Cassons le Big Data !

gates-espionneBig Brother is watching you ! Très nombreux sont les lanceurs d’alerte dénonçant le virage des pseudo-démocraties (démocraties de façade) vers la tyrannie style 1984. On parle de monde orwellien dans la Réinfosphère (1), et c’est très exact.

Je conseille la lecture, sur le site developpez.com, d’un article consacré à l’emploi du Big data. Pour nous autres, l’affaire n’a rien de nouveau, nous savons que les puissances d’argent et leurs valets politiques ne cessent de traquer les habitants de cette terre, pour tous motifs, du flicage politique au mercantilisme le plus crasse. En ce moment, c’est le passeport-vaccin obligatoire inventé dans l’officine fasciste de Bill Gates, avec en sus la collecte obligatoire des données médicales des sujets bien trop patients, qui sont l’objet des vœux de tous les très riches criminels. Le peu de succès des applications de mouchardage type StopCovid est tout de même rassurant, car tous les gens ne sont pas naïfs et certains se doutent bien qu’il y a derrière cela de basses fumisteries. Il n’empêche : dès que vous disposez d’une connexion sur la toile, vous êtes épié et vos mouvements sont enregistrés.

Les initiés connaissent déjà le système dit « système de crédit social » inventé par les communistes Chinois, visant à fliquer chaque sujet et à le récompenser ou à le punir selon qu’il sera obéissant ou désobéissant selon les critères du Parti Communiste, bien entendu. On a beau nous dire qu’en France, on peut se croire à l’abri, des communistes en puissance travaillent aussi du binaire. C’est une évidence : le totalitarisme traverse la Grande Muraille, change un peu d’aspect, mais son ADN demeure inchangé.

Adoncques il existe bien entendu une version occidentale de ce maudit système : « Opérant dans l’ombre du marché en ligne, des entreprises de technologie spécialisées dont vous n’avez probablement jamais entendu parler exploitent de vastes trésors de données personnelles pour générer des « scores de surveillance » secrets qui sont censés prédire le comportement futur. Elles vendent leurs services de notation aux grandes entreprises de l’économie américaine. » Nous le savions. Mais voici des noms : « CoreLogic et TransUnion affirment que les scores qu’ils vendent aux propriétaires peuvent prédire si un locataire potentiel paiera le loyer à temps, sera en mesure « d’absorber les augmentations de loyer » ou va rompre un bail. Les grands employeurs utilisent HireVue, une entreprise qui génère un score « d’employabilité » sur les candidats en analysant « des dizaines de milliers de facteurs », y compris les expressions faciales et les intonations vocales d’une personne. D’autres employeurs utilisent le score de Cornerstone, qui tient compte des éléments comme le lieu de résidence d’un prospect d’emploi et du navigateur Web qu’il utilise pour juger de sa réussite dans un emploi. »

Ainsi les mercantis, les assureurs, le Big Pharma… bref, tout un tas de margoulins nous espionnent en permanence au moyen de « la collection effrénée (et pour la plupart du temps non réglementée) de tous les détails intimes de nos vies, accumulés à la nanoseconde, des smartphones aux voitures, des grille-pains aux jouets. Cette lance d’incendie de données, dont la plupart sont cédées volontairement, comprend nos données démographiques, nos revenus, nos caractéristiques faciales, le son de notre voix, notre emplacement précis, l’historique des achats, les conditions médicales, les informations génétiques, ce que nous recherchons sur Internet, les sites Web que nous visitons, lorsque nous lisons un e-mail, quelles applications nous utilisons et combien de temps nous les utilisons, et à quelle fréquence nous dormons, faisons de l’exercice, etc. »

Voilà pourquoi il faut absolument limiter les connexions, ne jamais posséder d’IPhone, ni d’objets connectés (2) (Alexia, montres-gadgets etc.), voiler vos webcams (3) et réduire au minimum les achats par commerce électronique, ne jamais utiliser le « cloud » pour stocker des données et révéler le moins possible sur la vie, ses goûts, ses activités. Sinon les machines infernales vous donneront un score qui ne vous sera jamais indiqué, irréversible et pouvant avoir des conséquences graves sur votre vie : « il est pratiquement impossible de savoir quand on est devenu la victime d’un score, et encore moins si un score est inexact, dépassé ou le produit d’un code biaisé ou discriminatoire. De plus, il n’y a pas d’appel possible. »

En fin de compte, il n’y a guère de différence avec le système Chink. La réduction a minima du trafic sur la toile et les ondes (de grâce, balancez Fesse-Bouc, le Jacassin etc.) ne suffit cependant pas. Il faut contre-attaquer, c’est-à-dire mettre en panne les programmes de Big Data. Les hackers commencent à bien connaître les algorithmes d’espionnage, aussi peut-on espérer inventer des virus informatiques, cette fois à des fins de salut public.

Mais on peut mieux faire : opposer aux algorithmes d’intelligence artificielle des contre-algorithmes d’inférence automatique destinés à duper les collecteurs de Big Data en leur faisant gober de gros mensonges. C’est l’un des objectifs de notre Camorra, et nous invitons tous les ingénieurs du domaine à travailler dans le même sens, afin de polluer le Big Data jusqu’à le rendre totalement inopérant. C’est certes une tâche ardue, qui demande beaucoup d’efforts, mais les premiers résultats de la recherche montrent que ce n’est pas impossible.

Nous sommes en guerre électronique ouverte contre le totalitarisme. Acte de salut public. Nous ne sommes pas tous des mougeons, que Diable !

L’Imprécateur

(1) Les nazis « progeSSistes » l’appellent « fachosphère » sans se rendre compte que les fascistes ce sont eux.

(2) À propos, si vous utilisez Microsoft de Bill Gates, désactivez Cortana !

(3) S’il ne vous est pas utile, annihilez aussi votre micro d’ordinateur.

 

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