« Je fais la guerre ! » (Clémenceau)

coup de pied au cul islamiqueÉvidemment, une fois de plus le gouvernement et toute la gauchaille veulent se dédouaner et dédouaner leurs chers musulmans. Ils auront quand-même du mal à nous refaire le coup « charly », en utilisant le subterfuge de la « liberté » d’expression. Fini, terminé ! Cette fois, c’est la sécurité du citoyen lambda qui est sur le devant de la scène, et il n’y a pas à tortiller : les sagouins gouvernementaux ont failli. Tout le monde s’en rend compte. Et tout le monde sait que les assassins ont braillé leur cri de guerre, « allahu akbar » ; on sait donc quel est l’ennemi. Il faut lui faire avaler non seulement ses dents, mais son extrait de naissance.

Mais voici que le vice-chancelier convoque le congrès parlementaire : ça pue fort l’article 16. Pas que nous soyons contre, mais peut-on déléguer tous les pouvoirs à un incapable dont les inspirateurs terra-neuvesques lui font préférer les envahisseurs (islamiques de surcroît) aux autochtones ? Non, non, et non ! Si ce n’est pas pour l’article 16, ce sera pour quelque autre manœuvre contre le peuple, car la priorité des valets de l’impérialisme européâstre est de le faire taire. Méfiance, et préparons-nous à la clandestinité et aux maquis. Nous allons rendre coup pour coup.

En attendant, j’apprécie ce que dit Robert Ménard sur Boulevard Voltaire de cet après-midi :

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Robert Ménard, maintenant, on fait quoi ?

François Hollande a dit hier soir que la France allait être « impitoyable ». J’aimerais que ce soit le cas. Qu’on ne reste pas dans le commentaire, dans le pathos. Un chef d’État, lorsqu’il parle à la nation au lendemain d’un massacre comme celui d’hier, n’a pas le droit de tromper ses concitoyens.

Alors, que faire ? D’abord, nous avons des services secrets. Il faut leur donner le feu vert : élimination systématique n’importe où dans le monde des islamistes directement mêlés aux attaques d’hier soir. Il ne faut pas « neutraliser » ces gens. Il faut les abattre.

Ensuite, il faut vider l’eau du bocal. Que les commandos islamistes ne soient pas comme des poissons dans l’eau. Arrestation immédiate de tous les islamistes fichés S. Pas de places en prison ? Ce n’est pas le sujet. Nous sommes en guerre. Création de camps de prisonniers.

Fermeture immédiate de toutes les mosquées mêlées à l’activité islamiste radicale. Expulsion des imams et des fidèles étrangers liés à ces mosquées radicales. Surveillance ou arrestation de ceux naturalisés ou convertis. Expulsion effective et immédiate des immigrés provenant de régions en guerre qui n’auront pas obtenu le statut de réfugié. Cesser d’importer la guerre. Là encore, ne pas renforcer de milieus où les islamistes peuvent être comme des poissons dans l’eau.

Sur un plan municipal, le maire que je suis constate qu’une fois encore les polices municipales ont été appelées en renfort hier soir. On ne peut pas exposer nos hommes sans leur donner des moyens de riposte identiques à leurs collègues nationaux : pistolets-mitrailleurs, pouvoir d’investigation. C’est un minimum.

Ce sont des mesures très dures…

Il en faudra sans doute d’autres. Mais que veut-on ? Attendre un autre attentat pour les prendre ? Pour autant, ces mesures ne sont pas suffisantes en elles-mêmes. Il faut réarmer mentalement le peuple français. Il faut des chefs à la tête de notre pays. Il faut cesser de parler cette novlangue qui tue l’instinct de combat. Je le redis : parler comme le font tous les officiels depuis hier soir de « neutralisation », c’est se moquer du monde. Avoir peur des mots est indécent au regard des morts d’hier soir.

Commençons par nommer l’ennemi : l’islamisme. Cet islamisme qui, aux yeux de centaines de millions d’individus dans le monde, est le vrai islam. On ne parle pas d’un groupuscule de 5.000 types fanatiques. On parle d’un courant fondamentaliste, majoritaire à certains endroits, dans l’islam. Avez-vous entendu dire cela depuis hier ? Non. C’est donc la preuve que la classe politique comme les médias n’ont rien appris.

Dans ce contexte, faites-vous confiance à François Hollande ? Que pensez-vous de l’unité nationale demandée par la classe politique ?

Unité dans le combat, oui. Unité pour masquer les responsabilités, pour anesthésier les consciences, non ! On ne peut pas accepter qu’on nous refasse le coup de Charlie Hebdo une deuxième fois. Si le gouvernement prend des mesures comme celles que j’évoque plus haut, alors, oui, on pourra aller vers l’unité. Nous en avons besoin car nous sommes en guerre. Mais parce que nous sommes en guerre, nous ne pouvons pas accepter une unité du mou, du flou et de la sidération. Rassembler le Congrès lundi. Pourquoi faire ? Quel ordre du jour ?

Il se tient aujourd’hui une grande réunion internationale sur la Syrie. Pensez-vous que ces attentats vont infléchir notre diplomatie ?

Je ne le sais pas. En tous les cas, ils fournissent à Laurent Fabius un prétexte pour enfin changer de position. Cela fait deux ans que je dis qu’il faut aider Bachar El Assad à écraser les islamistes. Tous les idiots utiles de la bien-pensance médiatique s’y refusaient. Bachar fait la guerre à ceux qui nous font la guerre.

Face à nos ennemis, nous ne devons plus hésiter et rejoindre la Russie dans une alliance pour liquider le plus possible d’islamistes là-bas. Avant qu’ils ne viennent ici.

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100% d’accord avec le maire de Béziers. Scrafer les criminels, même si on doit les traquer jusque dans les chiottes, vider le bocal banlieusard et mosquétaire où l’ennemi est comme un poisson nocif dans l’eau, faire des camps de prisonniers de guerre, et foutre sur la gueule à « l’état » nazislamique comme à ses faux ennemis d’al nosra. Et se mettre d’accord avec la Russie. La guerre contre les nazislamique est une guerre mondiale.

J’y rajoute ceci : rosser systématiquement tout médiastre, tout politicastre culpabilisateur, bizounours et idiot utile. Merde ! C’est assez, à la fin ! Les coups de pied au cul perdus vont se retrouver, enfin !

Raymond

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