Terrorisme : le recto-humanisme est le vrai coupable

Démovore SmallDonc… L’imam qui projetait de faire sauter la Sagrada Familia(1) et avait constitué une cellule puissante de douze jeunes abrutis endoctrinés et fanatisés, qui ont tué quinze personnes et blessé cent-cinquante autres, était un trafiquant de drogue, déjà emprisonné et il était propriétaire de villas à la fois au Maroc et en Espagne. Les juges Espagnols avaient refusé de l’extrader après sa condamnation à la prison, au fallacieux prétexte de ses « droits-de-l’homme », puis lui avaient accordé le droit d’asile ; ils lui offraient ainsi une totale liberté de se baguenauder dans toute l’Europe. Il en profita, le sale bougre, pour s’acoquiner avec des groupements terroristes en Belgique, notamment, et probablement dans d’autres pays, jusqu’à ce qu’il fasse accidentellement exploser sa vilaine tronche avant que lui-même et ses tueurs n’aient accompli le saccage projeté.

Parfois on croirait à la justice immanente ! En tous cas, Xavier Raufer, dans un zoom de TV-Libertés, a bien décortiqué l’affaire. Le manège des islamiques avait bel et bien été observé : la villa était silencieuse, rideaux baissés, volets fermés, ni femmes ni enfants mais un manège incessant de pieds-nickelés portant sac à dos. Il paraît même que ces vermines avaient acheté cent vingt bouteilles de gaz, de quoi alerter la police. Mais ouiche ! Il paraît qu’un policier en retraite avait observé leur comportement, détecté sans ambiguïté le caractère terroriste des rombiers, demandé à sa fille de photographier les plaques d’immatriculation de leurs véhicules et de signaler sa suspicion à la police. Donc, pour qui sait un peu observer, on peut détecter les terroristes à d’une part leur brusque changement d’attitude, d’autre part leurs allers-et-venues systématiques. Je ne saurais trop conseiller à nos concitoyens d’ouvrir l’œil, et le bon !

À vue de nez, l’imam paraissait être un type très courtois, donc cet air bénin lui a évité un examen plus approfondi, mais tout de même ! Pour des gens raisonnables, il est difficile de comprendre que l’on n’ait pas surveillé de près un trafiquant de drogue avéré et condamné, un bénéficiaire d’asile faisant des incursions régulières au Maroc, pays où il était censé être poursuivi, voire, pour ces imbéciles d’avocats et de juges, persécuté. Autrement dit de laisser bien tranquille un énergumène fiché pour ses liens avec les terroristes djihadistes dans et hors de la prison. C’est une couleuvre dure à avaler, non ? Oh mais, dira-t-on, le gus s’était assagi, réformé, il avait renoncé à sa vie criminelle de naguère, et était devenu imam. Donc il n’y avait pas de quoi fouetter un chant, n’est-ce pas ? Devant tant d’imbécillité coupable, les bras m’en tombent. La taqyya, le « pieux » mensonge musulman, personne n’en a-t-il entendu parler ?

Le pire est que même dans la communauté musulmane où il grenouillait, en Belgique, des gens l’avaient signalé aux autorités, et même une mosquée plus prudente que les autres avait refusé de l’employer. N’empêche, on ne l’a pas considéré comme un personnage potentiellement dangereux. On ne s’étonnera pas, après cela, que le Grand Rabbin de Barcelone recommande à ses coreligionnaires de quitter l’Europe devenue dangereuse – et pas que pour les Juifs ! Les « autorités » des pays d’Europe et bien sûr le machin européâstre laissent courir de tels individus et ne protègent nullement les populations.

J’accuse évidemment les « politiques, les Merkel, Macron et consorts (qu’on ne sort hélas pas à coups de pied aux fesses !), car les forces de police, mal coordonnées, passent leur temps à dénicher des aiguilles dans de trop nombreuses meules de foin. Elles font ce qu’elles peuvent. Mais on est ahuri de constater que des juges accordent l’asile à un type emprisonné pour trafic de drogue et issu d’un pays en paix qu’il hante régulièrement malgré tout, sous prétexte qu’un refus d’asile entacherait gravement l’idée européâstre des « droits-de-l’homme ».

La responsabilité de ces crimes incombe entièrement, par conséquent, à de stupides margoulins d’Europe, politiciens, activistes sorosiens et/ou gauchistes, législateurs, gens de loi, juges, journalistes et plumitifs au comportement ethnocidaire car arc-boutés sur des politiques dites « progressistes » et retranchés derrière les oukases de la tristement célèbre cour européenne des droits de l’homme. Ces droits-là, dégénérés au cours de deux siècles, n’ont plus rien à voir avec les idées qui ont inspiré la Déclaration de 1789. Il ne s’agit plus de protéger les personnes contre la tyrannie, il s’agit maintenant de détruire les peuples autochtones en laissant entrer et agir l’envahisseur. Je reprends le terme d’ETHNOCIDE, et je n’en démordrai pas. Un ethnocide long, mais qui a cessé d’être indolore, mené d’une autre manière que celle employée jadis par les nazis, mais visant le même but.

Vous comprenez maintenant pourquoi, démasquant involontairement ses complices, un Bellanger avoue devant Alain Marsaud que le Propagandastaffel doit «prendre des précautions avec la vérité ». La réalité est que tous ces brigands fascistes ont peur de la réaction des peuples, aussi s’ingénient-ils à les maintenir dans l’ignorance. Sauf que désormais les faits contournent les filtres de la propagande et, grâce à la réinformation, parviennent aux yeux et aux oreilles du public. J’espère qu’un jour les citoyens réveillés tanneront une belle culotte de peau à tous ces cuistres ethnocidaires !

Sacha

(1)  Même si la cathédrale de Gaudi est moche, ce n’est pas une raison pour la faire sauter.

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