Désopilante Marlène !

chicoree-schiappa-mediumAh sacrée Marlène ! Elle ne cesse pas de nous faire rire par ses forfanteries et ses envolées lyrico-politiques toujours macronesques et macrolâtre, toujours à côté de la plaque. Cette fois, elle s’en prend à la cagnotte lancée pour soutenir le boxeur (frappé d’une justice expéditive) cabosseur de poulaga. Ce qui a valu à cette pauvre Marlène une fessée verbale mais sévère, qui a fait gronder non le mérite, mais le démérite en la personne du douteux Morandini : Philippe Pascot (Écrivain et Gilet Jaune) dénonce un « deux poids deux mesures ». Et c’est vrai : peut-on comparer quelques gnons administrés en réponse à la violence policière des macroniques avec les méfaits de frère Tariq protégé de ces dames féminazies qui ont barré leur clapoire pour l’occase ? Car il faut le rappeler : l’énergumène prêcheur de charia a bénéficié d’une grosse, très grosse cagnote affurée par les islamoks, et personne ne s’est insurgé (je veux dire : personne dans les castes). J’aime bien ce qualificatif de « poupée Barbie » (Klaus ?) que lui décerne l’écrivain :

Ah ! Il faut le faire ! Une entreprise privée, cédant probablement à un chantage gouvernemental (voyez Bercy pour confirmation) se permet un acte contraire à sa charte commerciale en fermant la cagnotte. C’est déjà une dégueulasserie. Mais ce qui est pire est cet appel à moucharder lancé par le sous-ministre (désolé : « ministre » est épicène) : on devrait faire connaître les noms des donateurs. Là, ça t’a un de ces relents gestapaches pas piqués des hannetons.

Ce qui est encore plus marrant, avec Marlène, c’est qu’elle voit derrière la légitime révolte des GJ la main occulte d’une puissance étrangère. Accusé Salvini, levez-vous ! Remarquez, cette foi, ce n’est pas un coup des Russes. Mais allez savoir… dans la cervelle de colibri de Marlène, il se pourrait bien que malgré tout, avec Mateo, gambadent Vladimir et Donald. Car, de toute façon, ce merveilleux gouvernement macronique n’est pour rien dans la révolte populaire. Ergo, désignons des boucs-émissaires et, pour filer la métaphore, des boucs cornus tirant les ficelles de ces abrutis de ploucs qui n’ont rien compris au Grand Projet euro-mondialiste de Jupinet.

Ben voyons ! Marlène, c’est en quelque sorte la Belkacem du macronisme. M’est avis qu’elle va encore se faire tirer les oreilles dans « J’suis pas content ! »

Bon : demain, acte IX (on verra bien !), et la fin du mois à revenus amputés par Bercy approche. J’espère qu’alors il y aura un sacré schproum ! Z’êtes pas encore sortis de l’auberge, les macroniques !

Raymond

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