Constatons : les européâstres couinent comme putois qu’on égorge parce que Viktor Orbán, exerçant la présidence tournante de l’UE, a rendu visite au Zézé nazillon de Kiev et à Vladimir Poutine, faisant ainsi une tentative méritoire de semer quelques graines de paix. Je ne sais pas ce que les responsables Hongrois et Russe se sont dit, nous en saurons sans doute davantage dans les jours qui viennent. En revanche, l’ex-président d’Ukraine, le fantoche des euro-atlantistes et des nazis, persiste à camper sur des positions intenables en raison de l’usure progressive de l’armée ukrainienne.
Car les commissaires apatrides de Bruxelles ne veulent pas entendre parler de paix. Il ont trop de bas intérêts, ils sont totalement inféodés aux globalo-fascistes et à l’État-profond d’Amérique pour avoir une compréhension du nouveau rapport des forces à l’échelle mondiale et adopter une attitude pragmatique. Leur soutien au fantoche de Kiev s’inscrit dans une stratégie globale de destruction des nations de la vieille Europe afin d’établir un système fédéral dont, faut-il le rappeler, le Général De Gaulle, avec raison, ne voulait pas et dont nous ne voulons pas non plus, pas plus que n’en veulent d’autres peuples captifs de l’UE.
Telle est la recette pour vendre la guerre et s’acheminer vers la ruine. Car la Russie a des soutiens et des alliés par le monde, et constitue la noix sur laquelle l’occident collectif finira par se casser les dents.
L’autre fait marquant est que dans cette Angleterre encore insuffisamment libérée de l’UE, le vieux parti Conservateur, celui d’un Johnson va-t-en-guerre, s’est effondré. Le retour des Travaillistes ne constitue certes pas une bonne nouvelle, car ils sont tout autant atlantistes que leurs adversaires séculaires, et qu’une administration gauchiste ne vaut rien pour un pays. Réjouissons-nous toutefois du succès du nouveau parti de Nigel Farage ! Ah ! SI nous avions un homme d’État comme Farage !
Dans ce contexte, que devient la malheureuse France ?
La semaine qui vient de s’écouler est cataclysmique. Le monde, médusé, a pu contempler le spectacle à la fois dramatique et grotesque des deux blocs de l’anti-France, l’extrême-centre macronique et l’ultra-gauche mélanchoniste, se livrer à une cuisine de sorcières, mélangeant dans le chaudron maléfique fanatiques et traîtres, repris de justice et fichiers S, antifas fascistes et escrolos pastèques, émigrationnistes de tout poil acoquinés aux islamistes, le tout ajouté à de la graisse de momies ressuscitées pour la cause, des Hollande, des Cohn-Bendit, des Strauss-Kahn et tutti quanti. Tambouille infâme ! C’est un retour au chaos de la IVe république, aux « apparentements terribles », chaos auquel le retour du Général mit fin en 1958. Tout cet embrouillamini néfaste, ce front crapulaire, ce florilège de mensonges et de compromissions, n’a qu’un but : « faire barrage ». Comme cela se fait depuis des lustres, compromettant davantage à chaque fois la survie de la France.
Je ne sais pas ce qu’il en sortira : « grande coalition », gouvernement de technocrates, cohabitation… Mais ce qui est sûr, c’est que la France est en grand danger et que se profile une dictature de la troïka européastre comme en a subi la Grèce, ou d’un ramassis gouvernemental totalitaire. N’entend-on pas rappeler par l’imbécile Sandrine R* qu’après tout, la confiscation de l’épargne des Français pourra bien servir à combler la dette cosmique provoquée par la politique infâme de l’anti-France. La kleptocratie n’est, après tout, qu’un aspect du totalitarisme.
C’est dire que demain chaque vote, ne représenterait-il qu’un quarante-millionième de volonté populaire, comptera. Ils font barrage ? Soyons les bombardiers de l’escadron 617 de la RAF, les « Briseurs de Barrages », soyons le bélier qui défonce la porte de la prison à ciel ouvert ! Nous autres, notre Camorra, ne voterons pas positivement pour un RN dont les abandons sont inacceptables, mais négativement contre le front crapulaire de l’anti-France, contre l’UE. Autrement dit : l’Histoire oppose le RN à l’anti-France, et nous mangeons notre chapeau, donc voterons RN.
Quoi qu’il en soit, il ne sortira rien de bon de tout ce micmac, même si les créateurs de Macron, les Frankenstein tels Attali, Minc, constatent qu’il faut désormais « s’occuper » de la créature qui leur échappe : la bourgeoisie et sa haute finance ont toujours plusieurs fers au feu et disposent d’autres chimères à imposer aux naïfs.
Donc, soyons prêts à toute éventualité : l’heure du face-à-face arrive, armons-nous et pas seulement de ruse politique.
Domine, salvam fac Galliam !
L’Imprécateur