Le train-train des scandales

TOUCHE PAS Á MON ISLAM (4)La situation se dégrade très vide, et chaque jour apporte son quota de scandales. Le Parisien raconte qu’une de ces officines gauchistes qu’on baptise par excès « université », celle de Paris 13 – il est vrai installée en zone de charia, dans le 9-3 – autorise, en violation de la loi sur la laïcité, le port du voile. D’ailleurs, quand les boîtes aux lettres qui y viennent s’y rendent à vélo, leurs roues aussi sont voilées. Bon : il y a un cours de Master 2 de droit des affaires. Après tout, une emburquée peut bien y participer, le petit commerce intéresse aussi cette catégorie de quidams. Mais tout de même, le 2 février, un prof, sans s’en prendre directement à la fanatique, déclare être hostile « au port de signes religieux dans l’espace public ». Ce qui est son droit et conforme à la loi de laïcité. «Il nous a dit qu’il avait grandi à Sarcelles, il a fait l’éloge du multiculturalisme mais il a aussi dit qu’il ne supportait pas l’affichage de signes religieux et qu’il ne s’attendait pas, après Charlie, à devoir faire cours devant une étudiante voilée. » Et il avait raison, car c’était bel et bien une provocation.

Le problème est que dans le groupe des 15 étudiants, il y a des dhimmis et des bisounours. Ces petits cons vont cafter sous prétexte que leur « camarade » aurait été humiliée. Ah ! Les bons petits socialistes ! Le prof, ne se faisant pas d’illusions sur le courage politique des sorbonagres, a écrit à la responsable du master qu’il n’avait pas l’intention de continuer à faire cours devant une étudiante voilée. En bonne administration, la loi de laïcité devant primer, il aurait dû être entendu et l’étudiante sommée de se soumettre à la loi ou de ne plus venir en cours. Mais nous sommes sous le règne du scootériste Grand Protecteur de la Charia. Donc le prof a été suspendu de cours. Logique, non ?

Le président de Paris 13, un certain Salzmann, s’est même fendu d’une déclaration : « le port du voile est autorisé à l’université, si un enseignant, a fortiori un avocat qui connaît le droit, s’autorise à faire de la discrimination, la première chose à faire c’est de le suspendre. » Disons que le carabin (il est praticien hospitalier) président aussi de la Conférence des Présidents d’Université (CPU), organisme nettement fascisto-stalinien, est probablement socialiste. Il a été au cabinet d’Hubert Curien. Et il a été réélu en 2012 à Paris 13 grâce au vote des étudiants – n’oublions pas que l’UNEF est le principal syndicat étudiant et pépinière du Parti Spoliateur. Les Maîtres de Conférences, eux, n’ont pas voté pour lui. Bref : on a affaire à un serviteur du régime. Donc son geste et son commentaire ne surprendront personne. Ainsi va l’université dans la France hollandienne. Nous ne contesterons pas à M. Salzmann des compétences techniques et scientifiques, mais qu’il reste dans son labo, sacrebleu !

Le prof avocat connaît certainement mieux le droit que son « président », et probablement connaît-il dans le détail la loi de 1905. Mais dans un pays où le gouvernement fait tout pour dédouaner l’islam du djidahisme, en braillant « padamalgam » à tour de glotte, le Droit n’existe plus. Cui prodest ? demandant le juriste Romain ? Á qui profite le crime ? Tous nos lecteurs connaissent la réponse.

Bitaura smallUn autre truc que je cite rapidement. Bitaura est définitivement aliénée. Folle à ne plus se sentir déconner. Je lis sur le site de ré-information « La Gauche M’a Tuer » que l’indépendantiste voudrait … que les victimes aident leurs bourreaux à se reconstruire. Comment ? « C’est à la victime de faire ce travail. Par exemple, des parents ont été dans l’obligation d’entretenir une correspondance avec le meurtrier de leur fils. Un peu comme si on voulait faire revivre deux fois la douleur de la perte de leur enfant.

On nous explique que cela donne des résultats mais surtout qu’il s’agit d’apaiser les auteurs des crimes et délits. Ainsi d’après nos magistrats « La plupart des auteurs peinent à comprendre qu’ils ont fait du mal ils se contrefichent de la victime et n’ont du coup pas de frein intérieur. Il faut leur faire prendre conscience de la gravité de leur geste »

Alors disons-le franchement : si j’avais à m’adresser au meurtrier de mon fils, je remplacerais la guillotine si gentiment annulée par Badinter, je crèverais l’assassin, par justice justement réparatrice. Ce n’est pas possible que nous en soyons arrivés à ce point de démence et qu’une femme comme Bitaura puisse encore être tolérée au gouvernement. Ils sont tous d’une connerie à bouffer du foin, ces gens-là. Un criminel endurci n’éprouve jamais de culpabilité, car il n’est pas équipé pour ça, et le seul moyen de le mettre hors d’état de nuire, c’est perpète au secret ou la mort. Oh ! Ils savent faire pour obtenir une remise de peine, c’est fou le nombre de conversions charismatiques qui se déroulent en milieu pénitentiaire. Et je ne vois pas un djihadiste, supérieurement convaincu, au contraire, d’avoir agi dans le respect de la parole d’allah, faire acte de contrition. Bande de déments, juges rouges, philosophes à la manque, naïfs de rive gauche ! Et ces salauds sont des sadiques, de vouloir imposer aux victimes une action de reconstruction de cette sorte.

Ce pays est à gerber !

Raymond

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