Bon ! Finie la gueule de bois, il faut retrouver le sens des réalités et se remettre au combat.
La » victoire » de Macron n’est qu’un trompe-l’œil.
Nous devrons au moins un temps vivre sans Marion, la figure la plus pure du combat patriotique. Marion n’a pas à se justifier, elle a accompli au mieux son devoir. Il restera dans les mémoires la diatribe haineuse prononcée par un Valls tremblant de rage partisane : Marion l’a supportée sans broncher, avec un petit sourire ironique. Ses raisons, nous les connaissons grâce à l’entrevue qu’elle a accordée à TV-Libertés :
Nous comprenons, et Marion nous rappelle aussi que nous avons une énorme responsabilité vis-à-vis de nos enfants (et petits-enfants pour certains d’entre nous), celle de l’éducation. Souvenons-nous du projet totalitaire des mondialistes, exprimé à voix haute par Hamon lorsqu’il sévissait au ministère de « l’éducation » nationale : enlever les enfants à l’influence des familles. Car les familles sont le Peuple lorsqu’elles agissent avec responsabilité, et le Peuple ne pense pas comme les misérables qui, contrairement à toute raison anthropologique, essaient de fabriquer un « homme nouveau », un être sans racines, cosmopolite, soumis, pervers et glouton. Ce monstre, on l’appelle « homo œconomicus », mais il n’existe pas. Marion nous enseigne cette fidélité supérieure, qui devrait être celle de tout citoyen aspirant à gouverner. Nous en sommes bien loin, puisque deux tiers d’électeurs ont juché au perchoir un perroquet qui est exactement l’antithèse d’un homme d’État.
Au fond, rien ne sert de blâmer et de fustiger les imbéciles. Ils seront cocus, et s’en apercevront dans peu de temps. Leur colère sera, je l’espère, à proportion de leur désillusion. C’est somme toute prometteur, et nous ne devons pas, nous Patriotes, désespérer. Je regrette d’avoir un trop long moment cédé à la lassitude exprimée dans mes derniers billets. La lecture d’une adresse au lecteur de Laurent Obertone publiée le 9 par nos amis de Breizh-info m’a rappelé que le désespoir est la meilleure arme de nos ennemis :
« Chers lecteurs,
La chute de Big Brother est donc remise à une date ultérieure. La France a une fois encore choisi le parti du Titanic. N’en tirez pas de conclusions excessives : un vote n’est pas un exercice intellectuel.
Si la pensée identitaire et anti-système domine, au fond l’électeur est d’abord un reptile consommateur, qui suit largement son instinct remplacé par le martèlement publicitaire : Macron-économie-bon-moi-avoir-à-manger-encore / Le Pen-économie-mauvais-moi-peur-difficile.
Cette élection est la défaite d’une majorité majoritairement trompée.
Ne perdez pas votre temps à insulter vos compatriotes : il y a peu, ce conditionnement tenait la plupart d’entre nous. C’est en train d’évoluer.
La bataille des idées est gagnée, pas la bataille du conditionnement, des moyens, du pouvoir.
La déception qui succèdera à l’élection de Macron sera considérable. Le vivre ensemble, ici et ailleurs, va se fracasser sur le mur du réel. Immigration, remplacement et insécurité deviendront des questions centrales et incontournables. Le fossé entre les identités et les morales ne cessera de se creuser. C’est inéluctable et cette élection n’en est qu’une étape.
Toujours plus d’intelligences et de moyens rejoindront la secte des yeux ouverts. Ce mouvement n’est pas réversible. Il a connu ces dernières années un essor considérable, en Angleterre, aux États-Unis, en Russie, en Europe de l’est, et chez nous… Il ne cessera ces prochains mois de gagner des adeptes, et de gagner en influence. Les victoires et les solutions arrivent. Ne croyez jamais que la situation est perdue – ne leur faites pas ce cadeau –, tant que nous sommes encore là – et nous sommes des millions.
Il serait salutaire d’arrêter de porter tous les espoirs sur la chose politique. C’est important, mais ce n’est pas tout. Le meilleur moyen de ne pas désespérer est de ne pas espérer en quelqu’un d’autre que soi. N’attendez pas qu’un parti ou qu’un messie vienne sauver notre pays. Espérer, attendre, c’est déjà oublier, de penser et d’agir.
C’est à nous d’agir, ici et maintenant. Un combat d’influence, de tous les instants. Créer des médias, des sites, des groupes, penser des stratégies, organiser des réseaux, occuper le terrain, investir, éditer, diffuser, etc., les possibles sont infinis, à la portée de tous. Tant qu’on respire, il faut agir.
Si vous manquez d’inspiration, je vous conseille de ne pas manquer mon prochain essai sur la France, qui paraîtra en 2018, et dans lequel je livrerai sur ces sujets fondamentaux une réflexion complète et très concrète.
Plus que jamais, par tous les moyens, luttez pour votre souveraineté intellectuelle et morale, pour celle de vos proches, pour celle de tous les nôtres.
Le régime peut nous mépriser, nous insulter, nous traquer, nous censurer, mais il ne pourra pas nous réduire, et c’est nous qui allons le réduire. Ces dernières semaines, il a appris à avoir peur : il devra s’y habituer. Tant qu’il ne se pliera pas à notre volonté, tant qu’il voudra la mort de nos peuples, tant qu’il menacera l’héritage de nos ancêtres et l’avenir de nos enfants, ce régime ne connaîtra ni repos ni indulgence.
Pour résumer : gardez-vous de l’espoir qui condamne à attendre, et gardez-vous du désespoir qui mène à abdiquer.
Tout est possible à condition de le vouloir et d’agir. Soyez vivants, indépendants, irrécupérables et irréductibles. Nous gagnerons.
Laurent Obertone. »
Je souscris entièrement à cela. Nous avons le devoir de nous opposer partout, tout le temps, avec tous les moyens dont nous disposons. Nous avons même à en acquérir d’autres, on comprendra lesquels. Oui, les nantis de la caste mondialiste ont eu peur : il est indispensable qu’ils n’éprouvent plus jamais un sentiment de sécurité. Il est indispensable que Macron, créature des monopoles mondialistes, soit privé de moyens pour gouverner. Certes, la trahison va encore s’afficher dans le barnum ridicule des « législatives »., certes l’infâme « front républicain » (pourtant quelque peu fissuré désormais) privera encore dix millions de citoyens de représentation. Qu’importe ? Un parlement peut malfaire, mais ce qu’il méfait, le Peuple peut toujours le défaire.
Nous n’avons pas à craindre ni les qualifications de « -phobes » que nous décernement les chiens de la bien-pensance mondialiste, ni les procès, ni les prisons que nous promettent les valets des monopoles. Nous devons lutter, prendre nos bâtons de pèlerins et expliquer, expliquer encore, susciter des luttes partout et toujours. Cette guerre ne connaît ni jour ni nuit, ni saison, elle est permanente. Elle pourrait prendre la figure du combat armé si la partition du pays, déjà dans les projets des officines fascistes mondialistes, devient officielle. Ou si l’Europe monopoliste se mêle trop de nos affaires. Il n’y a pas à hésiter : seule la lutte paie, et je rappelle que le temps ne fait rien à l’affaire. Souvenez-vous : de petits bonshommes obstinés, chaussés de sandales Hô-Chi-Minh ont fini par terrasser un géant.
« Il n’est pas besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. »
«Nous les aurons ! »
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !