FTX, Fact & Furious, quel joli plat de malfaisants !

diablesse-et-angeline-gjZé mé marre !

L’affaire FTX révèle d’une part une magouille financière grossière à laquelle un tas de naïfs a mordu au point de se retrouver en caleçon. S’il est vrai qu’il ne faut pas se fier aux apparences, néanmoins en l’occurrence cuculus fecit monacum (la coule a fait le moine), puisque le dénommé Banquier-Frit (Bankman-Fried), bourge américain en short, tee-shirt et baskets (trois vocables made in Yankeeland) et nanti d’une gerce sortie tout droit d’Harry Potter, ne prête guère à confiance. C’est nettement le genre du type « la question est vite répondue » qui se la pète, n’a qu’un pois-chiche entre les deux oreilles, mais plein de malignité déshonnête.

D’autre part, la magouille semble très nettement politique. Primo,  Banquier-Frit (et comment !) est le second gros donateur du parti Démocrate, mafia Biden-Clinton-Obama, juste derrière un grand malfaiteur de l’humanité : Soros soi-même. Secundo, tiens c’est bizarre, il est en cheville avec Zozolensky, le nazillon ukrainien ; il semble y avoir une entourloupette pas très orthodoxe montée par ces deux énergumènes, peut-être en saurons-nous davantage dans quelque temps. Tertio, le merlan-frit affure au forum « économique » de Davos, chez l’infâme Schwab, autre malfaiteur de l’humanité.  En somme, le Fritz coche toutes les cases de la délinquance mondiale. Pour l’heure, il n’est pas encore en geôle et, dit-on, continue à plastronner.

Il est vrai que chez nous, c’est aussi pourri. Tiens, j’apprends qu’un certain nombre de soignants tyranniquement « suspendus » pour avoir refusé l’injection de soupe ARNm, sont convoqués chez Poulaga, on ne sait trop pourquoi, sans aucune doute à l’instigation des maquereaux macroniques. Veut-on les intimider ? Faire le pedigree politique ? En faire des fichés S ?  Quoi qu’il en soit, ce sont des méthodes de nazi ou de bolchevik, dans un pays qui ose encore afficher sa devise « Liberté Égalité Fraternité ». Quelle foutaise !

Mais ce n’est pas tout. Bon, pour le moment, il faut prendre l’info avec des pincettes, mais… Tout le monde se souvient de la « gestion » de la prétendue « crise » covidique par McMacroninsey, ses sbires et ses stipendiés. Conformément à la doctrine Fauci, ils ont commencé par vilipender et interdire des molécules efficaces mais ne rapportant rien à Big-Pharma, telles l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine, et ont faire croire à des millions d’ahuris que la baguette magique est la soupe ARNm. Piquez-vous, braves gens, Macron en aura plus tôt de vous merci ! En vertu de quoi le Gräfin Von der L’Hyène a affuré Pfizer de millions extorqués aux peuples d’Europe. En même temps, dirait Foutriquet, nous avons constaté une campagne de dénigrement systématique de tous ceux qui, savants ou simples gens de bon-sens, avançaient des arguments raisonnables contre cette démente « fenêtre d’opportunité » mondialiste chère à l’infâme Schwab.

Bon : la mode est au « débunkage » ou « fact-checking » (encore des saletés d’américanismes) pratiqué par des médias de grand-chemin possédés par des milliardaires : L’Immonde, Libétorchon et autres feuilles de chou. En vertu de quoi Didier Raoult, Christian Perronne et bien d’autres sommités de la médecine sont taxés de « complotistes » et de menteurs par une bande de salauds. La grosse saloperie, Wikipédia, ose écrire de Christian Perronne : « En 2021, il multiplie les contre-vérités à propos des vaccins contre la Covid-19 et de l’évolution de la pandémie. » Que l’ordre des médecins ait innocenté le Professeur, que la réalité montre l’inefficacité voire la nocivité de la soupe Pfizer rien n’y fait, cette merde wikipédique laisse son venin. Cela mérite une punition physique, genre grosse mandale de maçon, mais les coupables courent toujours.

Mais c’est peut-être que des officines spécialisées en génération de fausses infos, propos diffamatoires et délation, ont été sciemment employées par des énergumènes « haut-placés » pour précisément faire ce travail dégoûtant. C’est en tous cas ce que suggère Idriss Aberkane dans sa vidéo sur YouTube. L’affaire est bien récapitulée avec André Bercoff sur Sud-Radio et avec Clémence Houdiakova sur Ligne Droite (regardez vite avant que Foutriquet fasse censurer !) :

Ben mon colon (comme ne dirait pas un inverti) ! Il y aurait donc une sombre magouille entre l’AFP, dont le sigle signifie « Agence Française de Propagande », les merdias de grands chemins et des officines plus que douteuses, bref, une mafia politico-journalistique travaillant à dénigrer tous ceux qui sagement élèvent des objections à une politique manifestement corrompue ? Voyez-vous, je suis porté à le croire, même si, en bon dissident, j’ai question à tout et vais effectuer une enquête de vérification. Car je soupçonnais -depuis le Lancetgate et la fabrication de « fact-chekers » genre « Les Décodeurs » (plutôt : Les Déconneurs) de l’Immonde et surtout l’annonce faite par la bande à Foutriquet d’un machin « citoyen » pour faire face au « complotisme »- qu’il devait bien exister une machination absconse de cet acabit.

J’espère que l’enquête ira jusqu’au bout. Il n’est pas possible que désormais des voyous corrompus genre Karine Lacombe soient reconnus comme diffamateurs par un tribunal et en même temps blanchis au prétexte de « bonam fidem » (bonne foi).

Petit à petit, grâce aux lanceurs d’alerte et à quelques députés européens honnêtes comme Madame Joron, des pans de vérité commencent à paraître malgré les obstructions systématiques des puissants valets de la finance mondialiste. Obstructions venant d’énergumènes qui font passer Vladimir Poutine pour le Diable, alors qu’ils sont, eux-mêmes, des créatures sataniques !

Ce matin sur Sud-Radio, Éric Naulleau se demandait, en osant comparer Zozolinsky le nazillon avec… le Général De Gaulle ( !!! ), pourquoi il y avait tant de « poutinistes ». Ben mon Naunau, je vais te le dire ! C’est que nous sommes dans un combat de civilisation entre un ouest-Occident totalement décadent et pourri, où la « démocratie » et la « liberté » consistent à faire l’article pour des dégénérés et des malades, où le fin du fin est pour un mec de s’exhiber en bas à résille avec une plume au cul, et un est-Occident qui, après soixante-dix ans de totalitarisme assez semblable dans ses principes à celui que nous vivons aujourd’hui à l’ouest, a gardé les pieds sur terre, combat pour des valeurs réelles même si ses conceptions de la liberté sont très différentes de celles de Soros et de Schwab. Voilà pourquoi nous sommes « poutinistes ».

Sacha

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