À bas la république !

de-charretteNous tombons -cette civilisation tombe- dans l’abîme. Depuis longtemps les plus conscients disaient « nous allons dans le mur ». Nous l’avons pulvérisé. Nous voilà précipités dans le gouffre. Nous voyons s’éteindre les ultimes étoiles : Didier Raoult, Éric Zemmour, la prochaine pourrait être Fabrice di Vizio ou tout autre ayant le courage de ne pas penser comme les maîtres sataniques et de le clamer haut et fort. Le totalitarisme achève son avènement avec le contrôle absolu des populations passives. Le « paβ » sanitaire ne semble que le début, mais la fusion des fichiers de diverses institutions avec ceux de Bercy, l’espionnage quotidien des connexions, la délation, existent depuis au moins deux décennies.

Tout désormais sera un théâtre d’ombres, de mensonges et de meurtres manipulé par des personnages diaboliques rendus fous par la fièvre de l’or. Le Mal s’installe à la faveur de l’abrutissement général, d’un lâche soulagement hédoniste. Que les riz-pain-sel chiffrent : 47,5 millions d’électeurs inscrits ; 1% de collabos : 475000 ; 1% de résistants : 475000. Restent 98%, 46,55 millions d’ahuris, de pétochards, d’attentistes qui dévalisent les rayons de papier hygiénique dès qu’un virus fait un pet et se précipitent sur la lancette de Pfizer. Si sur les 1% de résistants quelque 200 000 manifestent, ils ne sont que 0,42% des électeurs. Un pessimiste dira : « nous ne pouvons plus rien, les carottes sont cuites », un optimiste : « l’Histoire est faite par les minorités ».

Nous entrons dans le barnum des « pestilentielles », cette parodie de démocratie où le lauréat est déjà choisi, puisque ses complices déquillent toute opposition sérieuse, à l’image du CSA d’Ernotte-la-linotte. La constitution est violée, les institutions bafouées, puisque quelque « conseil supérieur », quelque « haute autorité », s’érige en tribunal et dicte sa loi aux patrons de l’audiovisuel complices du tyran. On évite ainsi le débat autour de sujets tabous telle l’immigration invasive et meurtrière, et l’on garde en face un gagnant obligé et une perdante obligée. Quelle comédie ! Quelle tragédie !

Ce pays pue jusqu’aux cieux et je me demande pourquoi le Tout-Puissant, incommodé de cette pestilence,  ne nous envoie pas le Déluge (les Plaies, nous les avons déjà).

Mais bref : peu importe quel guignol traîtreux et malfaisant sera « président » pour donner à la France le coup de grâce. La question n’est pas là. Je m’adresse aux deux-cent mille lucioles qui résistent encore dans la nuit : regardez l’agonie de ce pays, et songez que cinq « républiques » l’ont détruit. La république n’est pas « le meilleur de tous les régimes ici-bas », c’est même le pire, une « femme sans tête », disait Maurras, et la démocratie n’est pas « le pire des régimes à l’exception de tous les autres ». De la démocratie, j’ai déjà désigné le champ d’application, là où le délégué est sous la main de celui qui délègue : dans la commune, dans le canton, dans l’arrondissement. Certainement pas dans l’État, encore moins dans l’État rendu à ses stricts rôles régaliens (Défense, Sûreté, Diplomatie), là où le mandat ne saurait être électif (pour des raisons de nécessaire continuité de l’action). Donc inutile de croire qu’élire un « président » est un acte civique, ce n’est qu’un leurre puisque l’on ne fait que nommer qu’un pantin estampillé à Bruxelles, Berlin, Washington, agissant sur ordre des grands monopoles financiers.

La question est de se débarrasser de la république, rétablir un souverain ayant reçu l’onction populaire, fédérer les provinces, restaurer la démocratie là où elle doit s’exercer. Vaste programme !

Vous comprendrez, je l’espère, pourquoi nous devons considérer les péripéties des magouilles électorales, les complots ourdis en perspective de la « pestilentielle » comme une risible comédie, la cybernétique de la Nef des Fous. Et que nous devons nous appliquer à édifier une contre-société. Éteignons la télé, les pestilentielles, on s’en fout ! Nous avons mille fois mieux à faire !

Sacha

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