« À la septième fois les murailles tombèrent » (V. Hugo)
« À la septième dose, les vaccinés crevèrent » (S. Vautrin)
C’est reparti pour un nouvel épisode du feuilleton « Covifolies » sur les plateaux pas beaux du télévoyeurisme propagandiste. Je me marre : comme annoncé, le virus mutin mutant fait faire la course à l’échalote aux « vaccins » à base de soupe ARNm. Voilà qu’on annonce à son de (pauvres) cloches l’arrivée d’un terrrrrible fléau appelé « oMacron ». Mais il est déjà là depuis 2017, non ? Ah ! C’est « oMicron »… Excusez-moi, entre tous ces virus, je finis par confondre.
Évidemment, c’est une belle occasion pour oMacron de ramener cette épidéminette sur les ondes ; tant que ces abrutis de Français en parlerons et auront la trouille, ils n’écouteront pas le vilain Z démasquer la vérité et la campagne zélectorale redeviendra un tranquille barnum d’épiciers. Et puis voilà un prétexte pour faire des non-injectés des boucs-émissaires.
Au fond, c’est bien pratique pour gouverner comme un satrape : on fait du mal à tout le monde avec des mesures coercitives (confinement, masque) dont l’apogée est pour le moment le QR-code discriminatoire témoin d’une injection caduque de soupe ARNm complètement inefficace, mais imposées par le chantage. La fabrique du consentement selon Hitler, Staline, Davos et Cie.
Mais c’est là où la vilainie des croquants qui nous gouvernent atteint une admirable bassesse, car au sein de cette peuplade terrorisée apparaît un phénomène collectif, véritable psychose sociale, l’identification à l’oppresseur. En somme, parmi les gens matraqués, certains se font volontiers matraqueurs, histoire de compenser les humiliations endurées. Qu’ils disposent d’une once de pouvoir (« du Ministre à Monsieur le concierge ») ou qu’ils se sentent inconsciemment honteux d’être couards au point de s’être fait pfizériser, ces énergumènes tapent à leur tour sur les pelés, galeux, que le Propaganda Staffel leur désigne.
C’est ainsi que tout pouvoir tyrannique use de « kapos », opprimés devenus oppresseurs par copie, en somme, de leur bourreau, pour faire obéir un peuple dans les chaînes. Ils ne sont pas seulement des relais d’opinion, ils sont de véritables miliciens agissant, en dépit qu’ils en aient, au service du tyran. Quiconque vous insultera au prétexte que vous n’êtes pas vacciné appartient aux kapos de cet acabit. En conséquence, vous êtes parfaitement habilité à lui coller un bourre-pif bien senti. J’entends bien évidemment « bourre-pif » au sens physique et pragmatique du terme.
Cette identification à l’oppresseur est développée sur NTD, parmi les méfaits de la « psychiatrie noire », par la psy Mila Aleckovic Bataille (vers 29 :10 jusqu’à 34 :08, mais toute la vidéo est intéressante car elle traite des effets psychologiquement nocifs des politiques pratiquées au prétexte de la covid).
Bref, il y a péril en le demeure, non pas à cause d’un virussaillon, mais à cause de l’exploitation politique totalitaire qui est faite de la peur induite par le pouvoir et son Propaganda Staffel, par son « conseil de défense » qui craint de faire connaître ses délibérations, par ses juges, par ses flics, par ses kapos. Il est donc vital de se rebeller (les abrutis progressistes écriraient : « se rebieller ») et, franchement, de casser des gueules.
Sans oublier aussi de casser la gueule à ces vermines, de la droite « molle » jusqu’à l’extrême gauche, qui se déchaînent en haine, mensonges et coups bas contre le Z. Désormais, les « antifas » (parhyponoïan de vocable pour désigner les ordures gauchistes qui, au bout du compte, sont de vrais nazis) et les strêmes gôsh se démènent pour empêcher Zemmour de faire campagne. À Marseille, ils ont saccagé le restaurant où le chroniqueur a déjeuné. Voilà qui sert aussi bien oMacron que oMarine.
Éric ayant répondu au « doigt d’honneur » d’une grognasse gauchiasse par le même geste qu’elle lui avait adressé, les cocos de plateau en font les gorges chaudes. Pauvres minables, qui n’ont que l’opprobre à la gueule, faute d’avoir le courage d’engager la dispute politique ! Il est bien vrai, c’est démontré chaque jour, qu’ils n’ont pas d’arguments lorsqu’on leur colle le blaire dans le réel.
Juste une remarque : Éric aurait dû lui adresser en réponse un « bras d’honneur », c’eût été plus Français. Mais ne boudons pas notre plaisir. Et appliquons à nos ennemis, aux ennemis de la France, la loi du Talion améliorée : « pour un œil les deux yeux, pour une dent la mâchoire ». Et pas seulement avec des mots, mais bien avec avec les poings
Sacha
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !