Sarclons notre jardin !

Voyez-vous, les dignes adeptes du Chamelier Infernal ne se sentent plus pisser : ils font carrément sous eux. Depuis que leurs imâms les ont appelés à élire le Captain Wreck, ils multiplient les agressions antisémites (voir vos journaux). Normal : ils sont « chez eux chez nous » comme l’avait déclaré un grand traître aujourd’hui disparu, donc ils se croient autorisés à tuer du juif, et savent bien qu’ils rencontreront d’une part des idiots utiles affublés du keffieh pour leur trouver des circonstances atténuantes, voire les innocenter, d’autre part une « justice » portée au laxisme à leur endroit – mais, en revanche, prompte à accabler les patriotes.

Bien sûr, cela fait désordre dans la Cité Radieuse du Tout Socialisme, aussi le personnage qui se dit Ministre de l’Intérieur couine-t-il vertueusement qu’il veut « faire disparaître ces actes d’antisémitisme ». Evidemment, ça rassure le gogo ; en réalité, voilà le pupazzo pris dans une Valls-hésitation : comment ne pas trop prêter le flanc à l’accusation d’antisémitisme tout en ménageant la base électorale chamelière présente et future ? Comment faire semblant de défendre Shlomo sans en même temps taper sur Momo ? That’s the question.

En fait, il ne peut pas faire longtemps illusion avec son minois hypocrite. Aussi n’a-t-il rien trouvé de mieux que d’aller à l’inauguration d’une mosquée à Cergy, dans le Val d’Oise. Valdoiseuse ou pas, une mosquée est une mosquée, c’est-à-dire, selon les principes caravaniers, à la fois un lieu de culte, un lieu de prêche du djihad, et en même temps une « mairie » appliquant une loi complètement étrangère à nos lois fondamentales. Chaque mosquée édifiée est donc une insulte aux lois de la République, mais il est véridique que la caste politique s’en fiche comme de colin-tampon, puisque les pétroleurs moyen-orientaux la tiennent par les parties criminelles.

Donc notre mosquétaire a fait cette magnifique déclaration : « Notre responsabilité, c’est de progressivement construire un islam de France, un islam qui trouve pleinement ses racines dans notre pays ». Ah ? Parce que l’on VEUT implanter cette religion -la plus meurtrière du monde- dans notre Pays ? Ben oui ! C’est dans le programme de l’officine fasciste Terra Nova, qui sert de coran aux socialistes. C’est aussi dans les errements œcuménistes des bobos-cathos style Vatican II. C’est presque partout, sauf chez les patriotes ! En fait, la question de l’implantation de cette espèce vénéneuse n’est même plus à l’ordre du jour, puisqu’elle a depuis belle lurette colonisé nos jardins de banlieues. L’islamisme, c’est comme l’aconit, tout y est mortellement vénéneux : racines, tiges, feuilles, fleurs et graines. Pas besoin de dessin, il suffit d’écouter l’enregistrement de ce que le criminel Mes Rats disait aux flics : « Moi la mort, je l’aime comme vous vous aimez la vie ». C’est le mantra de tous les djihadistes.

En lisant ce que raconte le sinistre de l’intérieur, j’ai l’impression d’entendre Chirac ou son complice Galouzeau nous parler de la « religion d’amour, de tolérance et de paix ! » Droite ou gauche, la caste politique est bien la même. Il faut être très con – ou très menteur, ou les deux – pour même évoquer un « islam de France », car la caractéristique de ce poison est de se moquer des frontières des nations : c’est un totalitarisme à vocation planétaire, non seulement incapable d’aggiornamento, mais en pleine régression (regressus ad uterum). Au fond, ce que nous promettent les barbus et les idiots utiles à leur solde, c’est le retour aux âges obscurs.

Alors, écoute-nous bien, petit grain de Valls : notre devoir à nous autres, jardiniers, est d’éradiquer la mauvaise herbe de notre jardin. Et pas seulement elle, mais aussi les symbiontes qui lui permettent de coloniser nos plates-bandes. Et nous allons nous y appliquer, crois-moi.

De toute façon, aucune religion ne vaut rien, les monothéismes encore moins, et l’islam est pour le moment la pire. Aucune religion ne peut être au principe des contrats sociaux. Là, je cite Vautrin ; j’espère qu’il consentira à en dire davantage lorsqu’il sera sorti de sa stupeur consécutive à la catastrophe politique des deux derniers mois. (A moins qu’il n’ait déjà constitué un maquis, ou qu’il ne s’entraîne avec les Spetznatz en Russie : qui sait ?)

Raymond

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