Volées de bois vert

Tronche Couleur 200Macronneries :

La créature des monopoles, Mégamacron, vient de montrer qu’il est aussi pourri, pervers, menteur et endoffeur que les autres. On l’interrogea sur les causes de la « radicalisation » des racailles islamiques, comme s’il était capable d’y comprendre quelque chose. Comme on pouvait s’y attendre, sa réponse fut celle d’un énarque, c’est-à-dire d’un imbécile prompt à répondre n’importe quoi sur ce qu’il ne connaît pas :

Macron : « - Et ces jeunes qui se radicalisent, ce sont des jeunes qui parfois ont perdu le lien familial. Qui parfois n’avaient plus d’espoir au social. Qui parfois n’avaient plus aucun lien avec quelque réflexion que ce soit. Cette perte de sens, elle est là dans notre société.

Intervieweur : - Et ça c’est notre responsabilité pour reprendre l’expression que vous avez employée?

Macron - Bien sûr! »

Bon sang, mais c’est bien sûr ! Le livre mahométan, la charia ? Connait pas, l’énergumène. C’est nous les responsables, nous les sans dents qui essayons de souder les fins de mois. Le communautarisme ? Ah mais non, Mégamacron l’ignore, il préfère le multiculturalisme -ou plutôt, selon une excellente expression de J-L Chollet chez BdVoltaire, le « mufti-culturalisme ». Quand on sait le gouffre financier de la « politique de la ville » pour amadouer la racaille ! Et la responsabilité incommensurable de la vieille chancelière démente, Frau Merkel, dans l’invasion ! Et celle de l’Obama et de son caniche Hollande dans l’armement des vermines djihadistes ! Mais non, pour le candidat des monopoles, les responsables, c’est nous. L’habituel mantra de gauche, quoi…. Il faudrait être très con pour voter Macron.

gauchistePan pan cul-cul :

Comme prévu, ces abrutis de parlementaires ont voté l’interdiction (enfin presque) de la fessée, suivant ainsi les oukases des pervers de Bruxelles. Le but est de fabriquer de petites vermines tyranniques, des « little develish democrats » jamais frustrés et donc rendus psychopathes par absence de limites à leurs désirs. Ils resteront ainsi au stade de la demande, et ne sauront jamais se réguler.

Tenez, la semaine dernière, je voyais un sale petit Attila-Chou qui braillait comme un putois dans un magasin ; sa mère avait beau le menacer verbalement, lui faire les gros yeux, rien à faire, le têtard y allait de plus belle. Une simple tape bien ajustée sur la fesse l’eût très certainement calmé illico. Mais ce n’est pas politiquement correct, et contraire aux « droits de l’enfant ».

Je pense très honnêtement que les instigateurs d’une telle ânerie, et les crétins de députaillons qui ont osé voter une loi aussi ridicule, méritent d’être eux-mêmes fessés, cul nu et fouettés avec des verges de bois vert. À défaut des bois de justice, car c’est une trahison de plus. C’est égal : il y a des « lois » dangereuses qu’il ne faut à aucun prix respecter, et j’incite des parents responsables à continuer à fesser sans cruauté et avec discernement.

Valeurs Actuelles BelkacemBelkassine et le Prédicat :

Il paraît que le nouveau jouet des pédagogistes gauchistes serait le « prédicat ». Ma foi… C’est toujours le vieux problème d’une grammaire de l’École, fabriquée ad hoc et utile pour l’orthographie, mais évidemment scientifiquement nulle. En fait, comme d’habitude, on confond tout.

Le prédicat n’est pas affaire de grammaire, c’est-à-dire d’analyse implicite de valeur -au sens saussurien- mais bien d’énonciation. Les vieux logiciens expliquaient la proposition comme deux termes : le thème -ce dont on dit quelque chose- et le prédicat -ce qui est dit du thème. Cela se rapporte à la situation extralinguistique perçue, que l’on « dit », c’est-à-dire conçoit, avec un message. Le cadre de la proposition limite les variations du message : tant qu’on reste dans ce cadre, on dit la même chose. Quand on en sort, on dit autre chose. Par exemple, d’un camion (thème) je peux dire : « un camion qui roulait trop vite s’est décalqué dans le décor » ou « un camion trop rapide a été détérioré dans un accident » ; les deux messages produisent le même sens. Ce n’est pas la même chose que : « un camion fou a écrasé cinquante personnes. ».

Bon… Cette histoire de prédicat n’est pas très grave, en fait. La faute est que l’on désigne le thème par « sujet ». C’est une très vieille histoire, que le sujet, pleine de contradictions. Parce que si l’on dit « il pleut », des tas d’ignares vont croire que c’est « il » le sujet, donc qu’on parle de « il » et que l’on prédique « pleut ». Ce qui est saugrenu. En fait, le thème est le temps qu’il fait (mais ce n’est pas énoncé explicitement), et le prédicat « il pleut ». Juste pour montrer combien une approche superficielle est naïve.

Quant à l’histoire sujet-verbe-complément(s), c’est une affaire de syntaxe, donc de structuration du message pas de proposition logique. On serait mieux avisé de considérer le « programme » des mots, c’est-à-dire du nom, du verbe et de l’adverbe. Noter par exemple qu’en fonction de « sujet » ou « d’objet direct », la préposition du programme nominal n’est pas énoncée, alors qu’elle l’est dans « l’objet indirect » et dans le « complément circonstanciel ». Ça, c’est apprendre à se représenter la syntaxe de la langue, pas apprendre à faire une proposition logique (ce que l’enfant sait faire depuis belle lurette).

Ces querelles sont vieilles comme les rues, et les plus anciens d’entre mes lecteurs se souviendront peut-être des tentatives d’introduction de la grammaire « structurale » au Collège : c’était un galimatias épouvantable ! Eh bien : nos pédagogistes en remettent une couche, ça fait « moderne »… et c’est aussi éducatif que le macramé ! La question de la grammaire à l’école sera à reconsidérer, comme pratiquement tout ce qui est sorti des cerveaux débiles de la Rue de Grenelle.

Don Quichotte Éoliennes« Et froid au cul quand bise vente. »

Povre sens et povre mémoire
M’a Diex donné li rois de gloire,
Et povre rente,
Et froit au cul quant bise vente :
Li vens li vient, li vens m’esvante
Et trop sovent
Plusiores foies sent le vent.

On dirait que ce brave Rutebeuf a écrit sa complainte pour nous autres, cet hiver. On nous annonce des températures polaires. Tiens ? Je croyais que le « climat » se réchauffait ? Quoi qu’il en soit, comme gouverner c’est prévoir, on nous annonce que l’EDF sera contrainte d’acheter du jus à l’étranger et de faire des « délestage », comme on dit, c’est-à-dire des coupures de courant. Sale temps pour ceux qui n’ont pas de poêle à leur zoute (conjugaison Belge de « j’ai un poêle à mazout ») et qui ne se chauffent qu’à l’électricité.

C’est égal ! Du temps de De Gaulle, Pompidou et même Giscard, l’État avait intelligemment investi (nos sous !) dans l’électronucléaire. Dans la période prospère, cela représentait 78% de l’énergie électrique produite, nous exploitions des mines d’uranium sur le territoire (il y a encore du minerai, sachez-le !), bref, ça n’allait pas mal, l’indépendance energétique.

Mais se touchant le crâne, en criant « j’ai trouvé » la bande aux professeurs Nimbus est arrivée. D’abord, elle à couiné à qui mieux mieux contre les « dangers » de centrales hyper-surveillées et les « déchets » radioactifs. Pourtant, on avait inventé le Superphénix pour les utiliser, mais d’un trait de plume, sur le coin du buffet, les jospiniens l’ont supprimé. C’est que les escrolos (3,2% du corps électoral, mais 11 députés en 2012) n’aiment pas l’énergie atomique. Là-dessus, pas de pot : Tchernobyl et un raz-de-marée chez les Japonais. Du coup, c’est la grande pétoche irréfléchie, haro sur les nukes !

Alors on n’a plus fabriqué de centrales atomiques, on a vendu les turbines d’Alstom, on brade Areva aux Chinois et aux rois fainéants d’Arabie, on n’a même pas sérieusement entretenu à temps les centrales existantes. Pendant ce temps, les Germains revenaient au charbon alors que les escrolos bramaient contre le CO2 jugé par eux mortifère. C’est d’une logique imparable ! Et puis on a vu les margoulins marchands se faire une vraie industrie de l’escrologie, on a multiplié les inefficaces moulins à vent qui pourrissent le paysage. Tout cela va de pair avec l’orgueilleuse imbécillité postulant que l’Humanité est maîtresse du Climat, alors que la paléoclimatologie révèle des cycles de onze mille ans entre réchauffement et refroidissement. Bref : « on » est devenu très con et d’autres se font des briques en or massif, tranquilles.

Résultat cette semaine : ça va cailler dans les chaumières ! C’est ce que les crétins criminels qui gouvernent depuis trois décennies n’ont pas su prévoir le déficit énergétique (ils l’ont même provoqué) et ont écouté à la fois les escrolos et les marchands de compères-loriots. J’espère que cela va mettre encore plus de rogne dans les esprits refroidis. Au fait, connaissez-vous la technologie e-cat ? Pour 10 Kw produits à la maison, cela équivaut à plus de 45 A de puissance au compteur EDF. Mais qui en parle ? Pas les pétroliers, c’est sûr ! On tue pour le pétrole, mais chez nous, on se les gèle.

Sacha

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