Malfaisances en tous genres : Stop !

MG42bisDonc… Après une nouvelle malfaisance criminelle d’un mésel, non loin de la cité de Roger-Raymond Trencavel, rien ne change. Parce qu’après les méfaits de Merah, les assassinats et massacres divers dont la chronique s’est nourrie au fil des mois, rien n’a changé. Et malgré les « lois » proposées par des gouvernements de pleutres et votées par des assemblées d’imbéciles, rien ne change. Et rien ne changera : les mésels sont incrusté dans notre terre comme le chiendent. Aucun gouvernement de lopettes ne se décidera à utiliser du RoundUp pour éradiquer cette saleté. Idéologie ortho- (ou recto-) humaniste, CEDH, mondialisme, intérêts des grands monopoles obligent. Pour ces traîtres ethnocidaires, le mésel est l’Avenir d’une race hybridée. Sauf que l’on a vu, que l’on voit, que l’on verra les résultats de la religion des mésels : la ruine, la tyrannie, le sous-développement.

Bien sûr, on a légèrement condamné une vermine gauchiste qui avait fait l’apologie du terroriste ayant massacré un héroïque Officier Supérieur. Du temps où l’on savait vivre, l’énergumène gauchiste aurait été convaincu d’intelligence avec l’ennemi et passé par les armes. Tel devrait être le sort des traîtres… mais les traîtres sont au pouvoir ! Alors les foudres des chats-fourrés rouges et des cognes de Beauvau, protecteurs du mésel, sont brandies contre les Patriotes, tous ceux qui refusent l’asservissement et l’ethnocide des Blancs européens consécutifs à une invasion programmée. Une preuve :

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Novopress écrit : « Une enquête a été ouverte après la découverte de sept panneaux de signalisation aux abords de Toulouse, portant l’inscription « djihadistes » barrée d’un trait rouge.

La direction départementale de la sécurité publique de Haute-Garonne a immédiatement ouvert une enquête pour incitation à la haine raciale. A travers cette action, le groupe Génération Identitaire souhaite lancer une alerte pour demander à Jean-Luc Moudenc, le maire LR de Toulouse, de s’opposer au retour des djihadistes partis combattre en Irak et en Syrie.

Depuis plusieurs jours, ils multiplient les actions pour dénoncer le risque d’attentats que représente ces individus.

La dénonciation du djihadisme semble donc être devenue aujourd’hui une forme d’incitation à la haine. »

Exactement ! Et c’est à la lumière glauque de telles réactions de la part des « zautorités » que l’on peut prendre conscience de la trahison des « gouvernants » et de « l’administration ». Alors nous devons nous protéger nous-mêmes, créer des réseaux de renseignement et des unités d’action contre le djihadisme. Il y a tellement de malfaisants mésels sur nos terres que, même avec la meilleure volonté du monde, nos employés (c’est nous qui les rétribuons !) des services officiels sont débordés. Et puisque l’État n’a rien de plus pressé que de s’attaquer à la Résistance, c’est à nous de faire le travail d’auto-protection, quitte à rentrer dans le lard des étatiques s’ils se mettent en travers de nos actions. Car jamais rien de bon ne sortira des votes : l’avenir est compromis de ce côté-là.

 J’en veux pour preuve les récentes déclarations de Robert Ménard qui dit ne plus vouloir travailler avec le FN parce que lui-même est contre le retour à la souveraineté puisqu’il est pour l’Europe. Robert Ménard est sans doute un excellent maire de Béziers, il a incontestablement conscience des méfaits de l’invasion, mais il oublie de préciser quelle Europe est appelée de ses vœux : l’actuelle, dominée par la commission de Bruxelles, centralisatrice, à la solde des grands monopoles financiers, destructrice des Nations, ou bien une Europe des Nations encore en-deçà de l’horizon ? Il faudra qu’il s’explique. Et qu’il n’oublie pas que « le principe de toute souveraineté réside essentiellement en la Nation. » Alors son « appel d’Angers » ne vaut pas tripette. Dans l’imbroglio des sectarismes, du tout-à-l’Ego, le bloc des Droites Unies dont nous aurions besoin pour vaincre les valets de la finance transnationale n’est pas près de voir le jour. Nous n’avons pas pour le moment, et pour longtemps encore, d’autre choix qu’un activisme, raisonné mais musclé.

Nous devons combattre sur tous les fronts, car l’ennemi (et pas seulement le mésel) nous attaque de toutes parts. Parmi les malfaisances en préparation : la « loi » contre les fausses nouvelles (Fake-news comme dirait l’énergumène élyséen, fuck-news plus justement) avec -là, on de frotte les yeux de stupéfaction- l’idée de confier la vérification des nouvelles à l’AFP. Rappelons que cet organisme est en soi une officine de concoction de bobards (on l’a récompensé pour cela d’un Bobard d’Or) soit par omission, soit par publication hâtive et rectification tardive, soit tout simplement par mensonge. AFP, c’est l’Agence Française de Propagande. Et c’est à cette officine fasciste que Macron a dévolu le rôle de « décodeur » (comme on dit à l’Immonde). Ce qui veut dire : l’Élysée veut s’arroger le monopole des fausses nouvelles, aux fins que l’on devine. L’intox, comme un maudit tambour, bat son plein.

Autre malfaisance : rendre l’école obligatoire dès trois ans. Belkassine en rêvait, Macron va le faire. Il ne s’agit rien de moins que de l’entreprise fasciste d’enlever les enfants à l’influence des familles. Bien entendu, il y a des cas où les enfants sont biberonnés au coran et bercés près du mur : cela fait des djihadistes. À l’inverse, les familles autochtones européennes, à quelques exceptions près, ne se conduisent pas de cette manière. Mais les monopoles veulent « socialiser » les enfants, c’est-à-dire les dresser comme des chiens à répondre aux sollicitations de l’État et de la propagande : « antiracisme », « vivre-ensemble », « Europe », « citoyen du monde » etc… Cette imprégnation, espère-t-on, jouera au moment où, accédant à la Personne, le tout jeune adulte commencera à trouver ridicules, voire infames, certaines structures et idées en cours. Il faudra bien quelque jour imposer à tous ces tyranneaux l’idée que les citoyens veulent être maîtres chez eux et que l’éducation est strictement le monopole des familles.

Que dire de plus, sinon vous offrir, comme Churchill en son temps « blood and sweat and tears », du sang, de la sueur et des larmes ? Nous n’avons pas d’autre choix. Il faut y consentir, ou disparaître dans la soumission et la honte.

Sacha

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