Le chanoine de Latran… Ce sale petit coquebin se comporte comme un satrape. « On » dit qu’il aurait passé un sale été, rattrapé par des tas d’ennuis consécutifs à sa désinvolture et à son penchant totalitaire. Valeurs Actuelles de cette semaine titre même : « Le ciel lui tombe sur la tête ». J’en doute. Qu’il y ait des affaires Ben Allah, Nyssen, etc… tombant au milieu de la saison bronzeculière, cela n’a pas d’importance, le cuistre est protégé par l’institution : « qu’ils viennent me chercher ! » claironne-t-il comme le sale cancre qu’il est, sachant qu’il ne risque rien.
Il nomme les gens de sa cour à des postes avantageux, en tordant le bras aux règlements administratifs. Ce n’est pas le fait du prince, c’est tout bonnement la fantaisie du tyranneau. Mais plus sérieusement, il trahit. La vente d’Alstom à General Electrics et à Siemens dépossède le pays de la maîtrise d’industries stratégiques. Attendez, le bouquet (provisoire) :
De Pierre Jovanovics :
« Les militaires français me font bien rire maintenant. Une fois par an, on leur brosse les chaussures réglementaires pendant le 14 juillet, et les 364 jours restants, depuis Sarkozy, on leur enlève des unités, des armes, des hommes, des budgets, des prérogatives. Résultat des courses: la France n’est plus capable aujourd’hui de fabriquer ni ses propres munitions, ni ses propres armes.
Bravo les européistes !!! Superbe opération au nez et à la barbe des colonels et généraux remerciés à coups de grades et d’enveloppes pour la fermer.
Le général De Gaulle, Napoléon, Bayard et Jeanne d’Arc doivent se retourner 20 fois par jour dans leur tombe. « L’armurier français Manurhin passe sous contrôle émirati. Seul fabricant français de machines de munitions, Manurhin, qui était en redressement judiciaire depuis le 13 juin, a été repris par un groupe industriel émirati. La décision prise par la Chambre commerciale du tribunal de grande instance de Mulhouse permettra ainsi de sauvegarder 104 emplois sur 145″.
Dans leurs calculs des plus vils, Hollande comme Macron ont volontairement privé Manhurin de commandes d’Etat afin qu’il fasse faillite. Vous remarquerez que cela a été donné en plein mois d’août, évidemment !!!! Même les militaires french n’ont plus de ****** . La police achète maintenant des armes chez les… Allemands !!!!!
C’est la prise de contrôle la plus ignoble qui m’ait été donnée de voir en dix ans. »
Source : https://www.jovanovic.com/blog.htm (20-24 août 2018)
Vous avez bien lu : ce sont les princes du pétrole qui possèdent NOTRE industrie poudrière. Encore un petit effort, Jupinet, et Dassault passera sous contrôle Yankee ou… Quatari ! Il s’agit bien de trahison pure et dure. D’ailleurs, depuis que Trump botte les fesses de ses valets otaniens, « on » pense du côté de chez Merkel à se mettre sous le parapluie nucléaire Français ! Je l’avais annoncé : Macron vendra même nos forces nucléaires stratégiques. Ça en prend le chemin.
Alors, nous ne devons pas prendre nos désirs pour des réalités. L’infâme est incrusté au pouvoir, et personne n’est en mesure de susciter l’insurrection libératoire. Ceux qui rêvent d’une victoire « populiste » (moi, je dis : patriotique) aux prochaines élections européennes se mettent le doigt dans l’œil, c’est la bande de chèvres macroniques qui gagnera. La droite est éparpillée façon puzzle. Le seul espoir est une nette poussée des anti-migration, au niveau de tous les pays européens, lors de ces élections : autant dire que l’espoir viendrait de l’étranger et pas de chez nous. Quand donc grondera le « coup de canon » annoncé par Christian Combaz qui réveillera les Français ? En attendant, nous continuons d’être pillés par un État macronique sans scrupules, vendus, déshonorés et envahis.
De toute façon, ce n’est pas par les urnes que l’on se débarrasse d’un régime tyrannique, c’est par l’insurrection. Et pas pour installer une Marianne VI !
Ci-après, je publie le texte de la lettre adressée à Jupinet par Michel Onfray (voir aussi la vidéo sur le site du philosophe).
Sacha
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Dans la tradition littéraire des pamphlets et de la satire politique, Michel Onfray réagit à la nomination de Philippe Besson, ami du couple Macron, au poste de consul de France à Los Angeles et à d’autres sujets concernant le Roy Manu.
Votre Altesse,
Votre Excellence,
Votre Sérénité,
Mon cher Manu,
Mon Roy,
La presse a rapporté il y a peu que tu avais nommé un gueux pour représenter la nation à Los Angeles. Il aurait pour seul titre de noblesse diplomatique, disent les mauvaises langues, les jaloux et les envieux, un livre hagiographique sur ta campagne présidentielle. En dehors de ce fait d’arme si peu notoire que personne n’en connaît le titre, pas plus d’ailleurs que celui des autres ouvrages du susdit, la plume est bien de celle qui se trouvent dans les parties les moins nobles de la profession : le croupion, car c’est celle que découvre le plus souvent la position de soumission inhérente à la fonction des gendelettres – la prosternation. De Sartre à BHL chez Sarko (après Mao), d’Aragon à André Glucskmann chez le même Sarko (après Mao lui aussi), de Drieu la Rochelle à Sollers chez Balladur (après Mao également), de Brasillach à Kristeva chez le Bulgare Jivkov (après Mao elle aussi), les cent dernières années n’ont pas manqué d’écrivains doués… pour l’agenouillement politique!
Philippe Besson entre dans cette vieille catégorie du valet de plume, mais on sait désormais de quelle plumasserie ce jeune homme comme il faut relève. Ce genre de plume n’est pas celui des plus talentueux, mais c’est celui des plus vendus – je parle de l’homme, pas de l’auteur.
Manu, on comprend que, toi qui aime tant les lettres, tu aies envie de câlins venus des écrivains les plus à même de marquer le siècle et d’entrer dans la Pléiade quand tu seras redevenu banquier. Mais si ce siècle doit être marqué par toi, il n’y a pas grand dommage à ce qu’il le soit aussi par Besson le petit (à ne pas confondre avec Besson le grand, l’écrivain Patrick, ni avec Besson la championne d’athlétisme, Colette, ou bien encore avec Eric, le traître passé de Ségolène à Sarkozy en pleine campagne présidentielle, ou bien encore avec le Minimoy, Luc.
Avant d’être flagorneur, Besson-le-Petit a été directeur des ressources humaines auprès de Florence Parisot, dame du MEDEF, mais aussi auteur de scénario de téléfilms, donc chevalier des Arts et Lettres. Convenons-en, tout ceci légitime l’affirmation d’Arlette Chabot, qui faisait déjà de l’éditorialisme politique à la télévision quand elle était en noir et blanc, la télévision, et n’avait qu’une seule chaine. Courageuse, audacieuse, résistante, rebelle, insoumise, l’Arlette n’a en effet pas craint d’affirmer sur l’un des médias qui l’appointent que tout ceci était habituel: Napoléon n’avait-il pas nommé Chateaubriand en son temps et de Gaulle Romain Gary? En effet, en effet… Arlette, chère Arlette, vous qui avez déjà les grades de chevalier puis d’officier de la Légion d’honneur, je vous promets le grade supérieur pour bientôt! Si ce n’est déjà fait, car vous méritez d’y avoir votre rond de serviette, vous serez aussi bientôt invitée à la table de notre grand Mamamouchi en compagnie du vérandaliste Stéphane Bern et des frères Bogdanov, les éminents membres correspondants de la NASA française.
Votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, il a tout de même fallu, pour que cette affectation de copinage ait lieu, que tu prennes la décision d’un décret modifiant les règles de la nomination des diplomates afin que ce ne soit plus le Quai d’Orsay qui ait la main mais le gouvernement, c’est à dire, toi tout seul, chacun le sait. C’est ce que les langues vipérines qualifient de fait du prince… Le décret te permet désormais de récompenser des non-fonctionnaires, pourvu qu’ils aient été serviles. Bern ambassadeur chez l’impératrice Sissi ou les Bogdanov nommés pour la même fonction sur Mars, grâce à toi, c’est désormais devenu possible… La France redevient “great again”!
J’ai appris qu’en même temps, tu avais rendu possible cet autre fait du prince: madame Agnès Saal a été nommée par un arrêté paru au Journal officiel “haut-fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations auprès du secrétaire général du ministère de la culture”. En voilà un beau poste, et si moral en plus! Un beau jouet emblématique du politiquement correct de notre époque.
Rappelons un peu le CV de l’heureuse élue que tu gratifies à son tour. Cette dame s’était fait connaître par des notes de taxi dispendieuses, plus de 40.000 euros tout de même, et ce en grande partie au profit de ses enfants, quand elle était directrice générale du centre Pompidou et présidente de l’INA, un institut que tu connais très très bien, n’est-ce pas? Pour ces malversations, elle avait été condamnée à six mois de suspension sans solde (probablement selon les principes de ce que l’on peut désormais nommer la jurisprudence Benalla…), puis à trois mois de prison avec sursis et une double amende. Elle avait été réintégrée en douce au ministère de la culture l’été 2016 (il faut faire gaffe aux nominations d’été…) comme chargée de mission auprès du secrétariat général en vue de la finalisation de labellisation AFNOR sur l’égalité professionnelle et la diversité.
Précisons aussi ceci: selon Mediapart, la même madame Saal, décidément très récompensée – on se demande pourquoi – figurerait également “dans la liste très restreinte des hauts fonctionnaires, qui, par un arrêté du 3 août 2018 signé par le Premier ministre, ont été inscrits à compter du premier janvier 2018, donc rétroactivement, au “tableau d’avancement à l’échelon spécial du grade d’administrateur général”. Ce qui, en d’autres termes, veut dire que, pendant les vacances du Roy à Brégançon, cette procédure qui ne relève pas du traditionnel avancement mais d’une volonté politique expresse, a permis à ladite dame de profiter d’une hausse de son traitement allant jusqu’à 6.138 euros par an, indemnité de résidence à Paris comprise, soit au total près de 74.000 euros de traitement annuel. S’y ajoute un supplément sous forme d’indemnité qui augmente sa retraite des fonctionnaires d’environ 10%. Quand tu aimes, mon cher Manu, ça n’est pas pour rien et ça se voit!
Françoise Nyssen, rappelons-le pour les millions de Français qui l’ignorent encore, est ministre de la culture. C’est elle qui a mis en musique la mélodie sifflée à son oreille par le président. Face au déchaînement que cette nomination a légitimement suscité, elle fait savoir ceci sur les réseaux sociaux: “J’ai nommé Mme Agnès Saal (j’épèle : S . A . A . L, car on pourrait mal orthographier…) haute fonctionnaire à l’égalité et à la diversité. J’ai fait de cette cause une priorité dès mon arrivée au ministère de la culture. La qualité de son engagement et de son travail au service de ces valeurs fondamentales devrait guider les commentaires aujourd’hui”. On ignore quelle est la cause en question: madame Saal, ou les fameuses valeurs ici prises en otage?
Mais Françoise Nyssen, c’est également l’éditrice qui a sciemment fraudé deux fois le fisc en ne déclarant pas de considérables agrandissements d’espace, une fois en Arles, au siège de sa maison d’édition, une autre fois à Paris. Le Canard enchaîné, qui a levé le lièvre, a chiffré la fortune économisée par ce double forfait! ça en fait des APL pour les étudiants désargentés, je te jure!
Qui se ressemble s’assemble. Dès lors, il était normal que, sous ton autorité, sous tes ordres, selon ton désir, selon ton souhait, selon ta volonté, selon tes vœux, mon Prince, mon Roy, mon grand Mamamouchi, le vice récompense le vice. En un peu plus d’un an, de Richard Ferrand à Alexandre Benalla, via cette dame Saal, tu nous y a déjà tellement habitués!
Sais-tu, mon cher Manu, que des caissières qui ont utilisé à leur petit profit des bons de réduction de deux ou trois euros qui trainaient sur la caisse, ou que des employés de grand magasin qui ont mangé un fruit prélevé dans les rayonnages, ont été sèchement licenciés, eux, sans indemnités, sans planques payées par les contribuables et sans possibilité de retrouver du travail fort bien payé avec les avantages de la fonction à la clé? Probablement une nouvelle belle et grosse voiture avec chauffeur…
J’ai appris aussi que ton si bon ami Benalla s’était rendu coupable de charmants forfaits depuis ceux que l’on a bien connus l’été dernier. Mais l’incendie a été joliment éteint – sûrement pas avec l’eau de la piscine que tu t’es fait construire à Brégançon, pas pour toi, oh non, bien sûr, mais par altruisme, pour les enfants du personnel de la résidence royale plus sûrement.
En garde à vue, la police a souhaité perquisitionner le domicile de ton si cher ami Benalla. Elle voulait notamment accéder à son coffre-fort. Tenus par la loi à ne pas entrer dans l’appartement avant l’heure légale, les policiers ont posé des scellés le soir et attendu le lendemain. Mais le coffre-fort a été vidé dans la nuit! On a le bras long chez les Benalla puisque du commissariat on peut atteindre un coffre-fort chez soi en pleine nuit. Les quatre armes qui devaient s’y trouver n’y étaient plus – soit tout de même trois pistolets et un fusil, pour un homme qui n’a que deux mains, ça fait tout de même beaucoup… Sa femme avait les clés, il avait dit quelle était à l’étranger : elle se cachait en fait dans le seizième arrondissement de Paris. Il est vrai que pour de nombreux français cet arrondissement de nantis équivaut bien à un pays étranger.
Votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, il me semble tout de même qu’il vaut mieux faire partie de ta cour que d’être un senior amputé de sa retraite, être un plumitif courbé plutôt qu’un écrivain debout, être une énarque de gauche qui tape dans la caisse de l’Etat pour financer les transports de sa progéniture, plutôt qu’un étudiant à qui tu voles dans sa poche cinq euros d’APL, être un cogneur de manifestants avec un brassard de la police et une accréditation de l’Elysée qu’un syndicaliste défendant le droit du travail.
Votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, j’aimerais que tu m’aimes et ce pour trois raison. La première: pour être nommé sans compétence consul des provinces et des régions françaises dans le sixième arrondissement de Paris, voire le seizième – tu le peux, je le sais, il suffit que tu le veuilles; la deuxième: pour permettre à ma vieille mère qui n’a pas son permis de conduire et qui a quatre-vingt-quatre ans, de pouvoir disposer d’un taxi gratuit à n’importe quelle heure du jour et de la nuit pour aller faire ses visites médicales à une demi-heure de chez elle, le tout payé avec l’argent du contribuable tu le peux, je le sais, il suffit que tu le veuilles; la troisième: pour avoir chez moi des armes à feu en quantité, mais aussi et surtout, pour pouvoir tabasser les gens qui me déplaisent en portant un casque sur la tête, en distribuant des coups de matraque et en disposant de CRS ou de la police comme couverture à mes descentes de petite-frappe – tu le peux, je le sais, il suffit que tu le veuilles.
S’il te plait, votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu: veuilles-le. Je te promets pour ce faire de me prosterner moi aussi, de montrer les plumes de mon cul aux passants, de dire du bien de toi avec des articles, des conférences et des livres, je te jure, j’irai sur les chaînes et les radios du service public pour certifier, comme Arlette Chabot, qu’entre Napoléon, de Gaulle et toi, il n’y a pas l’épaisseur d’une feuille de cigarette, Joffrin ne me reconnaîtra pas, il m’aimera peut-être lui aussi comme il a aimé jadis Bernard Tapie et Philippe de Villiers. Je pourrai écrire aussi une biographie de Stéphane Bern avec une préface de Brigitte ex-Trogneux, passer une thèse de physique quantique avec tes amis les frères Bogdanov comme directeurs de travaux. Je pourrais même consacrer un séminaire de littérature comparée à l’œuvre de Philippe Besson que je mettrai en perspective avec celle de James Joyce. S’il te plait, tu le peux, tu es mon Roy. J’habite place de la Résistance à Caen, fais-moi signe.
Veuillez, votre Excellence, votre Sérénité, mon Roy, votre Altesse, mon cher Manu, mon chéri, recevoir l’expression de ma considération la plus courtisane. Vive la République, vive la France, mais surtout: Vive Toi !
Michel Onfray
Post-scriptum : des bises à la Reine.
Post-scriptum 2: j’apprends à cette heure que tu as fait du jet-ski à fond les ballons avec Brigitte quand tu étais à Brégançon et ce dans une zone interdite à la navigation et au mouillage – tu y as pourtant grandement navigué et vraiment mouillé. Cette réserve marine protégée ne doit être troublé par aucun véhicule à moteur. Il y eut pourtant tes deux jets-ski et ton gros bateau avec un moteur de 150 chevaux – qui sait, peut être empruntés à Nicolas Hulot, car on sait que, comme toi, il est un écologiste qui collectionne les engins motorisés. Protéger l’environnement marin et préserver la biodiversité dans les eaux du parc national de Port-Cros, pour toi qui fume du glyphosate chaque matin au petit déjeuner, ça compte pour rien, n’est-ce pas?
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !