On dirait que l’invasion, c’est marre !

invasion (2)Il n’y a pas que les partisans du Président Trump pour s’opposer à l’immigration invasive venue des pays musulmans. Une étude Britannique (Chatham House) révèle que les peuples européens pensent majoritairement (54,60%) de cette manière, ce que révèlent les réactions à l’assertion : « Toute nouvelle migration venue de pays principalement musulmans devrait être arrêtée. » Les peuples de Pologne (71%), d’Autriche (65%), de Hongrie et de Belgique (64%), de France (61%), frappés par l’invasion, approuvent très fortement l’assertion. Il serait temps que les politicards (n’est-ce pas, Macron ?) prennent conscience de ce rejet. Curieusement, l’Italie, une des portes d’entrée européennes béantes, ainsi que le Royaume Uni, n’approuvent qu’à 23%. Comprenne qui pourra !

Il est intéressant d’analyser les réponses par tranches d’âges, par répartition géographique et par niveau d’études (en % ) :

Catégories D’accord Ne savent pas Pas d’accord
 TTL 54,6% 25,30% 20,10%
Sexe
Homme 57% 24% 19%
Femme 52% 27% 21%
Age
18-29 44 29 27
30-44 50 28 22
45-59 56 26 18
60 et + 63 20 17
Études
Bac et moins 59 26 15
Supérieur 55 25 20
Universitaire+ 48 24 27
Lieux
Ruraux 58 25 17
Petite ville 55 25 20
Grande ville 52 26 23

Comme il fallait s’y attendre, les hommes sont plus d’accord que les femmes (57/52), bovarysme aidant peut-être. Les 18-29 ans ne savent pas (29%) ou désapprouvent (27%) ce qui s’explique facilement par leur surexposition (principalement scolaire et médiatique) à la propagande islamo-immigrophile ; les tranches d’âge plus expérimentées – 30-44 ans à 50%, 45-59 ans à 56%- approuvent, parce qu’elles ont été confrontées à la réalité de l’invasion ; les plus anciens – 60 ans et plus- n’ont été que peu exposés à la propagande, donc approuvent à 63%. On voit que les plus jeunes sont plus férocement marqués par la propagande : il serait peut-être urgent de les désintoxiquer.

Un autre fait : si les personnes de niveau d’instruction secondaire ou inférieur approuvent à 59%, celles d’un niveau post-secondaire approuvent encore à 55%, mais les diplômés universitaires n’approuvent plus qu’à 48%. Naturellement, les idéologues auraient vite fait de conclure que moins les gens sont instruits, plus ils sont islamophobes. Théorie ridicule. Les moins instruits ont un pauvre niveau de vie et sont contraints à se frotter quotidiennement à la malfaisance migratoire, tandis que les plus diplômés peuvent se retirer dans des lieux éloignés des zones dangereuses et n’ont, par conséquent, qu’une perception lointaine et idéologiquement faussée de la réalité. Ajoutons que les milieux universitaires fonctionnent en circuit fermé et que les ferments idéologiques les plus saugrenus s’y développent plus facilement : la Raison n’est pas proportionnelle au niveau des diplômes.

Il est étonnant de constater que les ruraux (d’accords à 58%) ne sont pas très éloignés des citadins (d’accords à 52%), ce qui relativise l’idée que dans l’ensemble de l’Europe les « ploucs » seraient « fascistes » alors que les « villauds » seraient « progressistes ». Encore une idée qui fout le camp, MM les bobos ! Peut-être est-ce différent en France, où la bobocratie sévit dans les grandes villes (Paris, Lyon, Bordeaux, par exemple) ? C’est à analyser.

Quoi qu’il en soit, le merkélisme (islamo-immigrophile) a du plomb dans l’aile, c’est heureux, et il est à parier que le rejet s’accentuera dans les années à venir, à l’épreuve d’un « vivre ensemble » imposé par les castes politiques.

En tous cas, MM les tyrans, tirez-en des conséquences !

Raymond

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