Les plaies d’Égypte sont dépassées par tous les malheurs et toutes les menaces qui pèsent sur l’ouest-Occident. Le plan des mondialistes est en cours d’exécution, c’est visible, c’est audible à chaque déclaration des voyous de la macronie, des bandits de la commission européâstre, des comploteurs de Davos, de Gates et autres criminels contre l’humanité.
L’invasion de Lampedusa en est une manifestation évidente. Des centaines de barcasses ont surgi de l’horizon, déversant des milliers d’envahisseurs. L’on ne peut pas se tromper : les ONG les attendaient et avaient organisé la fête pour les accueillir. Ces organisations criminelles, les ONG, sont les relais du complot mondialiste visant la subversion totale de l’ouest-européen. Il y a plusieurs buts : l’attaque contre la civilisation européenne de l’ouest (enfin ! ce qu’il en reste !), l’abondance de main d’œuvre -en vérité sous-qualifiée- pour faire baisser le prix du travail, le métissage de la population européenne selon le programme ancien de Kalergi. Tout cela dans le contexte d’un effondrement des économies des pays européens suite à leur mise à la remorque de l’impérialisme US-democrat.
La preuve du complot est donnée par les manigances et réactions de la commission européâstre. La très criminelle et corrompue Von der Leyen a été claire : pour lutter contre l’immigration clandestine, le mieux selon elle est d’organiser des couloirs d’immigration. On fait ainsi comme la compagnie allemande Liebig avant la guerre mondiale seconde du nom : des panneaux indicateurs gratuits pour diriger les troupes d’invasion. L’on comprend pourquoi la commissaire politique en chef s’est précipitée à Lampedusa, avec sa complice italienne Meloni. Et l’on est peiné -mais pas étonné- de trouver dans le scénario une Marion Maréchal.
Tout cela conduit à s’interroger sur les partis dits « identitaires » ou « souverainistes » de l’europe occidentale. Tous couinent contre l’immigration échevelée. Mais aussi tous prétendent « changer » l’UE de l’intérieur, « en même temps » qu’ils se rallient sans condition à l’asservissement euro-atlantiste. Que l’on prenne Le Pen Marine ou Zemmour Éric, Dupont-Aignant Nicolas et une foultitude d’autres, tous excluent la sortie de l’euro, de l’europe, de l’Otan, tous soutiennent la compromission ruineuse et criminelle avec les ukronazis. Et tous attendent le l’UE, qui est partie prenante dans l’organisation de la déferlante migratoire, une solution contre le fléau qu’elle a elle-même appelé. Comment peut-on se prétendre « identitaire » et « souverainiste » lorsque l’on est complice d’un système qui broie les nations dans un conglomérat totalitaire ?
Le cas de Meloni est révélateur. Les médias italiens et européâstres l’on lancée, de manière paradoxale en la traitant de Mussolini en jupon. Le peuple italien a cru tout ce qu’elle racontait, Meloni a réalisé la fantomatique « union des droites » dont on rêve de Bardella à Phillipot, elle est devenue présidente du conseil. Et elle embrasse Von der Leyen comme du bon pain et se comporte en excellente élève des commissaires politiques européâstres.
Franchement, après avoir été douchés par l’épisode Salvini, nous étions plutôt réservés quant la suite donnée à cette élection. Le 28 décembre 1022, nous écrivions : « J’ai vu plus d’un d’entre nous nourrir des espoirs au vu des résultats des élections en Suède et en Italie. Mais c’est un trompe-l’œil, car si Suédois et Italiens ont voté contre l’invasion grand-remplaçiste, et même en Italie contre les intoxications idéologiques des pervers sexuels, si tout cela est bon, il n’en est pas moins vrai que ces pays restent européâstres et atlantistes. » La preuve, cette expérience du réel, nous en est donnée par ces évènements.
TOUS les partis dont les dirigeants sont invités à jacasser sur les plateaux des médias de grands chemins, de la Macronie à LFI en passant par le RN et Reconquête, sont des pièces de la machinerie du système visant à réaliser l’agenda des oligarques mondialistes. Un fantôme familier, mille fois évoqué voire invoqué, « l’union des droites », n’est en fait qu’un projet de combinazione à la Meloni. Ce serait, en cas de victoire, offrir aux comploteurs une solution de rechange à une macronie usée de pouvoir et de scandales, et le résultat serait le même que pour les Italiens : soumission et conformisme à l’agenda des comploteurs oligarques.
Le Général De Gaulle méprisait les partis, s’en méfiait et avait raison. On ne peut pas compter sur eux pour combattre l’anti-France, tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, ils prennent le parti de l’étranger. Les citoyens devraient prendre conscience de cela ; la seule issue, en dehors de l’insurrection violente qui n’est jamais à exclure, est un regroupement trans-partisan des volontés et des efforts pour se débarrasser du système, restaurer pour de vrai l’identité et la souveraineté (l’une n’allant pas sans l’autre) dans le désalignement. Il n’y a pas d’autre solution démocratique.
C’est pourquoi nous espérons, militons même, pour que dès les élections européennes, les voix se portent sur des candidats dont le projet politique comporte ces principes : sortie de l’UE, de l’euro, de l’Otan, souveraineté, désalignement. Nous pouvons faire cela, s’il demeure encore quelques lucioles dans les ténèbres. J’ajouterai, à titre personnel cette fois, que M. François Asselineau présente presque chaque semaine des arguments sensés et clairs, allant dans cette direction.
Sacha.
Share