Chloroquine : l’Empire contre-attaque

diablesse-gjmj-small« T’auras pas le phylloxéra
Grâce aux vaccins systématiques
Pour engraisser les scélérats
De l’industrie pharmaceutique. »

(Jean Ferrat, Fais dodo, Cola petit frère)

Chaque péripétie de la charge des scélérats contre l’hydroxychloroquine nous apporte la preuve qu’au prétexte d’une épidémie amplifiée par les moyens de propagande de masse, vrais porte-paroles des grands groupes pharmaceutiques, les mondialistes parés des plumes du « Gros pharma » sont à l’offensive. Je ne peux pas encore affirmer que l’épidémie a été sciemment provoquée, bien qu’ici et là des biologistes observateurs soulèvent l’hypothèse d’une manipulation génétique du virus, avec des arguments convaincants pour un type comme moi qui s’est intéressé très tôt -et en détail- à ces techniques, mais il est maintenant certain que le « Gros pharma », Gilead en tête, entend bien fourguer à prix d’or d’abord un médicament pratiquement sans effet thérapeutique notoire, le  Remdesivir, puis ensuite un vaccin (encore très hypothétique) qui deviendrait obligatoire.

Naturellement, la bande de crapules qui prétend nous gouverner est en « conflit d’intérêt », puisque ses « conseillers scientifiques » et ses personnes influentes ont partie liée -financièrement et idéologiquement- avec le « Gros pharma ». Ce qui a valu à l’hydroxychloroquine d’être classée par Buzin (et son mari) au rang des substances vénéneuses.  L’OMS, organisme onusien inutile, stipendié notamment de Guillaume des Grilles (1) et dont le chef est un communiste inféodé aux Chinois, abonde évidemment en ce sens. L’Académie de Médecine, qui ne brille plus guère par son intelligence et sa compétence, leur emboite le pas. Je pourrais énoncer un long catalogue d’idéologues, d’escrocs et de prévaricateurs constituant la nébuleuse anti-Raoult et pro-Gros pharma (2). Il ne faut donc pas s’étonner que le prétendu ministre de la santé vienne de porter un nouveau coup à la chloroquine et au Pr Raoult, en s’appuyant sur un douteux conseil « scientifique » et en exploitant un article très douteux du Lancet.

La manie anglosaxonne du « publie ou péris (3)» semble en apparence favoriser le développement des sciences. Je veux bien l’admettre lorsqu’il s’agit de sciences comme la Physique, là où l’équation explicative se partage et les prédictions peuvent -et doivent- être expérimentalement éprouvées. Je veux bien d’admettre pour la Biologie Moléculaire, en gardant le souvenir de travaux fondamentaux récompensés du Nobel, comme ceux de Monod, Jacob, Lwoff – de véritables pastoriens de 1965 : il paraît que ceux d’aujourd’hui ont bien changé. Autrement dit, lorsqu’on peut tenir un propos dûment formalisé, produire un modèle explicatif, validé par l’expérience, on fait de la science.

On ne peut pas en dire autant des « sciences molles ». Ne parlons même pas des sciences de « l’homme et de la société », telle la sociologie, qui ne sont que vaticinations idéologiques. La médecine a un autre statut : c’est d’abord, c’est en premier lieu, un art, c’est-à-dire des techniques de diagnostic et de thérapeutique, certes s’appuyant sur les connaissances en anatomie, physiologie, biologie, pharmacologie, mais fondées sur l’observation clinique du patient. C’est en sus, et ce n’est pas son moindre aspect, une communication véritable (4) fondée sur le contrat de soin entre le médecin et le patient. Le cumul et la confrontation des observations cliniques constitue un savoir, qui permet de formuler certaines hypothèses, soumises à débat.

Il est déjà difficile de se faire publier lorsque l’on est physicien. Il existe en effet un ensemble d’idées reçues, même en Physique, qui font qu’une prépublication peut être refusée par un comité de lecture. Imaginez un astrophysicien soumettant un article contestant l’hypothèse -au vrai, créationniste- du « grand boum » et suggérant que l’univers est infini et que ce qui s’éloigne de nous peut bien se rapprocher de quelque chose : cela horrifierait la rédaction et le papier serait rejeté, quelque rationnelles puissent être ses équations. Alors imaginez dans des disciplines où règne un flou horistique et une forte doxa nourrie d’idéologie ! Tout article un tant soit peu hérétique au dogme, même s’il est très étayé, sera ipso facto retoqué.

Tout s’embrouille : d’une part, les disciplines visées par l’expression « sciences molles » sont, bien plus que les sciences « dures », influençables par l’idéologie, la spéculation et les modes opératoires. D’autre part, les statistiques y règnent. Toutefois, quiconque a étudié d’un peu près la statistique, dans ses modes « descriptif » ou « probabiliste », sait qu’elles ne sont nullement explicatives. L’explication statistique n’existe pas. Pire, les statistiques sont, qu’on le veuille ou non, biaisées par les choix et les points de vue du statisticien ou de son commanditaire. Regardez celles de l’INSEE, par exemple, qu’il s’agisse du chômage ou de la MalVic-19. Cette manie des statistiques -qui ne font que traduire l’incompréhension de qu’on a des phénomènes et servir de prétexte à la mathémantique (5)- a induit en médecine comme en psychologie des procédés éthiquement discutables. Parmi ceux-là, les « études aléatoires »(6) : on choisit aléatoirement un groupe de patients-témoins à qui on donne un fichu médicament qui au mieux ne leur fera rien, au pire les laissera -ou les fera- mourir, et un groupe de patients cobayes à qui on administrera un traitement supposé approprié.

Vous voyez l’énorme problème éthique que pose cette manière de procéder : on sacrifie délibérément des gens en faisant taire ses scrupule -pour peu qu’on en ait ! – par un lancer de dés. C’est criminel. L’éthique d’Hippocrate, celle du médecin, est de soigner, pas de prendre ses patients pour des cobayes. En sus, les statistiques basées sur les « grosses données » sont nécessairement prétexte à manipulations (« biais »). Le Pr Raoult a très justement évoqué ces « biais » à propos de l’article du Lancet lors d’une émission avec Bercoff sur Sud-Radio. Eh bien, le Professeur a raison, l’étude est parfaitement pourrie : un de nos amis, professeur de statistique, a examiné l’étude en question (7) et a découvert tellement de bizarreries qu’il pense que ce n’est rien d’autre qu’un très gros bobard. Aucune indication quant aux sources des données, ressemblances étranges, malgré des dissemblances culturelles flagrantes, entre pays prétendument étudiés, choix biaisé de malades au stade hospitalier de la maladie etc. Rien de clinique, uniquement de la « Grosses donnés ».  Comment expliquer qu’elle ait été publiée, et (politiquement) à point nommé par Lancet ? Comment expliquer que le rédacteur en chef lui-même, Richard Horton, ait dû se fendre d’un article dans lequel il prend ses distances ?

The Lancet fait partie du groupe Reed Elsevier, réputé pour ses (coûteux) journaux scientifiques et … pour ses fortes marges financières. 2,8 milliards d’euros en chiffre d’affaires, pour plus de 1 milliard de bénéfices, donc plus de 35 % de marge. Tiens… tiens… Voilà une piste chaude qu’il convient de remonter, nous en reparlerons. Quoi qu’il en soit, l’article douteux a été immédiatement exploité par les politicards : cela ressemble bien à une manipulation, une très grosse manipulation. Je ne peux pas tirer des conclusions d’une enquête en cours, mais quelque chose me dit que nous allons retrouver sur notre route des énergumènes (mondialistes, fanas du vaccin…) bailleurs de fonds douteux bien connus.

C’est un monde ! Des potentats impliqués jusqu’aux oreilles dans des carambouilles avec le « Gros pharma » se servent de faux scientifiques comme paravents -quand ils ne les laissent pas décider à leur place. Et voilà qu’une publication-bobard vient les « justifier » dans leur félonie. C’est bel et bien d’une affaire criminelle qu’il s’agit. Je comprends que beaucoup de victimes entendent en appeler à la justice pour que ces énergumènes-là soient punis. Moi, je ne crois pas que se soit une bonne solution, d’une part parce que la justice n’est aucunement indépendante du pouvoir, d’autre part parce que la justice dit la loi mais ne doit pas la faire en menaçant ceux qui constitutionnellement prennent les décisions. Les naïfs seront d’accord sur ce point, mais ils croient en la vertu des élections pour congédier les fautifs : pure illusion, nous savons bien ce qu’il advient de la volonté exprimée par les citoyens ! Quel espoir nous reste-t-il ? La légitime violence populaire.

Sacha

(1) Bill Gates. Vautrin déteste parler « globish », c’est pourquoi il parle du « gros pharma » plutôt que du « big pharma », des « grosses données » plutôt que du « big data », « grand boum » au lieu de « big bang ». Il ne dit pas « coronavirus » mais « virus-couronne » et la maladie est appelée par lui « MalVic-19 » (Maladie du virus-couronne) ou tout simplement « grippe chinoise ». NdR.

(2) Sans surprise, dès que l’on enquête sérieusement sur tel ou tel « expert », « scientifique », « gouvernant » acteur de la gabegie actuelle, on finit par remonter aux industriels de la pharmacopée et, au-delà, aux mêmes fous mondialistes. Guillaume des Grilles réapparaît très souvent lors des investigations, seul ou par le biais de sa fondation ; il n’est pas le seul, la « société ouverte » du sieur Soros pointe son nez çà et là, par exemple. NdA.

(3) « Publish or perish » en globish. NdR.

(4) Rien à voir avec l’emploi vulgaire du mot communication qui ne recouvre que la réclame, l’influence et la propagande. NdA.

(5)  De mathématique et mantique (art de la divination), la mathémantique est un art de divination par les chiffres, de prédiction irrationnelle. Voilà qui est prisé par les potentats, puisque « gouverner c’est prévoir ». Naturellement, ces vaticinations ne se vérifient que rarement, et complètement par hasard.

(6) « Random studies » en globish. NdR.

(7) Nous avons payé très cher pour l’obtenir. NdR.

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