Endoffés, va !

drapeaugjLe Tonton Macroute… Il a causé, débagoulé, donc, une fois de plus. Mes copains de la Camorra n’ont pas voulu le voir ni l’écouter, mais moi je voulais savoir quelles conneries il allait débagouler, alors je me suis fait attacher à une chaise au rade de Riton-les-belles-chailles, de peur que la rogne me fasse casser le foutu téléviseur.

Debout, qu’il a voulu être l’artiste, histoire de faire croire qu’il n’a pas la foiridon. Tu parles ! C’est épais comme un cure-dents, ça cause comme un perroquet énarkyste et ça veut rouler des mécaniques ! La preuve qu’il a les flubes, l’apôtre, c’est qu’il n’a pas pu s’empêcher de dégueuler un torrent de saloperies contre les Gilets Jaunes, les ceusses qui d’après lui s’adressent à des foules haineuses, qui sont racîîîîîstes, anti-sémites, anti-pédégouines etc… Pauvre cloche ! T’as pas encore compris que ces conneries ça ne berlure plus ces ploucs que tu détestes ?

Le fait est que ta politique de merde, tes nioules d’importation, ton Junker, ta Merkel, tes délires éuropéâstres (comme disent les copains), tes banksters, tes GIEConnards, ben on en a classe. Marre parce que ça va mal dans les chaumières, marre de casquer pour des pourris, marre de se faire enculer avec du barbelé, et que toi, pauvre naze, dans ta bauge élyséenne pleine de joncaille, tu t’en fous. Tiens, écoute un peu ce que te disent ces jeunes gens :

Tu vois, pas besoin de cahiers de doléances, t’as qu’a être à ce qu’on te dit, t’as qu’à mettre tes énarques… tiens, ENA, c’est un palindrome, dirait Vautrin… tes bureau-burro-bourreaucrates au turbin qu’ils croisent les sondages d’opinions, et tu comprendras peut-être. À voir ta hure, l’autre soir, j’ai pigé que tu nous préparais de vilaines choses salopardes, des coups de goumi de Trafalgar. C’est bien le genre de saloperie que seules des lopettes politiques à court de bagout et surtout de pensarde sont capables de faire en guise de réponse au renaud légitime du populo.

Par ce que des paranos sapés comme des shoguns enragés envoyés par ton premier cogne de France, on n’a pas fini d’en voir partout, contents de castagner, les bougres. Attention : un de ces jours, on pourrait faire parler la poudre, tes robocops pourraient prendre une indigestion de quetsches chaudes ! Là, mon gars, tu devrais y regarder à deux fois avant de jouer au con (remarque, c’est le seul jeu que tu connais, alors…) Ton Casta, il veut flanquer des amendes à ceusses qui barrent les ronds-points pour « entrave à la circulation ». Des connards de chèvres députasses portent le pet contre des GJ qui les traitent d’islamo-collabos (ben y a pas, c’est bien ce qu’ils sont) ou leur parlent de guillotine. Bande de taflettes, qui s’imaginent que des dizaines de milliers de procès vont nous arrêter ? T’as déjà trop de malfrats au ballon, y a plus de place, et, de toute façon, tu vois les chats fourrés s’expliquer avec cent mille dossiers qui leur tombent sur les endosses comme la vérole sur le bas-clergé ? Y sauraient plus où donner du mortier !

N’empêche : des poultoks cuirassés ont sauté l’ami Drouet et lui ont passé les cadènes Là, mes bougres, vous foutez de l’huile sur le feu, gaffe, la casbah va cramer ! En tous cas, ça montre ce que vous valez : nib de nib ! Pour de vrai, Macron, tu connais très bien ce que nous voulons, en premier le référendum du populo et pour le populo. Mais c’est ça qui te chantisque ! Alors tu voudrais « encadrer » (té, c’est bien un mot de stal, ça !) les débats, histoire de noyer la poissecaille comme l’ont fait tous tes prédécesseurs à propos de « débats nationaux » dont ils se torchent le fion avec les rapports. Ben mon gars, je te jure que ça va pas se passer comme ça : on va te montrer ! Parce que nous, les réputés pas intelligents, on sait lire, écoute un peu ça : « les discours au peuple sont de longues tartines, mais sous ces tartines il n’y a pas de pain ». C’est d’un dénommé Karr, Alphonse de son préblaze (et tu peux être sûr qu’il n’était pas l’Alphonse du Gros Caillou). Et encore déguste ça, de Rivarol : « quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir ».

On ne t’estime pas. On ne t’obéira pas. Toi et tes complices, vous allez passer l’année comme des morbacks taquinés par la Marie-Rose ! Endoffés, va !

Raoul

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