Congrès de malfaiteurs à Davos

ignace_davos_macron_mondialisme-tv_libertesLa moisissure des mondialistes, c’est-à-dire les grands monopoles, leurs larbins gouvernementaux, les malfaiteurs internationaux comme l’ignoble Soros sont assemblés à Davos, suivis d’une cohorte bigarrée et interlope de menteurs professionnels des médias de propagande qui parlent obséquieusement de « l’élite mondiale ».

Mais enfin ! Une fois de plus, pourquoi employer le mot « élite » en parlant de cette vermine monopoliste ? Une élite,  au sens moral ou spirituel, ce qu’il y a d’élu (sens étymologique), de choisi, de distingué. Bossuet parlait d’un « petit nombre d’âmes d’élite ». L’élite, ce sont les meilleurs par l’intelligence et l’éthique. Voilà qui n’a rien à voir avec ce ramassis de gloutons pervers, ces exploiteurs invétérés qui amassent 99% de la richesse produite par les travailleurs du monde entier. et ne font rien de bien pour les peuples qu’ils asservissent, abâtardissent, métissent, déracinent. Ce sont des ennemis de l’humanité, les Soros, Trudeau, Macron, JP Morgan, Goldmann-Sachs et consorts.

Je ne sais pas encore, à cette heure, ce que dira le Président Trump. J’espère qu’il aura des mots très durs pour fouailler cette engeance. Mais déjà on devine de la part de la chancelière démente d’Allemagne un semblant de palinodie (un « rétropédalage » diraient les médias de propagande) : l’Europe doit sécuriser ses frontières. Pure rhétorique, bien sûr, Merkel n’a pas l’intention de changer un iota de sa démence migratoire, sauf à l’exacerber. Quant à Macron, il est tel que nous l’avons annoncé : européâstre et mondialiste convaincu. Un chef d’agence de Monopoly & Co, ennemi du peuple Français et des peuples d’Europe.

D’emblée, l’hindou Modi, appuyé par le brimborion  Trudeau, a chanté le péan familier des monopoles mondialistes : un « avenir partagé (…) sans murs ». Un avenir totalitaire fait de moraline de pacotille et d’actes scélérats proprement ethnocidaires. Simultanément, ils ont appelé à la croisade mondialiste contre Donald Trump.

Écoutez (ou plutôt : n’écoutez pas !) cet espèce de fakir prédicantereau de Modi : les maux qui menacent la Terre, selon cet énergumène sont :

-Le « changement climatique » ; comprendre : d’origine réputée anthropique. Tous les gens de bon sens savent à qui s’en tenir, le changement est périodique, et la Terre se débrouille toute seule, ceux qui prétendent diriger le climat sont de tristes imbéciles orgueilleux. Mais, n’est-ce pas, les « énergies renouvelables », celles qui ne satisfont en aucun cas les besoins de l’industrie, sont une source de gros profits pour des monopoles sans scrupules.

- Le terrorisme. En oubliant tout simplement le rôle des grands monopoles et de leurs fournisseurs musulmans de la péninsule Arabique dans l’armement des entités islamo-nazies. Car c’est bien de manigances géostratégiques qu’il s’agit, qu’on ne nous raconte plus de fables, ça ne passe plus.

- Le pire sans doute selon le bavard : le « rejet de la mondialisation » Ben pardi ! C’est l’habituel credo de tous ceux, monopoles et idiots utiles, veulent la mort des Nations et des États-puissances. Car, déplore le Tartufe, « beaucoup de sociétés et de pays se focalisent de plus en plus sur eux-mêmes ». Ah, déplore-t-il, il y a de « mauvaises priorités » (lesquelles ? Celles qui visent le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, peut-être ?) Et de critiquer bêtement certaines « mentalités », qui ne sont pas « moins dangereuses que le changement climatique et le terrorisme ». Et il s’effraie, le bougre : « Les forces du protectionnisme relèvent la tête contre la mondialisation. Leur intention n’est pas seulement de l’éviter, mais de renverser le cours naturel de l’histoire ».  A bon ? Môssieur (ou Sahib) Modi a reçu la Divine Prescience lui indiquant le « sens de l’Histoire » ? Et le sens de l’Histoire serait le gouvernement mondial par les monopoles ? C’est bien là le discours des fanatiques de tout poil qui font souffrir l’humanité, il n’y a pas de doute. Quiconque veut se targuer du « sens de l’Histoire », changer les hommes et préparer un avenir radieux, fût-ce au prix d’un holocauste, est un ennemi du genre humain. Et les résultats du mondialisme, depuis la chute de l’emporium communiste, c’est un monde encore plus en crise et encore plus dangereux qu’avant.

Alors, Modi, tu peux ravaler ton discours ! Tu prêches la « solidarité mondialiste » ? Mais quelle solidarité ? Le fait pour nos peuples d’être contraints à héberger, nourrir, soigner, des hordes barbares qui pillent, violent, tuent chez nous tandis que leurs pays d’origine croupissent dans la misère ? Discours inacceptable ! Sache-le, ô brigand, que la solution n’est pas de « comprendre et d’accepter le changement », car non seulement celui-ci n’a rien d’inéluctable, mais il vise à une destruction de l’ordre planétaire pour lui substituer le chaos sur lequel prospèreraient les monopoles jusqu’à l’entropie maximale, l’extinction finale de l’espèce humaine. Le discours de Modi et de ses complices mondialistes est tout simplement criminel. C’est la quintessence du totalitarisme le plus féroce paré des plumes d’un humanisme de pacotille.

Même antienne lénifiante et pleine de venin de la lopette Trudeau. Il parle de « développement inclusif » (sans doute au prix d’accommodements avec les assassins musulmans ?). Il fustige le mouvement « anti libre-échangiste » (il ferait mieux de la fermer, car nous n’allons pas tarder, nous peuples d’Europe, à nous dresser contre le traité entre les valets de Bruxelles et son Canada de dhimmis). Et bien entendu, ce pauvre crétin en profite pour flatter les féministes extrémistes, ces malades mentales : « il faut fondamentalement changer la culture de l’entreprise, afin que les femmes s’y sentent accueillies et valorisées ». C’est déjà fait depuis longtemps, patate, et quand on voit les exploits d’une Lauvergeon, d’une Ernotte, les délires d’une de Haas, les imbécillités d’une Schiappa, on se demande si un peu plus de clairvoyance ne serait pas nécessaire, parfois ?

Ouais… On est bien loin de la réalité des Peuples. Si encore Davos se limitait à la répétition de mantras creux comme ceux-ci, on se contenterait d’en rire. Mais ces idées néfastes sont relayées par la propagande et, surtout, mises en œuvre par les politiques, ce qu’ils appellent « la gouvernance ». Et là, c’est une extrême violence qui est faite aux peuples, qui, s’ils ne veulent pas périr, devront riposter avec une violence encore plus extrême. Nous le savons bien, nous dont les Tontons Macroutes et leur chef, le Jupinet élyséen, sont des Trudeau en puissance. De la vermine.

J’espère, redisons-le, Donald Trump, que tu vas fouailler avec du bois vert tous ces salopards ! Ne nous déçois pas, Oncle Donald !

On se laisserait aller facilement au découragement, à jeter le manche après la cognée, à laisser ces fripouilles piller le monde, déraciner les hommes, métisser les races. Mais réfléchissons anthropologiquement. Prenez dix témoins d’un évènement, vous aurez dix versions différentes. Prenez dix familles, vous aurez dix organisations différentes. Portez-vous à l’échelon de votre commune, de votre département, de votre province, des pays, vous aurez autant de divergences. « De gustibus non est disputandi », disait la sagesse des Anciens : ils avaient vu juste. Fort heureusement, il est anthropologiquement impossible de faire de l’humanité un ramassis de clones débiles et obéissants. Encore une remarque des Anciens : « natura homini prona est ad dissendientum », la nature de l’homme est encline à la dissidence. Et c’est normal : l’altérité nous distingue de l’Autre (et encore plus de « l’Autre Suprême » des immigrophiles), crée de la divergence, de la dissidence, du conflit, ce que nous réglons toujours provisoirement par négociation et contrat. Heureusement qu’il en va ainsi, car la planète, sinon, serait habitée par un tas de pauvres types même pas dignes d’être des singes.

Alors « ils » peuvent toujours essayer : ils connaîtront peut-être des succès locaux, tous transitoires, mais quoi qu’ils fassent, ils ne pourront jamais empêcher les hommes de diverger et de négocier transitoirement leurs convergences. C’est tout simplement le moteur de l’Histoire, et non ce chaos ridicule que le sieur Modi prend pour le « sens de l’histoire ». Ce qui fait que les Nations les moins solides périrons sans doute, que les plus solides résisteront, et que d’autres Nations se formeront, établirons leurs mœurs et leurs frontières. Le monde des mondialistes est une utopie, dangereuse, certes, mais anthropologiquement parlant une utopie. Et « utopia » veut dire « nulle part ».

Sacha

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