Par quelque bout que l’on prenne l’affaire, force est de reconnaître qu’en élisant par défaut le chef d’une bande de fanatiques inspirés par des officines fascistes du style Terra Nova, puis en lui donnant les moyens parlementaires pour accomplir ses forfaits, des électeurs à cervelle de colibri – 38,91% du corps électoral dans le premier cas, 26,76% dans le second – ont poussé le pays dans le gouffre et la honte.
Certes, devant l’ampleur de la catastrophe, Hollande et consorts sont désavoués, presque plus personne parmi les électeurs ayant appelé le fléau sur nos têtes n’ose avouer avoir voté pour cette camarilla corrompue qui s’accroche au pouvoir avec l’obstination du Phtirus pubis taquiné par la pyréthrine. Et, à moins d’un miracle, nous devrons les subir encore deux années et peut-être, par malheur, bien au-delà. Car ils manœuvrent : s’ils n’ont pour le moment que peu de chances de conserver l’Élysée en 2017, du moins espèrent-ils organiser le chaos aux législatives suivantes, car, en véritables paraphrènes, ils sont persuadés d’avoir raison, même si la réalité, têtue, ne cesse de les démentir.
Pour cela, il leur faut regagner cette partie de l’électorat qui a grandement contribué à l’élection de Hollande, faisant de lui l’élu des sept-cents mosquées. Le passage en force de la loi perverse portée par Taubira a sans doute réjoui une fraction – une faction, plus exactement- archi-minoritaire de la population, soutenue par des groupes de pression capables de produire sur les ondes un tintamarre hallucinant de propagande, mais stratégiquement l’affaire a dissuadé les électeurs musulmans de voter pour leurs idiots utiles : on ne vote pas pour ceux qui banalisent la perversion. Sur ce point-là, on ne saurait donner tort aux adeptes du coran.
Ce bel exploit, ajouté à beaucoup d’autres, a fait voler en éclats le système socialiste. Pour le réparer, conformément aux élucubrations terra-neuviennes, on emploie la colle palestinienne. Désolé de ne pas rendre hommage à celui qui a trouvé cette métaphore de la « colle palestinienne », je ne me souviens plus où je l’ai lue, mais elle m’a paru tellement adaptée que je me l’approprie. Donc la manœuvre ne pouvait pas ouvertement partir du gouvernement, elle eût mis celui-ci diplomatiquement dans l’embarras. Le plus sûr était d’actionner une majorité parlementaire parmi laquelle siègent bon nombre de fanatiques pro-palestiniens et anti-juifs. On jouait sur du velours, puisqu’il y avait des précédents : le parlement d’une Suède presque entièrement subvertie par une immigration provoquée, ceux du Royaume-Uni et de l’Espagne, avaient voté pour une reconnaissance de « l’état palestinien ».
Ne perdons pas de vue le but de l’opération honteuse : c’est le pseudo-dissident Hamon qui le confesse, « cette résolution (sur la Palestine) est tout à fait opportune sur le plan électoral. Il s’agit du meilleur moyen de récupérer notre électorat des banlieues et des quartiers. » On ne saurait mieux démasquer involontairement l’infamie. Pour essayer d’enrayer sa déroute, le socialisme instrumente à la fois les palestiniens et les Israéliens, et manipule les hordes qui l’été dernier hurlaient « mort aux Juifs ! » dans les rues de Paris en soutenant les criminels du hamas. Qui donc parlait des « heures les plus sombres de notre Histoire » ? Les heures les plus sombres, c’est maintenant. Les ténèbres sont toujours là, à attendre de prendre les hommes.
Le vote infâme et ridicule de la gauche parlementaire est, de toute façon, inconstitutionnel : c’est au gouvernement de décider de la politique étrangère de la France. Cette assemblée-croupion ne peut que faire des « recommandations » que ce gouvernement de rencontre, n’en doutons guère, s’empressera de suivre pour les raisons que j’ai exposées. Mais on ne doit pas oublier l’autre aspect de cette outrecuidance socialiste : l’ingérence. Des députaillons français prétendent imposer à un État, menacé de destruction selon la charte palestinienne, de renoncer à discuter avec son ennemi des frontières qui doivent les séparer, de la sécurité, du problème du partage de l’eau et ainsi de suite. Autrement dit : c’est une injonction faite unilatéralement à un pays et un permis de faire n’importe quoi accordé à une entité qui n’a jamais, en dépit des efforts de ses soutiens occidentaux, réussi à constituer un État. Car ne négligeons pas ce fait : la palestine n’existe pas, elle ne rêve que d’exister sur une terre vide de Juifs, sur le territoire d’Israël devenu tabula rasa. S’il en allait autrement, cette entité « palestinienne » qui a pendant des décennies bénéficié de l’aide financière internationale la plus forte per capita serait aujourd’hui un État plein et membru. Mais tout est gaspillé en accaparement, corruption et guerres – voir les tristes exploits du hamas.
Chez les socialistes, l’imbécillité le dispute à la fourberie. Ils ne voient pas que leur vote parlementaire, loin d’appeler la paix, envenime la situation et prépare la guerre. Les socialistes, aveugles, ne voient pas qu’ils contribuent à miner le seul bastion de l’Occident face au monde musulman. La boucle est bouclée : en voulant, pour d’infâmes raisons électorales, acheter le soutien des banlieues djihadistes, les socialistes contribuent à l’avènement de la barbarie. Fous qu’ils sont ! Ils ne comprennent même pas qu’une fois maîtres de l’État, leurs actuels protégés ne les épargneront pas davantage qu’ils n’épargneront leurs adversaires.
Il reste pour nous tous, Français, la honte. Le parlement est appelé la « représentation nationale » ; quelquefois les mots tuent. Car, en dépit qu’on en ait, en dépit du fait que ces misérables n’aient dû leurs sièges qu’à moins de 27% des votes du corps électoral, les institutions les rendent légaux et les autorisent à commettre leurs forfaitures « au nom du Peuple Français ». Que nous le voulions ou non, tant que le Peuple n’a pas envahi le Palais Bourbon et défenestré ces bougres, ils nous « représentent », c’est-à-dire : leurs méfaits sont les nôtres, leur honte est nôtre. Alors j’approuve ce jeune Français de confession israélite qui a brûlé sa carte d’identité.
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !