Non, non et non !

Pas question (3)Les fachossialistes, soutiens des nazislamistes, déversent des tombereaux de sale propagande sur le pays. Récemment, ils ont organisé un raout à la Maison de la Chimie, qui a regroupé quelque 600 maires, presque tous gauchistes, avec quelques idiots utiles de LRPS et centristes. But de ce rassemblement : tenter de faire passer leur salade faussement « humaniste », faire admettre qu’il serait légitime de recevoir des envahisseurs dans les communes de France. Il faut croire que la propagande éhontée dont le Propaganda Staffel assomme les citoyens ne fonctionne pas comme l’espèrent les traîtres qui prétendent gouverner, car il y a 36 000 communes en France, et donc seulement 1,66% des édiles ont répondu à l’appel des bêlants. J’appelle ça « prendre un vent », « faire un four », un « bide », quoi. Et c’est heureux ! Oh, bien sûr, les élus de la droite molle –la droiche- sont le cul entre deux chaises, parce qu’empoisonnés par les chantages gauchistes ; je sais bien que ces courageux fuyards sont prêts à agir en catimini et tranquillement installer l’envahisseur dans les communes.

Naturellement, et tel est le diktat de Bruxelles, les citoyens ne seront jamais consultés : on impose de manière autocratique – et autistique- une mesure propre à faire éclater les sociétés et provoquer la guerre civile. Devant ce déni de démocratie –mais l’Europe de Merkel et Hollande n’a rien d’une démocratie ! – les peuples réagissent, du moins à l’Est de l’Europe. Chez nous, des édiles courageux prennent des mesures de sécurité, comme Robert Ménard à Béziers. Le jeune maire de Beaucaire, Julien Sanchez, a eu le courage d’affronter les six-cents traîtres à la Maison de la Chimie, et de poser devant Mussolinito et son sinistre de l’intérieur, des questions dérangeantes. Comme on pouvait s’y attendre, les maires fachossialistes ont traité Sanchez de « facho », ce qui est un comble. Ainsi que l’avait prédit Churchill, même les fascistes se disent anti-fascistes ! Ils nous administrent une belle leçon : le socialisme et la démocratie sont des entités incompatibles.

Hier, Vautrin parlait de « violence » faite aux peuples d’Europe : c’est très exactement cela. Je ne veux pas nier que parmi le flot d’envahisseurs vomi par la Méditerranée il n’y ait quelques réfugiés, des minorités religieuses menacées de mort par les criminels de « l’état » islamonazi. Mais comme cela a été souvent souligné, les envahisseurs sont très majoritairement des hommes jeunes, en âge de se battre. Que ne résistent-ils les armes à la main contre l’oppresseur ? La vérité est qu’ils arrivent attirés par les incroyables cadeaux du « social », qu’ils sont là pour ne pas travailler et vivre aux crochets des contribuables européens en attendant de faire souche. En même temps, ils sont les chevaux de Troie du djihadisme. Comme il est impossible de distinguer les authentiques réfugiés des envahisseurs, je suis tenté de dire, parodiant Arnaud Amaury, « Fichez-les tous dehors, Dieu reconnaîtra les siens. »

C’est une mesure de salut public. Que demeurent ceux dont on est sûr qu’ils sont réellement menacés, qu’ils s’engagent à respecter nos lois, soit. Mais à ceux qui viennent à la conquête des aumônes « sociales », prêts à accomplir les fonctions de soutien de muraille, de joueurs de dominos, d’oisifs et fainéants, je réponds, comme Saint-Paul :  « Quand nous étions près de vous, nous nous donnions cette règle : si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus. » (2 Thessaloniciens, 3,7 et sq). De même, dans la parabole dite des Talents, Jésus prévient : « celui qui ne sait pas faire fructifier ce qu’il a reçu du Seigneur sera jeté dans les ténèbres.» Que ceux qui ne veulent pas travailler ni respecter nos lois soient rejetés au-delà de la Méditerranée.

Quant aux gauchistes, je souhaite leur destruction et l’éradication de leurs idées mortifères.

Raymond

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