SOYONS LES CHOUANS DE CE SIÈCLE MAUDIT !

de-charretteIl faut bien comprendre ce qu’il y a derrière les oukases totalitaires des tyrans de la macronie.

Premièrement : l’épidémie est un prétexte pour réaliser ce « monde d’après » voulu par les déments mondialistes à la solde d’une poignée de richissimes fous. Car cette « épidémie » concerne une maladie peu mortelle (cinq pour mille) et que l’on sait soigner. Sacrebleu ! Tout est exposé sans détour, et avec le cynisme propre à ceux qui veulent modeler l’humanité comme le potier modèle l’argile, par Klaus Schwab, le criminel patron et fondateur de Davos. Mais bon Dieu ! Lisez son bouquin : COVID-19: La Grande Réinitialisation ! Nous vous l’avons affirmé hier : ils savaient, et ils retournent l’aphorisme de Cocteau : « Puisque ces mystères me dépassent, feignons d’en être l’organisateur » en « Puisque nous avons organisé cette pagaille, feignons d’en être dépassés. » C’est exactement cela ! Ils connaissent leur virus, il savent parfaitement, ils le savaient depuis la création de cette machine de guerre contre les peuples, que le virus muterait. Et c’est au gré des mutations du virus qu’ils ont resserré l’étau de leur politique crapuleuse. L’insane Néron de l’Élysée, par son coup d’état du 12 juillet, vient d’en donner la preuve. Le virus fait faire la course à l’échalote aux « vaccins », mais surtout il la fait faire au peuple  vers la soumission totale. Ce n’est pas une affaire sanitaire, c’est une affaire politique.

Deuxièmement : Le prétexte étant trouvé, le résultat est le « monde d’après » qui est déjà là en instituant de manière tyrannique un transhumanisme totalitaire, où il existe déjà des sujets de seconde zone (il n’y a plus de citoyens), les Rebelles, et des sujets consommateurs, les Soumis de la « start-up nécheun ». Les soumis l’emportent en nombre, pour le moment : il n’y a eu que 20 000 protestataires contre le « passe sanitaire » alors que si nous étions encore un peuple libre, nous devrions être vingt millions dans les rues à rosser les sbires et à prendre l’Élysée.

Mais l’arithmétique, que la « démocratie » institutionnalise, n’est pas le socle de la vie sociale. Il existe une justice distributive supérieure que les Anciens expliquaient par « suum quique tribuere », rendre à chacun ce qui lui est dû. Tel est le sens de la Rébellion, cette nouvelle Résistance qui commence, encore à-peine perceptible, mais qui ne peut que croître avec le temps en raison directe de l’accentuation inévitable de la tyrannie. On nous vole, on nous refuse ce qui nous est dû.

Au fond… Sommes-nous réellement privés lorsque l’on nous interdit d’aller au spectacle ? Mis à part le Puy Du Fou, ce que l’on nous instille à grands coups de spectacles subventionnés idéologiquement corrects n’est que de la bouillie pour les gorets. Du Netflix « woke », du foot à la gomme, du Camélia Jordana . Alors, ce n’est pas une grande privation. Les restaurants ? Bah ! À part les « starteupeurs » qui se passent un coup de fil et déjeunent pour négocier des contrats juteux, le peuple n’a de toute façon pas les moyens de se payer des tables où une noisette de viande entourée de brocoli repose dans une assiette vaste comme la Place de la Concorde ! Les transports en commun sur de longues distances ? Et alors ? Qui dans le peuple a besoin de cela ? Réfléchissez-y ! Qui, dans le peuple, peut se payer des séjours aux Bahamas ou à l’Île Maurice ? C’est là le pire : en vous privant de ces plaisirs illusoires dont en réalité vous n’avez cure, les tyrans vous contraignent à l’obéissance injectée. Voilà un sacré paradoxe, non ?

Je dis à tous ceux qui refusent la soumission, ceux qui ont le courage de la Rébellion : construisons une contre-société. Cela peut paraître bête et ridicule, et pourtant ! Il y a encore parmi nous des gens qui savent cuisiner : mijotez les petits plats de notre cuisine française, invitez-vous les uns les autres. Organisez vos petits spectacles clandestins avec de vrais artistes, que Corneille, Racine, Molière, Ionesco, Giraudoux retrouvent le peuple ! Lisez et faites lire les grandes œuvres de notre Culture, et partagez-les, que l’on tienne salon dans les chaumières pour parler de l’Histoire de France, de la Philosophie, pour décortiquer les mensonges de la propagande télévisuelle. Que ceux qui croient en Dieu prient en cénacles loin des prêtres jureurs de monsieur François l’Antéchrist ! Que s’organisent des coopératives clandestines où le chaland trouvera mille fois mieux son bonheur que dans les hypermarchés à nous interdits ! Que l’artisan vive avec nous, par nous, et produise pour nous. Que la famille, la véritable telle que voulue par l’ordre naturel et spirituel se refonde et prospère.

Ce ne sont que des exemples : nous devons être les Chouans de ce siècle maudit. Ce que je suggère, c’est une nouvelle civilisation, car l’autre est morte. Surtout, ne nous enfermons pas dans la solitude : l’ennemi n’attend que cela. Nul doute que l’ennemi cherchera encore et toujours à nous subvertir, à nous vacciner, à nous entraîner dans le rôle satanique des « consommateur» déracinés et soumis. Enracinons-nous ! Nous devons opposer une fin de non-recevoir aux manigances de l’ennemi. Et nous défendre en organisant des milices, car l’ennemi est armé. Habituons-nous à pratiquer la loi du Talion améliorée : « pour un œil les deux yeux, pour une dent la mâchoire » !

La Rébellion, c’est cela : un combat commun de chaque instant contre la tyrannie du « nouveau monde » des multimilliardaires monopolistes et des imbéciles. Céder, c’est se perdre. Se rebeller, accepter le risque, c’est être Homme.

Macron, nous te déclarons la guerre !

Sacha

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