Thérapie par le bourre-pif

Flag2On n’avait pas vu ça depuis ma jeunesse à l’Université (ce qui doit bien faire dans les 45-50 ans) : des étudiants décidés donnant l’assaut et virant manu militari la vermine gauchiste qui bloque une fac. Le fait mérite d’être souligné et chaudement approuvé. J’ai eu moi-même naguère à refuser l’entrée d’un « amphi » à des racailles gauchistes lors des troubles occasionnés par la loi Pécresse, ce qui me valut alors le qualificatif (dont je suis très fier, venant du vice c’est un hommage à la vertu) de « vieux fasciste acariâtre » ; n’empêche, je suis resté maître du terrain. Ce qui prouve que dès que cette boue trouve à qui parler, elle finit par se dégonfler. Et qu’elle a intérêt à s’écraser !

Nous sommes un certain nombre de citoyens à récapituler toutes ces années de méfaits gauchistes, depuis le calamiteux « mai 68 ». J’ai jadis écrit que cette date-là marquait une catastrophe aussi grave que celle de mai 1940. La ruée des Panzerdivisionen a fait s’écrouler l’édifice vermoulu de la IIIe république, et malgré le talent de prestidigitateur du Général, nous ne nous en sommes jamais remis : songez que nos « libérateurs » nous ont fait province du Mickeyland et que la IVe bouclait ses fins de mois avec l’argent US concédé par Eisenhower. Les républiques n’ont jamais été profitables au pays : ce sont au contraire des facteurs de ruine. Les débordements ridicules de « mai 68 » ont porté un coup d’arrêt fatal au redressement de la France entrepris par De Gaulle. Nous en voyons, atterrés, les tristes résultats aujourd’hui.

Pour en revenir aux universités, je ne sais pas exactement quel est le décompte de celles en proie aux vermines rouges immigrophiles. Paris VIII (normal, c’est en territoire ennemi), Toulouse le Mirail, fleuron des universités gauchistes, Rennes 2, Nantes, Bordeaux III etc… Dans ces lieux transformés en cloaques de « nuits de boue », le racisme anti-Blancs (leucophobie) des gauchistes « antifas », mélanchoniens, indigestes de la république, Diallo, Obonno, envahisseurs, s’exhibe impunément. On tague, on casse, on souille. Or les présidents de ces établissements publics ont tous la possibilité de faire appel à la police pour déloger les criminels ; ils ne le font pas soit par agrément idéologique avec ces racailles, soit par lâcheté : peur d’être taxés de « fascistes », de « racistes » etc… Une bonne part de cette pleutrerie tient en effet à la pesanteur de l’idéologie. Je ne dirais pas « de l’idéologie dominante », car pour sûr ces délires et fantasmes ne sont en aucune part partagés par la majorité de la population. Il s’agit plutôt de l’idéologie « déversée » par des groupuscules de pression et par le pouvoir, qui bénéficie d’une formidable caisse de résonnance dans les médias de propagande -le Propagandastaffel.

Alors, puisque l’État et ses employés ne jouent pas leur rôle, il est sain, bénéfique, que des citoyens s’organisent. À Montpellier, une dizaine de volontaires (évidemment qualifiés par le Propagandastaffel de « nervis » alors que les « antifas » sont simplement appelés « contestataires ») a réussi à chasser une cinquantaine de trublions trotskystes anti-France. Bien, bravo ! Il faudrait que le mouvement de résistance s’amplifie. Et, franchement, ce n’est pas avec des contre-manifestations qu’on doit lutter, mais par des actions musclées. Nous en sommes là, c’est regrettable, mais puisque l’État ne joue plus depuis longtemps son rôle régalien de sécurité intérieur, il perd le monopole de la violence, et ce monopole revient de facto au Peuple. Nous appelons donc à la mobilisation, et sommes décidés à prêter main forte partout où ce sera nécessaire.

Car il est temps de réagir. Les votes populaires ont été confisqués par un coup d’État en 2017. On s’apprête à défigurer, une fois de plus, la Constitution (M Larcher, s’il vous plaît, persuadez le Sénat de faire obstacle !) et à entasser de prétendues « lois » tyranniques. Et l’attentat islamique d’hier à Trèbes montre l’incohérence de la politique gouvernementale ; ce qui ne nous étonne nullement. Nous rendons hommage à la conduite sacrificielle du Lieutenant-Colonel Beltrame. C’est un sacrifice très chrétien, nul doute. Mais le fait est que cette offrande d’une vie n’aurait jamais dû avoir lieu. D’une part, nous sommes en guerre, une guerre « dyssymétrique » comme disent les stratèges, et il faut que les Français sachent qu’ils sont sur la ligne de front et qu’ils doivent s’attendre à rencontrer l’ennemi n’importe où et n’importe quand. Ils doivent par conséquent s’organiser pour se défendre par tous les moyens. On ne discute pas avec les terroristes, on les abat. D’autre part, les responsables politiques sont coupables. Je ne ferai pas ici la litanie de leurs culpabilités, allant du refus de fermeture des frontières à l’incroyable bienveillance témoignée à l’ennemi civilisationnel. On veut encore faire des lois criminelles contre « le racisme ». C’est bien là le témoignage d’une complicité qui prend ailleurs l’aspect de l’aide aux « bons » (???) terroristes et des compromissions avec les monarchies musulmanes de l’Arabie.

En l’occurrence, le terroriste « franco-marocain » (!!!) était connu des polices et fiché au FSPRT (Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste). Il aurait dû être mis préventivement hors d’état de nuire. Mais ce sont les patriotes que l’on met en préventive !  Le SAIP (système d’alerte et d’information des populations) n’a pas été actionné. Bref : on se demande si « la gouvernance » est composée d’une bande de cons ou… si elle le fait exprès. Je ne doute pas que la police et les services de renseignement fassent consciencieusement leur travail, mais il est clair qu’ils sont tenus en laisse par « la gouvernance ». Et c’est le cas presque partout en cette Europe des monopoles.

Alors ? Eh bien retroussons nos manches. Organisons des réseaux de quadrillage et de surveillance, partout, sur l’internet, dans les rues, dans les entreprises, dans les établissements d’enseignement, et préparons des unités d’action. Je sais que cela est « illégal », mais la « gouvernance » n’est-elle pas constamment en train de violer les lois ? Il n’y a plus « d’état de droit », c’est au Peuple de le rétablir.

Les Anciens prétendaient que les Dieux rendaient fous ceux qu’ils voulaient détruire. À contempler et analyser la situation actuelle, cet adage s’applique pleinement à la caste politico-médiatique sous influence des grands monopoles transnationaux mondialistes. Les ennemis de la Nation nous appellent « fachosphère » (ce qui, là encore, est l’hommage du vice à la vertu), mais eux constituent une morosphère (du grec ancien  moros, fou) : la sphère des fous embarquée sur le moroscaphe, la Nef des Fous. Cette sphère des fous, il faut se la représenter comme le système cosmique des Anciens, fait de sphères emboitées comme des poupées Russes (attention ! V. Poutine n’y est pour rien !). Car la « bien-pensance » criminelle nous enferme dans un monde totalitaire sublunaire, sous les sphères des « droits-de-l’homme », du « politiquement correct », de la lévosphère (sphère gauchiste), de la perversion elle-même renfermant les fémino-lesbiennes fanatiques, les généristes et autres. Bref, si le cœur vous en dit, vous pourrez facilement dessiner cette morocratie qui nous opprime et dont nous devons de toute urgence nous débarrasser. Enfin, peut-être pas si facilement, car les ciels de la Folie sont bien plus complexes que l’astronomie antique ne l’imaginait pour les planètes et les étoiles. Peu importe. Ce qu’il faut bien comprendre : nous subissons la tyrannie de ces énergumènes pathologiques, et l’urgence, la grande urgence à peine de mort, est de nous en débarrasser. De leur passer la camisole et de les traiter par rhabdothérapie, la thérapie par la baguette.

Car, une fois de plus, la solution n’est PAS dans les urnes.

Sacha

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