux danois. Dans le quartier maronite, l’église a été attaquée à coups de pierre et les magasins ont été saccagés. Sur Internet, on incite les musulmans à exterminer les Danois.
Mais avez-vous tous perdu la tête ? Et avec la tête, vous avez aussi tous perdu non seulement la dignité, mais également votre instinct de survie. Il n’est plus permis de se défendre, d’essayer de survivre. Mais vous ne comprenez pas qu’aujourd’hui ils brûlent les ambassades et demain ils brûleront les églises et le surlendemain, ils brûleront nos maisons.
Et tout cela à cause de votre inertie, de vos compromissions, de vos peurs. Et au nom d’un amour qu’il est difficile de comprendre, vous vous rangez de leur côté, vous justifiez leur violence physique, intellectuelle et morale.
Nous ne sommes donc plus libres de publier une inoffensive caricature , arme anodine de l’ironie. Nous n’avons donc plus le droit de rire et de sourire. Que signifie la Liberté, quand elle doit veiller à ne pas offenser une certaine communauté, dans ce cas celle des messagers d’une seule religion ?
Il est donc licite d’approuver l’incitation au meurtre d’un citoyen, (comme dans mon cas) en le montrant décapité, mais il n’est pas permis de représenter Monsieur le prophète par un petit dessin où il apparaît comme ce qu’il est, à savoir ridicule. Où est votre Démocratie ? Où est votre respect de la Liberté ? Où est votre Raison ? Où est votre Intelligence ?
Etes-vous des Hommes, êtes-vous des Femmes ou êtes-vous des Choses ? Des domestiques, des esclaves, des chiens fidèles, voilà qui vous êtes, vous qui les protégez, vous qui ne les condamnez pas , vous qui aujourd’hui regardez avec détachement et une fausse objectivité les ambassades qui brûlent et qui demain, observerez avec la même indifférence nos églises et nos maisons en train de brûler. Vous êtes les premiers coupables, car eux ils combattent, mais vous non ! Ils se battent pour une idée infâme, pour le nouveau nazisme, mais vous, vous ne vous battez pour rien. Vous êtes des êtres vides, sans âme, sans cervelle, qui pour survivre êtes prêts à sacrifier le futur, la vie de vos enfants, de vos pays, de votre civilisation.
Je ne vous suivrai pas sur cette voie. Aussi longtemps que j’aurais un souffle de vie, je continuerai à m’opposer à vous, comme je m’oppose à eux.
Je suis profondément blessée, très déçue, horriblement meurtrie par les condamnations ambiguës ou larvées qui ont été exprimées par les dieux, ceux qui devraient être les gardiens de notre Liberté, de notre Civilisation. Ils ont tous condamné ces caricatures. Tous ! Depuis le Département d’Etat américain aux plus hautes Autorités du Vatican. Depuis des Chefs d’Etat et de gouvernements occidentaux comme Blair et Chirac à l’évêque luthérien de la même ville, dont on brûle les ambassades : Copenhague. Depuis des représentants de la Droite à ceux de la Gauche, comme Monsieur Fini, qui submergé par l’audace a déclaré : « Nous sommes sur une poudrière » (Monsieur Fini, quand à Turin, les soldats français envahirent la Citadelle, Pietro Mirca fit sauter la poudrière et eut le courage de mourir avec eux.)
Mais, selon un sondage rapidement réalisé par la Repubblica, seulement 24% des Italiens interrogés se sont rangés de leur côté. 76% des Italiens pensent comme moi. Ces 76% sont-ils tous des crétins, des gueux, des antilibéraux, des fous ? Où est la Démocratie à laquelle vous vous référez constamment si vous ne tenez pas compte de l’opinion de l’écrasante majorité de la population, qui pense comme moi et que vous ne respectez pas ? Cette grande majorité ne compte que pour les voix que vous réussissez à lui arracher lors des élections mensongères dans votre Démocratie mensongère .
En ce moment, en ces jours, dans les maisons italiennes, françaises, anglaises, allemandes, espagnoles, dans les maisons européennes, dans les maisons occidentales les gens pensent ce que je pense. Ils disent ce que je dis. Ils écoutent les nouvelles et entendent que la satire ne peut s’appliquer aux religions, qu’il est même interdit de reproduire le museau du « Prophète », un « Prophète » qui malgré les guerres, les massacres et les meurtres les plus atroces, est oint de Sainteté, un chamelier barbare et assassin qui prônait la destruction de tous ceux qui refusaient de se soumettre à sa soldatesque. L’auteur d’un livre qui semble avoir été écrit par Satan et que vous osez traiter avec le même respect que les Dix Commandements et les Evangiles.
Vous êtes une offense à la Logique. Vous êtes une offense à la Raison. Vous êtes une offense à la Vérité. Vous êtes une offense à la Vie. Vous êtes les défenseurs du culte de la mort. Vous demandez pardon pour le Moyen Age, vous demandez pardon pour les Croisades. Le Moyen Age fut une époque lumineuse, une époque qui soutint et favorisa le développement de notre civilisation, que ce soit dans le domaine culturel, artistique, philosophique, religieux. Les Croisades furent la réponse à leur 11 septembre, à leurs invasions. Vous êtes aussi des faussaires, les Faussaires de l’Histoire.
Il m’est difficile de croire qu’une Eglise – au sein de laquelle le Pape Wojtya parla dans son encyclique « Evangelium Vitae » de « culture de la mort » – invite à ne pas caricaturer ceux qui sont les porteurs de la culture de la mort. Une Eglise qui définit cette culture de la mort, comme une « foi religieuse » et un « culte religieux » alors qu’elle est à l’opposé de sa culture, qui est une « culture de vie. »
Il m’est difficile de croire qu’une Eglise, qui au nom de la Vie se bat contre le massacre d’embryons, contre l’avortement, puisse placer sur le même plan les Evangiles et le coran, à savoir un livre, un « Mein Kampf » qui non seulement autorise, mais invite ses fidèles à exterminer même physiquement celui qui n’est pas musulman. Un « Mein Kampf » qui interdit la liberté de pensée, si elle n’est pas conforme à celle du chamelier.
Il m’est difficile de comprendre pourquoi une Eglise qui n’a jamais protesté avec autant de véhémence contre les caricatures sur le Christ crucifié, les prêtres, les papes, les cardinaux, les évêques, pose des limites à la liberté de la satire (une forme d’expression artistique, qui a toujours existé dans l’histoire de l’Humanité civilisée) mais non à toute la satire, exclusivement à la satire d’une seule religion.
Il m’est difficile de comprendre pourquoi une Eglise, qui en son temps ne protesta guère contre les horribles caricatures des Juifs, aujourd’hui s’insurge contre d’amusantes et inoffensives caricatures sur les musulmans et pense qu’il est inapproprié, voire barbare, de représenter le prophète et les imams pour ce qu’ils sont. »
Aujourd’hui, Oriana Fallaci aurait été arrêtée, détenue puis expulsée et interdite de séjour en Grande Bretagne, à l’instar de Pamela Geller, de Robert Spencer, de Geert Wilders, de Martin Sellner, leader des Identitaires autrichiens, des journalistes Brittany Pettibone et Lauren Southern, de Lutz Bachman, le fondateur de Pegida sous prétexte d’incitation à la haine raciale et à la division des communautés …
Interview choc , traduite en français, de Tommy Robinson par Brittany Pettibone, journaliste et militante politique, sur la vague de répression et de censure politique qui s’abat sur le très « démocratique » Royaume-Uni. Merci à Maujo pour la vidéo.
Tommy Robinson, qui a eu le courage de dire non à l’islamisation de son pays au prix de sa vie, est traité de terroriste par les Autorités.
Cet homme est un héros. Ce qu’il subit pour défendre son pays est tout simplement effrayant, indigne d’une démocratie. J’ai éprouvé une grande admiration en l’écoutant pour son courage, sa force d’âme, son amour de sa patrie, mais aussi une énorme tristesse pour lui et sa famille, ainsi qu’un sentiment profond de révolte contre cet acharnement injuste à son encontre de la part des autorités britanniques. Honte à eux !
La Grande Bretagne devient un état policier où l’ennemi à abattre, à sacrifier, à immoler est le patriote, celui qui aime son pays, celui qui dénonce les atrocités commises par les musulmans, sciemment ignorées par les Autorités policières et judiciaires, d’une lâcheté criminelle. UK=ex URSS
Le Président des Etats-Unis en personne n’est pas le bienvenu à Londonistan, son maire musulman, le très modéré Sadiq Khan exige même qu’il soit banni du royaume islamique de Grande Bretagne.
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Source: : « Che vergogna l’Occidente Non si difende dall’islam » Oriana Fallaci (Il Giornale.it