À quelques heures du match, je souhaite ardemment que l’Allemagne dégage la France de la coupe du monde. Il y a plusieurs raisons à ce souhait. La plus simple est d’éviter la propagande black-blanc-beur qui ne manquerait pas de se déchaîner en cas de victoire des mercenaires constituant l’équipe « de France ». La seconde est que la méduse élyséenne, tout en ne faisant rien, pourrait tirer profit d’un succès des bleus. On raconte qu’il aurait regagné deux points de popularité rien qu’en demeurant assis sur son derrière avec les bras croisés : son ministre des chaises musicales, il est vrai, lui sert de paravent et prend les coups à sa place. Mais enfin, cela montre qu’il y a trop d’imbéciles dans ce pays.
La raison majeure de mon souhait est tout simplement que la France ne mérite en aucun cas même la plus petite parcelle de gloire, dans la mesure où en 2012 une majorité même relative a porté au pouvoir une bande de flibustiers amateurs, pourris d’idéologie, et que devant les ravages occasionnés au pays par cette engeance infernale, personne ne se lève, le fusil à la main, pour la chasser.
Le pays se délite de plus en plus rapidement. On a légalisé la perversion, on s’apprête à légaliser le trafic d’enfants, on brouille et embrouille la distinction naturelle des genres, on fait exploser la famille : on appelle cela des réformes sociétââââles, selon le solécisme socio-fasciste à la mode. En même temps, on travaille activement au remplacement de population, puisqu’à l’immigration de travail on substitue une immigration uniquement attirée par le sociââââl, c’est-à-dire des claque-dents paresseux vivant aux crochets des citoyens. Avec cette invasion se consolide une religion de chamelier dément, qui reçoit toutes les protections possibles de la part d’une « justice » tellement convertie à la dhimmitude qu’elle fond comme le gerfaut sur tout citoyen osant sonner l’alarme ou simplement exprimer son indignation devant les excès et l’arrogance des barbus.
Il s’est installé en cinquante ans, depuis la Libération, une caste de fonctionnaires et de para-fonctionnaires, prébendiers jaloux des « avantages acquis » qu’ils défendent bec et ongles en prenant pour otages les citoyens usagers des services publics. On recentralise à outrance, témoin le charcutage régional auquel s’essaie le sire de Tulle, ou encore tout simplement l’impression centralisée des cartes grises. Un État boulimique s’immisce partout dans la vie des citoyens, tellement qu’il ne peut même plus jouer ses rôles régaliens de défense, de sécurité intérieure et de diplomatie. Le citoyen est épié, espionné, téléguidé, et peut se voir à tout instant privé d’autonomie par une « justice » partiale, aux mains d’un syndicat nazi appuyé par une fasciste indépendantiste guyanaise.
Quant à l’économie, n’en parlons même pas : tout est fait pour que s’accélère la ruine des entreprises vouées aux gémonies par les tyranneaux qui gouvernent et ne rêvent que de soviétisation. On fait tout pour décourager les investisseurs, tant nationaux qu’étrangers, on gaspille l’argent extorqué aux citoyens dans des opérations de nationalisation rampante. On écrase les entreprises et le peuple sous des taxes inadmissibles et des impôts démesurés. Toutes ces dévastations sont la conséquence de la sortie de la démocratie. Ce pays n’a jamais été vraiment démocratique, malgré toutes les pétitions de principe dont se gargarise la gauche fasciste. Il l’a été un peu, démocratique, par le passé. Aujourd’hui, il ne l’est plus du tout. Nous ne sommes plus en démocratie. Et l’unique préoccupation de ce pouvoir de fainéants pourris, amateurs en toutes choses, c’est de perdurer.
Perdurer, c’est-à-dire réussir l’exploit de se voir reconduire en 2017 malgré la colère provoquée par ses déprédations, ses pillages, sa malhonnêteté, sa corruption, sa perversion. C’est dans cette optique qu’il faut interpréter l’acharnement judiciaire, téléguidé par le cabinet noir élyséen contre Sarkozy. J’ai souvent exprimé mon opposition à cet homme, j’ai dénoncé son traité de Lisbonne, trahison de la démocratie, j’ai condamné ses gesticulations notamment en Lybie, j’ai pourfendu les demi-mesures de ses réformes. Cependant, je ne puis qu’être d’accord avec Guy Millère :
« Mais en voyant ce que l’affligeant François Hollande et sa cohorte socialiste font de ce pays, je ne peux faire autrement que me dire que Nicolas Sarkozy avait au moins conservé une dignité à la fonction présidentielle, n’avait pas tenté de détruire la famille, ne s’était pas efforcé de broyer ce qui reste de l’économie françaises sous des surcroîts de charges et de rigidité absolument délirants, et n’avait pas essayé de démanteler la justice. Sous Hollande, la France est tombée très bas. Elle est tombée tellement bas qu’il devient difficile de voir comment elle pourra sortir du caniveau où elle git présentement. Et quand quelques matches de football seront passés et que ceux qui s’excitent sur un ballon auront fini de s’exciter, bien des tourments et des tumultes se feront vraisemblablement jour. L’heure est grave. (…)
(…) En voyant la dérive effrénée de la justice qui, s’éloignant chaque jour un peu plus des principes élémentaires du droit, en se faisant justice politique façon Fouquier-Tinville au petit pied, en piétinant des principes élémentaires tels la présomption d’innocence, le secret de l’instruction, le respect de la confidentialité des rapports entre un avocat et son client, en travaillant parfois en synergie avec des organes de presse dirigés par des militants trotskystes déguisés en journalistes, conduit la France vers un fonctionnement de type totalitaire dans lequel tout un chacun sera bientôt en liberté très provisoire, présumé coupable, susceptible d’être arrêté n’importe où et n’importe quand pour délit d’opinion, je dois dire que je discerne ce qui me paraît ressembler à une machination méphitique contre Nicolas Sarkozy, destinée à lui enfoncer la tête sous l’eau et à l’empêcher d’avoir désormais la moindre prétention politique, et je dois dire que je souhaite que cette machination se brise. »
Tout est dit. Ce que recherche ce régime infâme, c’est un duel entre deux partis fascistes, le PS et le FN, en faisant le pari peu risqué du « front républicain », leurre méprisable, en 2017. Et la partie est vraiment mal engagée pour la France, car il n’y a plus de droite forte et « décomplexée » à l’horizon, ni, surtout, de grande force libérale capable de balayer toute cette racaille. Alors, que les plus hardis de nos jeunes décident de quitter cette épave en perdition et aillent tenter leur chance ailleurs : le monde est vaste et la France est finie.
ALLEZ L’ALLEMAGNE !
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !