La Rédac râle

Deux connes et un barbuDeux connes et un barbu.

Un ver doit forer le cerveau des Français. Un sondage –mais ne serait-ce pas un « hoax » commandé par le parti spoliateur ?- annonce le candidat socialaud vainqueur par KO (53/47) dimanche prochain dans la 4eme du Doubs. Bien sûr, ce lèche-babouches fera le plein des voix de la racaille gauchiste (verdâtres, staliniens du PC, staliniens du front bas de gôche). Mais tout de même, selon cette sonde pénienne, 50% des gens ayant voté pour l’anti-petits blonds vont aller à la pêche, 26% irons comme des cons élire le socialaud, 24% iront voter FN. Hé, mais ça ne fait pas le compte, si vraiment, comme ça a été dit, le parti spoliateur n’avait plus de réserves électorales. Donc ou bien ce sondage approche de la réalité, ou bien c’est une nuisance concoctée par les socialauds.

En tous cas, dans l’UMPS, ça couine. Le « ni-ni » (peau de chien) ne plaît pas aux stipendiés du Qatar et autres lèches-babouches. En particulier au pire d’entre eux, le repris de justice Jupette, condamné pour prévarication et redevenu maire de Bordeaux parce que la République bananière se fout de la probité des salauds qui prétendent la gouverner. Rien d’étonnant : Juppé est une carpette, et rien ne dit que quelque jour il ne redeviendra pas ministre… dans un gouvernement socialaud. Autre couineuse, l’andouille NKM. La photo que j’ai choisie la montre aux côté d’une autre pourrie, son maire (ou SA maire), et d’un joli barbu en pleine taqia. Aussi puis-je intituler cette photo : « deux connes et un barbu ».

L’UMP est une serpillère usagée, bonne à balancer avec l’eau de nettoyage du carrelage. Voilà, voilà ! Tout ça ne laisse rien augurer de bon pour l’avenir du pays. Le fascisme a encore de beaux jours devant lui. La France est définitivement foutue.

Raymond

Autorité : avons-nous besoin d’un Führer ?

Je suis assez d’accord avec la première ligne de l’annonce sur la « une » de Valeurs Actuelles (5-11 février 2015): « De l’Ordre ». Oui, dans cette pétaudière socialiste qu’est la France, il faut de l’ordre. Mais pas celui, totalitaire, des socialistes ! L’hebdomadaire (que j’aime lire, par ailleurs), prétend ensuite que « les Français veulent de l’autorité », ce qui est illustré par une petite fille portant l’emblème national et faisant le salut militaire. Á mon avis, la rédaction de VA cherche le bâton pour se faire battre par la bien-pensance. Moi, j’aime bien ce genre de provocation, mais…

Mais pour qu’il y ait autorité, il faut qu’il y ait à la fois légalité et légitimité. Deux conditions qui ne sont pas systématiquement contradictoires, mais aujourd’hui pratiquement impossible à réunir, tant la caste politique est illégitime. Est légitime celui qui, prétendant gouverner nos désirs, est maître des siens. J’ai beau chercher, je ne trouve personne répondant à ce critère parmi les gens de pouvoir ni parmi les impétrants au pouvoir. J’y vois plutôt des appétits féroces, une soif de domination, un besoin irrépressible de satisfaire leur hédonisme. Donc la volonté non de servir, mais celle de se servir. Á nos frais, cela va de soi.

On estime à juste titre que le malfaiteur de l’Élysée manque d’autorité. Incontestablement. Dans l’opération de récupération de janvier, il a essayé de revêtir l’habit taillé pour un Autre disparu depuis longtemps, mais il est trop petit pour le remplir, comme les pieds d’une fillette ne remplissent pas les chaussures qu’elle a empruntées à sa mère. Mais ce qui me tue, c’est de lire dans le forum des lecteurs de VA une contribution intitulée « Á quand un nouveau de Gaulle ? »

Premièrement, un personnage de ce calibre, il n’y en a qu’un par siècle, et encore le XIXe n’en a pas eu (Buonaparte était du XVIIIe). Deuxièmement, je ne vois pas en quoi un Chef, Guide ou Führer pourrait être utile à un peuple. Cela voudrait dire qu’il verrait plus « loin » que le citoyen lambda et qu’il pourrait plier la Nation à ses projets. Or le Guide ne fait rien d’autre que de bénéficier d’une délégation de pouvoir, pas d’un blanc-seing. De ce point de vue, la démocratie directe est infiniment supérieure et notamment, décidant avec sagesse, évite les équipées sanglantes dont on se relève mal, en léchant ses blessures. Nous n’avons pas besoin de Führer, et ceux qu’on nous propose sont des pupazzi de pacotille.

Pour le reste, les quart de moitié de commencement de mesures proposées par les socialistes, mais curieusement aussi plébiscités par pas mal de citoyens, ne sont que des ressucettes de vieilles désuétudes. Service national ? Je ne dis pas, nous aurons peut-être besoin quelque jour de gros bataillons pour faire face à l’islam. Mais alors il faudrait que le contingent ait une valeur militaire (ce qu’il n’avait plus à la fin de l’obligation militaire et je doute que les choses aient changé depuis) et que les ennemis en soient écartés. L’école ? Mais elle se heurtera toujours à ce que l’on appelle le « communautarisme », c’est-à-dire au refus d’instruction civique de la part des musulmans. On pourrait tout détailler des « mesures » socialistes, on arriverait à des conclusions similaires, mais cela rendrait trop de temps et ne serait pas utile. En tous cas, cela coûtera cher pour des résultats lamentables.

Ils sont coincés. Et, malheureusement, nous aussi, et c’est de notre faute, puisque nous ne les chassons pas du pouvoir.

Sacha

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