Décadence et Résistance

Et ron et ron petit Macaron… (air connu). Les mougeons ⁽¹⁾ au soleil, la mascarade scélérate de la pseudo pandémie continuant, la chambre d’enregistrement votant une loi criminelle osant associer l’éthique à ce qui n’est qu’une opération Mengele ⁽²⁾, le lot quotidien d’agressions commises par la racaille (salafiste ou non), et une ordure préparant un film à la gloire du criminel Traoré, tout va très bien Madame la Marquise. En fin d’année, les mougeons seront chômeurs, ou commenceront à danser devant le buffet parce que prix, impôts et taxes vont partir en fusée alors que le « pouvoirdacha » va se rétrécir comme l’ami Popol d’un diabétique. Mais même s’ils bêlent, les mougeons continueront à se laisser pigeonner, comme des moutons couards et puants qu’ils sont.

En faisant les courses -déguisé cette fois d’un masque jaune portant l’indication « IMPOSTURE »- j’ai constaté que l’on proposait, comme chaque fois que la « rentrée » se profile, des crayons, des classeurs, des cahiers, bref, tout un fourniment aujourd’hui coûteux que jadis nos communes de France fournissaient sur le budget municipal à tous les écoliers. L’école est toujours obligatoire, en réalité pas vraiment en ce qui concerne les rejetons de l’envahisseur, mais elle n’est plus du tout gratuite, et elle n’a plus rien de laïque, en cela qu’y sont instillées les idées « progressistes » type islamophilie, théories du genre, perversions LGBT etc. au détriment des savoirs qui sont simplement passés à la trappe. Au fond, l’école d’aujourd’hui est une fabrique de mougeons crétins d’une part, une garderie pour mômes salafistes et bébés Traoré d’autre part.

Voilà un indicateur de plus signalant la décadence, conjointement avec l’écrÉTINure inclusive, le féminisme extrémiste, la promotion des pervers, l’assassinat in utero de fœtus de huit mois, l’auto-flagellation… Je me lasserais d’écrire la liste des symptômes de la décadence plutôt que la société en pleine décomposition d’en fournir. L’école publique ne sert pratiquement plus à rien : elle a perdu sa raison d’être et la légitimité à bénéficier du premier budget du pays. Nous revenons aux âges barbares. Car qu’est-ce que le barbare ? C’est celui qui, incapable de Raison, agit sous l’empire du « ressenti », c’est-à-dire de l’émotion. Cette barbarie a commencé, selon moi, au XVIII^e Siècle, on la trouve en germes dans les délires de l’idiot de Genève, Rousseau.

Mais la phase de décadence de l’Occident a démarré bien plus tôt. Par « Occident », je désigne en fait une aire géoculturelle allant de San Francisco, côte ouest des États-Unis, aux frontières occidentales des pays du groupe de Visegrád. Donc là où sévissent le « progressisme » et l’hédonisme désaxé, où le crime d’hybris ⁽³⁾ est devenu très commun. Ce n’est donc pas tout l’Occident héritier de la Grèce, de Rome et du judéo-christianisme, qui est en décadence, mais seulement sa partie occidentale bourgeoise, là où les mégapoles sont peuplées de bobos hédonistes et pervers. Je pense que la Civilisation occidentale perdurera longtemps encore à l’est du Dniepr et du Donetz : paradoxalement, le communisme totalitaire semble avoir vacciné ces peuples contre la décadence bourgeoise. Qui vivra verra.

Concernant l’ouest de l’Occident, je suis d’accord avec Michel Onfray, cette zone civilisationnelle est en voie de subduction consécutivement à sa collision avec les plaques islamique et congoïde ⁽⁴⁾. Pas plus que l’on puisse s’opposer à la tectonique des plaques, l’on ne peut résister à la subduction civilisationnelle, l’Histoire le montre. Je disais plus haut que la décadence avait commencé bien avant le XVIII^e Siècle.

Notre ami Ange Gabriel, dit l’Imprécateur, avait publié un article illustré d’une courbe retraçant la vie d’une civilisation, de l’apparition à l’extinction. Reprenons cette courbe : le maximum positif (point de plus haut) se situe, ce me semble, aux XI^e et XII^e Siècles, lorsque la terre européenne se couvrit d’un « blanc manteau d’églises », marquant ainsi le triomphe du Christianisme. On parle alors de « Renaissance du XII^e ». On lisait -en douce- les savants et philosophes Grecs et Romains. Mais déjà chez nous, Aliénor épousait un Plantagenêt, préparant cent-seize ans de pagaille. Un siècle plus tard, le « docteur angélique », Thomas d’Aquin, introduisit des ferments de décomposition dans le dogme religieux qui aboutiront au désastre de Vatican II au XX^e Siècle et aux prosternations abjectes de Bergoglio en ce siècle.

La flèche rouge sur la courbe devrait être encore décalée à droite, car il me semble que la subduction civilisationnelle est nettement plus avancée que l’on pourrait croire. Nous sommes très près de la fin, les tragédies de la barbarie ont commencé, l’État a renoncé au régalien, la perversion est devenue « une sphère dont le centre est partout et la circonférence nulle part » comme l’a écrit Pascal de l’Infini. La disparition de l’ouest de l’Occident est inévitable.

Que faire ? Les patriotes ne sont qu’une poignée, éparpillés façon puzzle, il n’y a pas de Jehanne pour sauver les meubles, il n’y a même pas de combat des chefs puisqu’il n’y a pas de chefs mais seulement des mégalomanes égocentriques. L’élection n’est plus qu’un « piège à cons » et la démocratie a disparu. Et pourtant, l’honneur commande de RÉSISTER, de se battre sans esprit de recul pour une cause perdue mais noble, de mourir debout en faisant payer au vainqueur très cher sa victoire. De préserver ce qui peut être préservé, d’envoyer les produits de notre science, de nos arts, de notre littérature loin de ces terres condamnées, peut-être au pied de l’Oural. Ou de créer un Royaume d’Aragon résistant encore et toujours à l’envahisseur, pour servir de base à la reconquête dans quelques siècles.

Debout, paladins de France, au Maquis !

Sacha

⁽¹⁾ Les mougeons : hybrides 50% mouton, 50% pigeon, 100% Français. Le mougeon suit la propagande du Propaganda Staffel médiatique, la croit, et vote en conséquence dans un continuum allant de LR à l’extrême gôche LFI. Il porte en permanence un masque, ce qui indique sa couardise génétique.

⁽²⁾ Mengele (ou Docteur Josef Mengele) : médecin nazi des camps de la mort où il « expérimenta » sur de nombreux prisonniers. Toute coïncidence avec les ordures de la « bioéthique » n’est pas du tout fortuite !

⁽³⁾ L’hybris (prononcer « ubris ») est ce que le Chœur dans la tragédie Les Perses d’Eschyle reproche à Xerxès : une atteinte à l’ordre du monde. C’est un crime contre le Cosmos et contre l’Humanité qui en fait partie. Par exemple le « transhumanisme » qui veut fabriquer un « homme nouveau » relève de l’hybris. Tout énergumène qui entend « changer l’homme » suivant son propre délire est un ennemi du genre humain et doit être éliminé. Exemples contemporains de tels criminels : Bill Gates, Georges Soros. Mais il existe de ces fous une sacrée palanquée.

⁽⁴⁾ Congoïde : terme remplaçant « négroïde » désignant la race Noire.