Ne soyez pas complices, votez patriote !

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« 5 ANS DE PLUS. Avec Macron, le cauchemar Hollande continue », titre Valeurs Actuelles. C’est tristement vrai. Il y avait jadis un pays qui s’appelait la France, une nation Française, un peuple Français. Tout cela a basculé dans la benne des décombres de l’Histoire. Il ne reste qu’une quelconque province de l’Europe Allemande où le pouvoir est délégué à Bruxelles, la force à l’OTAN états-unien, l’avenir aux assassins sectateurs du chamelier infernal. Je ne sais quel torchon hebdomadaire, affichant la photo en niveaux de gris du fantoche Macron titrait, lui : « Seul devant l’Histoire ». Oui, la créature du Propagandastaffel médiatique et des monopoles du « shadow-government » symbolisera pour toujours devant l’Histoire la disparition de celle qui fut « mère des arts, des armes et des lois » dont Du Bellay avait la nostalgie en son brillant exil à Rome.

Il restera pour l’Histoire l’immense imbécillité d’une majorité de sujets (il n’y a plus de citoyens !) rêvant d’en finir avec la fausse alternance des partis dits de gauche et de droite et se révélant incapables de comprendre que l’énergumène Macron est le canot de sauvetage du pédalo hollandien et, plus largement, de la caste politique pourrie. Lisons l’éditorial d’Yves de Kerdrel, directeur de Valeurs Actuelles :

« Le paradoxe, c’est que le favori du second tour de cette élection présidentielle est un candidat qui incarne tout ce que ces Français en colère ne veulent plus voir. Il incarne la négation de l’identité et de la culture française qu’il a piétinée pendant sa campagne. Il incarne la soumission aux traités européens  qui enferment les gouvernements successifs dans des politiques de rigueur qui vont faire de la France un malade qui mourra guéri. Il incarne l’infernale endogamie du petit monde médiatico-politique. Il incarne sa soumission aux seuls intérêts financiers, aux communautarismes, au lobby LGBT (avec ses revendications en matière de PMA et de GPA). Il incarne une société où tout est marchandise, où tout se monnaye, y compris des postes, des ralliements et des investitures comme le montre son accord avec François Bayrou. Mais pire que tout cela, il incarne les cinq années que nous venons de vivre avec François Hollande dont il a été le collaborateur le plus proche et le plus dévoué. Bref, il est à lui seul les quatre pieds de cette table que les Français ont décidé de renverser. Sans doute sera-t-il élu par défaut. Mais par des Français qui auront perdu tout espoir dans la politique. »

Nous partageons complètement cette analyse, qui révèle en filigrane les terribles maux dont la France est morte. En revanche nous ne partageons pas l’idée exprimée par François d’Orcival, dans le même hebdomadaire, qui nous raconte qu’« à la dixième élection présidentielle au suffrage universel, la droite est tombée -au premier tour, ce qui n’était jamais arrivé. » Ce n’est pas la « droite » qui est absente du second tour, c’est la « droiche », c’est-à-dire cette autre gauche représentée par le parti LR ; du reste, cette droiche-là sera bien au second tour, puisqu’elle se rallie au panache merdeux de Macron. Parodiant le vieux slogan de 1936, « plutôt Hitler que le Front Populaire », les caciques LR disent « plutôt Macron que le Front National ». Car la Droite, la véritable, la droite patriotique dressée contre le mondialisme, est bel et bien présente au second tour.

Que donc les gens de la « droiche » cessent de se proclamer gaullistes : gaulliste, Bertrand, Estrosi, NKM, Baroin ?  À cette énonciation de tels panouilles, les mânes du Général doivent frémir de colère ! Il n’y a pas pire ramassis de gloutons européâstres. En fait, la « droiche », c’est un conglomérat de bourgeois, petits-bourgeois, bobos, qui ne voient que leurs intérêts immédiats, leurs privilèges, se vautrent dans l’Europe et méprisent le peuple. Ils sont l’antithèse du gaullisme dont ils ont le front de se prévaloir, ces traîtres ! S’il demeure parmi eux quelques vrais gaullistes désorientés, ainsi que quelques militants fourvoyés de la Manif Pour Tous, leur devoir est de voter pour Marine le Pen au second tour. Le gaullisme et le bonapartisme sont désormais incarnés par le Front National qui, au passage, a tout de même réalisé une sacrée performance. C’est pour cela que nous autres, nationaux-libéraux, voterons pour Mme Le Pen, sans nous faire d’illusions sur l’issue, puisque les embrouilles, le matraquage idéologique médiatique viennent de monter en puissance, de telle sorte que l’énergumène obtienne un score chiraquien de potentat Africain.

D’aucuns rêvent de revanche aux législatives. Ridicule ! Nous avons eu, avec les fameuses dernières élections « régionales » une démonstration du fonctionnement du système : la gauche mondialiste et la « droiche » sont complices comme cochons pour, dans un ignoble front prétendu républicain, faire obstacle aux candidats populaires. Et puis, compte tenu des reniements et ralliements négociés, il ne fait aucun doute que les partis de la caste donneront à la gouape Macron une majorité pour méfaire. Tout ce que nous aurons à faire sera d’essayer de limiter les dégâts en votant systématiquement pour les candidats patriotiques. Aucune voix ne doit aller aux traîtres et aux mystificateurs. Tout cela ne sera évidemment pas suffisant pour barrer la route à François Macron, fils politique d’Emmanuel Hollande, mais au moins pourrons-nous légitimement nous targuer de ne pas avoir été complices du coup d’État ourdi depuis l’Élysée contre la France.

 L’Histoire ne s’arrêtera pas pour autant, mais dans cette Histoire il n’y a désormais plus de place pour la France. Nos Rois auront mis mille ans à la construire, les républiques deux cents cinquante ans à la détruire. Il ne reste plus que deux attitudes : la soumission ou la rébellion. Nous autres, nationaux-libéraux, ne nous soumettrons pas. Mais qui pourrait nous rejoindre dans la rébellion ? Nous sommes si peu nombreux !

Sacha

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