Non, ne pas obéir !

Un malheur ne vient jamais seul : alors que tombaient les résultats lamentables scellant le sort de ce malheureux pays, on apprenait que les Grecs avaient donné aux technocrates de Bruxelles une combinazione européâstre propre à ruiner ce pays mais aussi à mettre le feu dans l’Europe du Sud.

Commençons par l’analyse de la catastrophe nationale. Désormais, le désastre est consommé ; les terra-neuvas, fascistes et racistes anti-blancs, détiennent l’ensemble des institutions : mairies, conseils généraux, conseils régionaux, Sénat, Assemblée, gouvernement, présidence. Une parfaite mainmise de l’appareil socio-fasciste sur le pays, dont ne peuvent rêver que les partis totalitaires. Et le parti socialiste EST un parti totalitaire, totalement excécrable.

Maintenant, il faut relativiser. L’impression de victoire totale des vauriens qui prétendent à l’autorité se dissipe lorsque l’on analyse finement les résultats non pas en fonction des votants (exprimés), mais en fonction du corps politique (base 100). Voici le tableau rectificatif, dressé par notre Camorra en fonction des résultats officiels publiés très discrètement par l’officine dite Ministère de l’Intérieur :

Voilà qui remet les pendules à l’heure : la victoire incontestable revient à l’abstention (44,59%). Facile, trop facile, de dire que les citoyens s’en fichent : en réalité, c’est parce qu’ils ne se font aucune illusion sur le système totalitaire instauré par la caste politique. En tous cas, pas plus les socialistes terra-neuvas (22,66% des voix du corps politique) que l’ensemble de la gauche de trahison nationale (28,26%) ne peuvent se targuer de légitimité : ils ne représentent qu’un tiers des voix potentielles du corps politique. Ils ont beau couiner : c’est ainsi, et n’ayant pas de légitimité, il n’y a pas de raison de leur obéir.

Le marais centriste ne représente que 2,68% des voix du corps politique, ce qui est très peu, mais ils serviront de force d’appoint à l’anti-France dans ses opérations de forfaiture annoncées, c’est à craindre. Quant à l’UMP, elle reçoit la punition de son double langage et de sa trahison avec seulement 21,02% des voix du corps politique. Pour elle, les carottes sont cuites, elle doit exploser, les plus intelligents de ses membres iront rejoindre les rangs de la droite nationale, les plus crétins les forces de l’anti-France européâstre et islamophile.

Le danger tient dans la répartition des sièges à l’Assemblée. Première observation : le système totalitaire a excellemment fonctionné, comme le montre ce tableau :

Faites un calcul simple : 258 députés socialistes sont élus avec 22,66 des voix du corps politique, ce qui fait 0,087% du corps politique pour élire 1 député socialiste. Pour un député islamo-fasciste ou punaise, il faut 0,099% de voix du corps politique. Et pour un député FN, 1,01%. Conclusion : il faut entre 10 et 11,5 fois plus de voix pour élire un député FN que pour élire un député de l’anti-France. Si c’est cela la démocratie, qu’on m’appelle Benoît XVI ! Il est évident que le système, avec les combinaziones, est fait pour l’oligarchie, pour la caste politique. Il est non moins évident que la démocratie implique nécessairement une représentation proportionnelle, alliée à une responsabilisation des élus, car il est, de plus, intolérable qu’aux élus il ne soit jamais demandé de rendre compte de leur délégation. Cela, avec, bien tendu, l’appel systématique à la procédure référendaire dès que les lois fondamentales sont en jeu.

Car telle est la seconde observation : les fourbes vont tenter de faire passer la forfaiture du vote des étrangers, qui implique une modification constitutionnelle, car elle va exactement à l’encontre du principe de citoyenneté, au moyen de la procédure du congrès parlementaire. Or l’inquiétude est de mise quand on regarde le tableau de la représentation totale de l’anti-France au congrès parlementaire :

Avec presque 2,87/5 l’anti-France pro-islamique a presque la majorité des 3/5. Il ne faut pas trop compter sur les centristes : mous, girouettes, traîtres, ils voteront dans le sens du vent et de la soupe. Une forfaiture est probable, et même presque sûre. On voit bien que les socialistes font tout pour rendre pérenne un pouvoir qu’ils ne détiennent que de 28,5% du corps politique, et qu’ils entendent bien demeurer inexpugnables. Pour cela, ils accomplissent pleinement les prévisions et la stratégie de l’officine fasciste Terra-Nova qui prônait un changement de peuple. N’oublions pas que le sieur Hollande est, entre autres, l’élu des 700 mosquées, et que les islamiques fournissent déjà, et par la forfaiture fourniront plus encore, une masse électorale. Jusqu’à ce qu’ils finissent par subvertir l’ensemble de la société.

Nous voyons bien que ce qui se passe est une catastrophe au moins comparable à la défaite de 1940 : la France est morte. Pourtant, il y a quelques raisons de jubiler : la Dinde du Poitou éliminée du perchoir, Bouérou puni de sa trahison. Des deux députés du Front National, il n’y a qu’à se réjouir.

Notamment, l’élection de Marion Maréchal-Le Pen est réjouissante. Les imbéciles ne la prennent pas au sérieux : pensez donc ! à 22 ans ! Mais je l’ai entendue parler, et ses propos de jeunesse reflètent infiniment plus de sagesse que ceux des pitres du système, qu’ils soient quadras, quinquas ou plus côtés à l’Argus. Elle pense France, elle pense jeunesse Française. Elle pense Avenir. Je sais bien qu’il y a beaucoup de citoyens, même au sein de notre Camorra, qui sont désespérés de la jeunesse. Il y a des raisons : celle-ci a été soumise au matraquage de la propagande anti-nationale tout au long de l’école et du lycée. Elle est avachie, désespérée, abrutie de consommation futile, inculte. Et pourtant, Marion nous montre que tout n’est peut-être pas perdu. Que son exemple fasse tâche d’huile, que nos jeunes gens osent prendre leur avenir en main, qu’ils comprennent qu’ils doivent se débarrasser du système oligarchique, européâstre, islamophile. Que la jeunesse s’apprête à combattre !

Le bilan de tout cela, pour nous, est que de toute façon nous ne pouvons pas obéir aux socialistes et à leurs maudits alliés qui ne représentent pas même 30% du corps politique. L’abstention les a désavoués. La ligne politique à suivre est claire, désormais :

1- Très légalement, contribuer à faire croître le rassemblement nationaliste pour reconquérir la maîtrise de notre destin. Maîtrise intérieure, en remettant l’arrogant allochtone islamiste et ses protecteurs oligarchiques au pas. Maîtrise extérieure, en interdisant aux eurocrates valets de la phynance apatride de faire la loi pour nous. Pour cela, la voie la plus logique est de rejoindre le Front National ou les partis nationalistes. Dans notre Camorra, plusieurs membres s’apprêtent à rejoindre le FN.

2- Très illégalement, mener les actions que commande le devoir : subversion et sédition. Mettre l’ennemi dans l’inquiétude, le rendre fou et incapable de gouverner. Cela s’appelle : RESISTANCE !

Cela ne sera pas facile, mais peut-être l’aggravation de la déconfiture à l’échelle de l’Europe du Sud pourrait-elle nous aider. Il faut espérer que la crise actuelle devienne rapidement une crise majeure et dévastatrice. L’eurocratie totalitaire a tort de se réjouir du résultat des élections grecques – suscitées ad hoc par l’eurocratie pour que le peuple Grec obéisse à ses lois infâmes – car le remède qu’elle propose est pire que le mal. C’est bien ce qu’a montré Nigel Farage dans son intervention du 13 juin à Strasbourg. Les pays européens -dont ceux que menace l’effondrement : Espagne, Portugal, Italie, France- vont devoir emprunter à 7% pour financer la Grèce à qui on va prêter à 3% et qui sera incapable de rembourses sa dette ! Voilà le genre de calcul ubuesque de l’eurocratie !

La nuit est sombre. Mais il ne faut pas souffler sur le tout petit quinquet vacillant de l’espoir, même s’il faut endurer du sang, de la sueur, des larmes, affronter la saison des trahisons et des prisons.

Raymond et Sacha.

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