Désobéir !

diablesse-et-angeline-aux-armesIl serait temps que l’énergumène de l’Élysée, pratiquant le globish et la xyloglosse(1) apprenne AUSSI à parler le Français. Axelle, Mélanie, Philippe, Thomas, n’ont pas quitté ce monde consécutivement à des « incivilités », sieur Macron, mais massacrés dans la commission de CRIMES par des racailles ennemies de notre Civilisation. L’incivilité, c’est par exemple lancer un rot ou une vesse en société, quant au crime il se décline de diverses manières selon le Code, notamment le meurtre et l’assassinat.

Les abus de langue sont pratiquement la norme dans le marais putride des politicards et des médiastres. Il s’agit à la fois de la pratique de l’excuse à l’égard des assassins, du plaidoyer pro domo des gouvernants, de l’occultation des origines des tueurs par les médias de propagande. Car toutes ces atrocités devenues quotidiennes témoignent d’une part de l’abandon des responsabilités régaliennes par un État qui par ailleurs nous pille et nous opprime par des « règlements » vexatoires, et d’autre part de la volonté inquiète de protéger des minorités tribales importées dans le cadre d’un plan ethnocidaire concocté depuis longtemps.

L’un des aspects de cette pratique idéologico-politique est bien entendu le refus de publier les noms des criminels. Ils finissent par sortir, grâce à la Réinformation, et de toute façon leur occultation signale à l’évidence l’origine ethnique et religieuse des criminels : l’occultation du nom révèle l’origine comme l’éclipse de Soleil révèle la couronne de l’astre. Seuls les imbéciles ne comprennent pas que le fait de cacher en réalité décèle.

Un autre exemple d’abus est illustré par les glapissements de la Traoré et de la bande de truands qui la soutiennent. La « passionaria » de la Grande Truanderie bénéficie de financements occultes pour semer son venin de haine de la France et des Blancs. Mais nous savons que des fonds proviennent des officines mondialistes, principalement celles de l’abominable Soros, et de financements municipaux au titre des « zassocs ». Car sans argent, on ne peut pas créer des réseaux de soutien actifs jusque dans le Ministère de l’Intérieur. L’argent des cagnottes Leetchi, quant à lui,  alimente le trésor de guerre de la tribu Traoré. On cherche à occulter le passé judiciaire des « jeunes » de cette tribu, dont certains ont un casier épais comme le Bottin. Et voilà que l’on nous révèle (enfin !) que le cher disparu, Adama, s’était rendu coupable de viol en prison. Quelle belle cause, qui ne peut mobiliser que des voyous, Insoumis-Dhimmis de Mélanchon inclus ! Dans un pays normal, tous ces énergumènes seraient emprisonnés pour troubles à l’ordre public et apologie du crime.

Mais en fait, ce ne sont pas les ennemis civilisationnels, ni ceux rêvant de changer ce qu’il reste de la pauvre France en Corée du Nord, qui inquiètent les malfaiteurs du « gouvernement ». Leur plus grande frousse est d’être démasqués. Pour cette raison, ils rêvent de contrôler Internet et ses « réseaux sociaux ». C’est ce que clame le soi-disant premier sinistre :  « L’anonymat sur les réseaux sociaux c’est le régime de Vichy », « quelque chose de choquant dont le gouvernement français va devoir s’emparer ».

 Ah qu’en termes galants… Mais le premier sinistre est un imbécile ! Oui, car s’il est vrai que la Résistance était contrainte d’utiliser des pseudonymes pour tromper la Gestapo, le pseudonyme sur Internet protège contre les abus policiers et juridiques d’un État pour lequel la liberté d’expression constitue un danger. Il protège aussi contre tous les sycophantes(2), ces ignobles mouchards présents dans tout groupe social, foisonnant aujourd’hui comme sous l’Occupation. Autrement dit, sans s’en rendre compte, Casse-Tête écrit l’équation MACRONIE = VICHY.

À vrai dire, je pense que la Macronie et tous les régimes socialistes qui l’ont précédée depuis 1969, ont fait bien plus de mal à notre Pays qu’un régime issu d’une honteuse défaite et intronisé par les deux Chambres issues du Front Populaire, mais qui n’a duré que quatre ans. Sous Vichy, nous étions asservis par les armes, sous la Ve finissante, nous sommes totalement asservis à l’Europe Maastrichtienne qui nous dicte nos lois, notre budget, notre économie et notre diplomatie. Alors, évoquer Vichy, c’est bien risqué, monsieur le premier sinistre. Il n’empêche : selon ce quidam, le « gouvernement » doit « s’emparer » de la question de l’anonymat. Là, le verbe colle merveilleusement avec les desseins totalitaires de la macronie ; vous voyez, quand on se laisse aller, les propos reflètent les idéaux. Mais tout le monde sait que l’État emmerdeur des Français sait parfaitement identifier ceux qui écrivent ou parlent contre lui : les hébergeurs, qui ont toutes les données des clients, sont priés de moucharder, et ceux qui ne camouflent pas leur adresse IP se font gauler. Ainsi va la « démocratie ».

« Démocratie »… Ce n’est pas le cas d’un pays dont le « gouvernement » a incarcéré tous les citoyens deux mois durant, détruisant l’économie, afin de protéger sa propre incapacité stratégique (et, très vraisemblablement, pour satisfaire à un plan occulte). Au risque de me répéter, je méprise tous les pleutres ayant servilement obéi à des oukases ridicules, car cela indique sûrement que la population actuelle du pays n’est plus ce Peuple de Bouvines, d’Orléans, de la bataille des Dunes, d’Austerlitz, de Verdun. Il n’est plus guère, je le crains, qu’un conglomérat de tantoufles boboïdes abruties de consommation et de propagande, incapables de risquer leur vie pour braver la tyrannie. La Liberté aurait-elle déserté le cœur des Français ? Préfèrent-ils vivre à genoux que mourir debout ? La gloutonnerie l’emporterait-elle sur l’honneur ? Quand je vois que par le monde des gens se soulèvent contre les « confinements » et que presque personne ne semble refuser de porter le masque (devenu inutile) ou au moins de le ridiculiser, je me prends à désespérer. Quoi ? Les arrière-arrière-petits-fils des Poilus, devenus hélas arrière-petits-fils des fuyards de 1940, n’ont plus aucun ressort ?

En réalité, je ne parle ici que des masses urbaines. La ville est criminogène, elle est aussi aphrosunogène(3). Le bon-sens et le courage sont hors des villes, là où les gens se frottent à la réalité. C’est sur ces citoyens ruraux qu’il faut compter : qu’ils désobéissent ! Ils le font déjà en loucedé, et cela me plaît, mais passons à l’étape suivante, la désobéissance ouverte face à un État qui ne sert plus à rien. DÉSOBÉISSONS !

obeir-c_est-trahir

Haro & Bastonnade !

Sacha

(1) Le globish est le sabir -ou plus exactement le pidgin- éructé par la caste mondialiste, mélange de patois des campus gauchistes Américains et de technoricain de la technocratie. Seuls les imbéciles croient que c’est un idiome supérieurement « savant ». Quant à la xyloglosse, c’est tout simplement et étymologiquement la langue-de-bois, proche de la novlangue décrite par Orwell.

(2) Les sycophantes dénonçaient, à Athènes, les voleurs de figues. Ce sont donc des mouchards, des « balances » comme on disait dans le Mitan. Le dénonciateur est un être d’extrême abjection, plus méprisable encore que le traître. Tout sycophante identifié doit subir les pires châtiments.

(3) Aprhosunogène : qui provoque la folie.

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