Le Jésuite Bergoglio, pape des monopoles

soros-et-pape-francois1539. On est en plein dans la Contre-Réforme. Ignace Lopez de Loyola fonde, avec Francisco de Jasso y Azpilicueta dit François-Xavier, une secte bientôt connue sous le nom de « Société de Jésus » (JS : Societas Jesu). En fait, cette coterie se veut couronnement de l’édifice politique dans les pays Chrétiens, pour faire pièce aux Rois qui veulent gouverner indépendamment des outrances pontificales. En fait, la secte de Loyola établit rapidement des institutions d’enseignement où elle instruit les fils de familles, ceux qui un jour ou l’autre joueront un rôle politique dans le gouvernement des royaumes. Ils instillent notamment dans les esprits une forme de raisonnement spécieux, détourné des Socratiques et des Stoïciens , destiné à vaincre toute opposition rationnelle, : la casuistique.

Les Loyolistes finissent par agacer sérieusement les Rois et les philosophes : Pascal, par exemple, et les Jansénistes, les ont combattus. Au XVIIIe Siècle, sous Louis XV, le Parlement de Paris estime que la secte « nuit à l’ordre civil, viole la loi naturelle, détruit la religion et la moralité » et demande son expulsion. Il devait y avoir de sérieuses raison à cette supplique, notamment le scandale Lavalette – banqueroute du jésuite éponyme montrant que le vœu de pauvreté était du pipeau. Louis XV demanda au pape Clément XIII de modifier les statuts de la secte afin d’éviter d’avoir à l’expulser de France. On dit que sous l’influence du Général des Jésuites, Lorenzo Ricci, le pape répondit : « sit ut sunt aut non sint », qu’ils soient ce qu’ils sont ou qu’ils ne soient pas. Les Jésuites restèrent ce qu’ils étaient, et furent expulsés de France en 1763-64. Preuve de leur malfaisance politique, ils avaient déjà été bannis du Portugal en 1759 ; l’Espagne très Chrétienne les chassera en 1767. Le pape Clément XIV dissoudra la secte en 1773. Ce n’était que partie remise : alors que la Sainte-Alliance s’emparait de l’Europe après la chute de Napoléon, le pape Pie VII la reconstitua. La IIIe République les vira à nouveau en 1880 puis en 1901 avec toutes les congrégations.

Ce petit rappel historique, pour dire que le premier pape Jésuite est le latino-marxiste Bergoglio, dit « François », grand islamophile devant l’Éternel, fulminant contre les Peuples et les Chrétiens de ces peuples refusant l’invasion de l’Europe par ce qu’il appelle des « migrants ». Autrement dit, jouant habilement de l’infaillibilité pontificale, le jésuite Bergoglio essaie de s’immiscer dans la politique des États, au même titre que la démente Merkel et les tyrans de l’Union Européenne. Démarche typique d’un jésuite, qui confond le spirituel (le dogme de l’Église) et le temporel : on est toujours au XVIe Siècle et à la volonté de couronner l’édifice politique. Mais cette fois-ci en collaborant activement à l’entreprise d’ethnocide des peuples Européens, par subversion et métissage avec des peuplades barbares.

Voilà qui conduit, une fois de plus, je l’ai déjà fait dans des articles précédents, à s’interroger sur ce qui sent le coup d’État parfaitement organisé. Un bon pape, Benoît XVI, qui savait à quoi s’en tenir concernant l’islam, démissionne sans préavis. Quels chantages l’ont ainsi poussé à abandonner sa mission pontificale ? Nous ne le saurons pas tout de suite, tout étant hermétiquement enfermé dans les pièces secrètes du Vatican. Peut-être ne le saurons-nous jamais, la Curie pratiquant l’omerta. Et puis survint celui que personne, en dehors des évêques conciliaires soit naïfs, soit corrompus, soit en proie eux aussi au chantage, n’attendait : le jésuite Bergoglio. Bergoglio élu au premier tour, presque par acclamation. Tout le monde connaît les déclarations immigrophiles et les démonstrations de dhimmitude de ce personnage, chéri des médias -où pourtant prolifèrent les bouffeurs de curés- parce que ses discours spécieux et bêlants rencontrent merveilleusement ceux de la bien-pensance. N’oublions pas par ailleurs les effets pervers du Concile Vatican II qui, avec son absurde œcuménisme, ouvrait la voie à une époque où l’on fabriquait l’Europe de Monnet. En ayant débattu avec des Chrétiens, il ressort que Bergoglio tient des propos hérétiques en déformant les enseignements du Christ (pour moi, fils de Miryam et du soldat Abdes Pantera : Yoshua) transmis par les Évangiles.

L’idéologie de Bergoglio semble bien propice à servir deux objectifs échappant totalement à l’Église. D’une part, rameuter à la bien-pensance anti-nationale les Catholiques les plus naïfs, ceux qui ont la foi du Charbonnier. D’autre part, car il y a des gens intelligents parmi les Catholiques, provoquer si possible, à plus ou moins long terme, un schisme. Le schisme affaiblit, c’est bien connu. Il resterait alors à laisser l’autre bras théologique, l’islam, parfaire l’entreprise. Comme Cicéron, demandons : « cui prodest ? », à qui tout cela profite-t-il ? À la secte de Mahomet, sans doute, un millénarisme visant à subvertir l’ensemble de l’humanité dans l’oumma et la charia barbare. Mais ce serait arrêter prématurément la réflexion. Car qui a intérêt à défaire nos Nations, détruire l’identité des Peuples, fabriquer des esclaves déracinés et parfaitement interchangeables et dociles ? Les monopoles.

Les monopoles ! On pensera peut-être que je suis obsédé par un mythe. Ah ! Je préfèrerais qu’il en aille ainsi ! Mais que l’on y regarde de près : qui souhaite la « société ouverte », le grand marché généralisé, le grand métissage déjà décrit par Coudenhove-Kalergi ? Qui s’apprête à traîner les États récalcitrants devant une « justice » apatride ? Un groupe restreint d’énormes banques, sises à Wall-Street pour la plupart. Qui n’a pas entendu parler de JP Morgan Chase, Well Fargo, Citigroup, comme de Goldman Sachs, BNP Paribas déjà identifié comme monopoles dans les années 75-80, et j’en passe ? Avec la complicité des banques comme celle de l’Europe, comme la Banque Fédérale américaine, ces monstres financiers fabriquent chaque année des monceaux de fausse monnaie avec lesquels elles se comportent comme des holdings, répartissant les capitaux là où elles savent réaliser un maximum de profits sans se préoccuper des besoins réels des pays concernés. Pour ces titans, il ne faut plus de nations, plus de frontières, même plus de races : liberté totale d’agir. Aussi placent-ils leurs employés à la tête des États, voyez Macron ancien employé de Rothschild, et pratiquent-t-ils la corruption, pudiquement appellé « lobbying » auprès des parlementaires de tout poil. Les monopoles, non, ce ne sont pas des mythes, ils ont une réalité et un projet. Et ce projet est millénariste : la domination de toute la planète à l’aide d’un gouvernement mondial. À l’occasion, bien sûr, en apprentis-sorciers, ils utilisent le millénarisme musulman à leur profit.

Revenons-en à Bergoglio. Un certain Maurizio Blondet sur son blog, écrit : « « Nous savons désormais depuis des années que la position du pape François est parfaitement alignée sur le front de l’universalisme globaliste qui préconise la dissolution des nations et des cultures autochtones pour « accueillir et intégrer » les migrants du monde entier dans le but de construire un « nouveau monde » multi-culturel sans barrières et sans frontières. »  L’auteur est un journaliste Catholique Italien, a priori peu suspect d’anti-papisme. Mais il nous en apprend de belles !

Notamment que Bergoglio a intronisé près  la  Commission catholique internationale pour les Migrations et fait conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique, une personnalité de l’établissement mondialiste, lui-aussi « philanthrope humanitariste de l’abolition des frontières » et « banquier d’affaires » : Peter Sutherland. Cet Irlandais fut élève, précisément, des Jésuites On le retrouve, de 2005 à 2015,  président de la Goldmann-Sachs, la banque qui a frauduleusement fait entrer la Grèce, pour son malheur, dans l’Euro. Il est toujours membre actif du comité directeur de British Petroleum, il a été commissaire européen à la concurrence, c’est un des fondateurs de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Et il appartient à deux organismes internationaux criminels qui définissent la politique des monopoles : le groupe Bilderberg et la Trilatérale. Avec un pedigree de cet acabit, l’énergumène est tout naturellement partisan de la mondialisation et du Grand Remplacement ; ajoutons qu’il sévit toujours dans les organismes internationaux, comme représentant spécial du Secrétaire-Général de l’ONU pour les migrations internationales. Il n’a pas rompu avec les banques : la Royal Bank of Scotland et, toujours, Goldmann-Sachs. On l’a baptisé, dans les milieux de la haute finance, « père de la mondialisation ». « C’est le globaliste total et absolu, avec des attaches dans toutes les entités supra-nationales, peut-être la plus influente éminence grise de la mondialisation et du déracinement capitaliste dans l’intérêt de la finance transnationale. »

Comme on le constate, Bergoglio est très certainement le « pape des pauvres » ! Comprendre : celui qui incite les pauvres à quitter les pays qu’ils devraient s’acharner à développer, pour se faire entretenir en Europe, subvertir les peuples autochtones et les ruiner. On comprend donc les positions ethnocidaires de Bergoglio, on comprend aussi pourquoi ses discours semblent avoir été écrits par l’infâme Soros. Cela nourrit aussi l’extrême suspicion à l’égard de l’élection étrange de ce « pape ». Quoi qu’il en soit, nous autres athées combattons avec vigueur toute idéologie ethnocidaire, qu’elle vienne de l’Europe merkélienne, du Vatican, de La Mecque ou d’ailleurs. Nous appelons nos frères en culture, les Chrétiens Catholiques, à faire pression sur l’Épiscopat, la Curie, pour que cette créature des monopoles, Bergoglio le Jésuite, soit jugé pour hérésie et complicité d’ethnocide.

Sacha

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