Putréfaction

Cette société est en pleine décomposition, et la putréfaction s’est accélérée depuis que les bactéries nécrophages socialistes ont envahi le cadavre.

Enfin, bon… J’y reviendrai tout à l’heure. Pour le moment, le vous transmet le message d’Oscar Freysinger à la manif’ anti-islamofasciste du 10 novembre :

« Le combat contre le dogme islamique n’est pas un combat contre une religion, mais contre un totalitarisme qui s’est revêtu d’oripeaux religieux pour mieux asservir les esprits. Combattre l’Islam, c’est se battre pour le droit des individus à la remise en question de toute idée, aussi dogmatique soit-elle. Combattre l’islam, c’est se battre pour la liberté de conscience et d’expression. Refuser le dogme patriarcal d’un autre âge que représente l’Islam, c’est se battre pour la dignité et l’égalité des femmes. Se battre contre une loi prônant la soumission sans concessions, c’est permettre à l’humanité de relever la tête et se « moucher dans les étoiles », comme disait Brel, plutôt que de mordre la poussière en mettant la tête dans le sable. S’ériger contre les préceptes moyenâgeux d’une nouvelle forme de barbarie, c’est contribuer à libérer tous les musulmans qui aimeraient se défaire du joug idéologique que leur imposent les fondamentalistes.

Que nous soyons bouddhistes, chrétiens, juifs ou musulmans, la première victime de l’islamisme, c’est notre humanité. Cette humanité qui nous recommande de ne jamais jeter la première pierre. Qui nous incite au pardon et à l’amour universel. C’est sans haine pour les musulmans, premières victimes de leur propre dogme, que nous nous érigeons contre la propagation d’une idéologie qui cherche à étouffer notre esprit critique et à nous asservir. Il en va de la survie d’une culture millénaire qui, en partant de l’étincelle allumée jadis en Grèce antique a abouti au siècle des lumières, nous permettant d’émanciper notre raison du carcan qui l’enfermait. Permettre à l’islam de prendre en otage nos sociétés démocratiques, c’est faire descendre à jamais la nuit sur nos têtes. C’est étouffer la flamme du logos. C’est sacrifier la liberté. Quelle que soit notre condition humaine, il est de notre devoir de relever la tête et d’utiliser notre raison pour sauver la diversité culturelle, politique et philosophique qui fait la richesse du monde. Que ce jour marque le début d’une « reconquista » intérieure, spirituelle. Si nous gagnons les têtes et les cœurs de nos frères humains, si des multitudes se lèvent à notre appel, nous sauverons notre dignité, nos droits, notre humanité!

Voilà ce que nous devons à nos enfants et à nous-mêmes !  Vive la liberté ! »

Cela vaut proclamation aux citoyens. Mais, comme je le disais, cette lutte ne pourra pas être légale et pacifique. Car, à l’inverse de la Suisse, nous n’avons pas de démocratie directe. Pas même de démocratie. Maintenant, parlons un peu de cette « chance pour la France » qu’est l’immigration et la diversité communautariste. La bande à Soliveau, Valls en premier, a quelque motif de se ronger les sangs. Le chiffre de la criminalité a augmenté de manière significative, comme nous le montre la statistique publiée aujourd’hui par Le Figaro :

Mais ce qui est accablant pour la bien-pensance, soigneusement caché par les merdiats à la botte et autres lèches-babouches, c’est l’étrange coïncidence de trois cartes montrant la répartition des mosquées, de l’immigration islamique et de la délinquance :

(source)

Les brigands qui nous gouvernent et tous les valets de la charia peuvent nous raconter ce qu’ils voudront : les faits sont têtus, ou alors la réalité est fââââschiste !

Bon, maintenant, on veut « le mariage pour tous » et du coup le principe d’adoption pour les messieurs-dames. Soit. Deux faits – pas si divers ! – vont vous permettre de juger de l’affaire. Le premier est relaté ici par LifeSite News : deux lesbiennes sid-africaines tuent leur « fils » de quatre ans parce qu’il refusait d’appeler « papa » l’une d’entre elles. Le second est relaté ici par le Daily Mail : deux lesbiennes américaines « permettent » à leur « fils » de devenir une fille par traitement hormonal et ablation du pénis. Cela se passe en Floride, où la loi permet ce genre d’adoption. L’enfant souffre d’une carence du langage, mais d’après ses bourreaux, il aurait appris la langue des signes et aurait dit signifié en premier « je suis une fille ». On va les croire ! « At age seven, after threatening genital mutilation on himself, psychiatrists diagnosed Thomas with gender identity disorder. By the age of eight, he began transitioning. » À sept ans, après une dangereuse tentative de mutilation génitale, les psychiatres ont diagnostiqué un trouble de l’identité sexuelle sur ce petit Thomas. Vers l’âge de huit ans, il aurait commencé à muter. Lorsqu’on sait – Vautrin l’a montré maintes fois – que les psychiatres ne savent même pas ce qu’est réellement la sexualité, il y a lieu de s’inquiéter. En tous cas, l’hôpital de Berkeley a accepté de faire subir à l’enfant un « traitement » hormonal. Une monstruosité des docteurs Frankeinstein. Car cet enfant n’a pas encore accédé à la responsabilité sociale : c’est un artefact parental. Inadmissible.

Voilà, c’est tout. Vautrin a raison de souligner qu’il y a bien altération, donc folie. Mais la folie est aussi dans la tête des Diafoirus. Les législateurs socialistes, écervelés comme tous ceux que nous connaissons depuis trente ans, feraient bien de réfléchir à ces deux cas. Mais ils sont trop prisonniers d’une idéologie délétère, trop bêtes en somme, pour penser.

Enfin, je veux signaler que notre Armée, déjà impayée, aura des effectifs inférieurs à ceux de l’armée d’armistice concédée par l’occupant allemand. La nouvelle est ici, chez <forcesoperations.com>. Voici le texte :

« En 2012, l’armée de terre comptera moins de 100 000 soldats

Le seuil est symbolique. En 2012, l’armée de terre passera sous la barre des 100 000 soldats. Un palier jamais franchi par l’armée française depuis sa création en tant qu’armée professionnelle et permanente par… louis XIV! Même sous l’occupation en 40, désarmée, l’armée avait été contrainte de réduire ses effectifs à… 100 000 militaires! En 2012, l’armée de terre va perdre entre 6 000 et 7 000 soldats, puis, à partir de 2013, de l’ordre de 1000 à 1500 militaires par an… Cette dernière vague de réduction des effectifs des armées, résulte d’une réforme annoncée en 2008 par le précédent ministre de la défense et formalisée en 2008 par le livre blanc. Cette tendance à la réduction de format est constante depuis le lendemain de la guerre froide. Il est vrai que le contexte géostratégique n’est plus le même, la France n’a plus de menace directe à ses portes. Puis la crise budgétaire est passée par là. Il est aussi vrai que les équipements aujourd’hui permettent plus, voir beaucoup plus, avec moins de soldats. Et la grande partie des opérations extérieures se réalisent le plus souvent dans un cadre multinational. Espérons que cette situation perdure…

Mais le plus inquiétant est sans doute les tensions vécues par l’armée de terre. Comme le rappelait récemment le Chef d’état major de l’armée de terre (CEMAT), le général Ract-Madoux lors de son audition devant les parlementaires, l’armée de terre n’a jamais connu un aussi fort déploiement de forces outre-mer: 36 000 hommes, soit plus d’un tiers de ses effectifs.

Tout aussi inquiétant, les coupes budgétaires contraignent à supprimer des exercices et des manœuvres, pourtant essentiels à la préparation des soldats. En 2012, le nombre de jours de préparation et d’activités opérationnelles devrait être de 110 contre 120 jours en 2010, soit 60 millions de journées d’activités. Ce dernier seuil annuel étant considéré comme celui nécessaire pour une bonne préparation opérationnelle. « Nous craignons d’atteindre les 105 jours en 2013″, s’alarmait le CEMAT fin octobre. D’autant plus que, d’après nos informations, les unités de retour d’Afghanistan, ne sont pas comptabilisées dans ces journées d’exercices. Il va donc falloir les ré-inclure dans le cycle des exercices. Mais à quel prix? »

Seuls les cons nous diront que nous n’avons pas de menaces aux frontières ! Seuls les traîtres espèrent toucher les « dividendes de la paix ». De quelle paix, alors que nous sommes – objectivement – en guerre ? Sa bouffissure l’État n’assure plus son premier rôle régalien, qui est la défense de la patrie. Il n’assure plus son second devoir, celui de police et de sécurité. Il viole les principes fondamentaux de l’alliance.  Il préfère nourrir les prébendiers, mendiants, vagabonds, gens sans aveu, coureurs de nuit, joueurs de balle sur les places publiques, oisifs et fainéants. Et pour cela nous écrase d’impôts.

Têtebleu ! Je vous rappelle, citoyens : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs« . C’est dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1793. Oubliez-vous ce que furent nos Anciens ?

Raymond.

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