Faute d’avoir traité les questions subrepticement posées hier par notre agent Alfred, il semble que les gesticulations de Soliveau II n’aient même pas convaincu la totalité des naïfs ayant voté pour lui, si j’en crois un sondage en ligne du Parisien lancé à 19 h 50. Ce matin, j’y suis allé de mon vote, surtout pour voir les résultats, car pour tout vous dire, je n’ai pas de temps à perdre à regarder un pâle sire débiter des platitudes consternantes. Eh bien, 79,4% des gens ayant répondu au sondage n’ont pas été convaincus par les arguties du Captain Wreck. Diantre et peste ! Voilà ce que l’on appelle un « non-évènement », si je ne m’abuse, docteur ?
En réalité, le fait important du week-end s’est déroulé à Castres, dans la nuit de vendredi à samedi. Il y a la fête (« la teuf » comme on dit maintenant), et un groupe d’individus que l’AFP qualifie de « jeunes » – prononcer « djeunes »- et que, probablement, nos amis de Riposte Laïque, suivant en cela ironiquement l’e-Monde, auraient baptisés tous « Vladimir », importunent une jeune fille. Rien que de très normal, bien-penseront certains, surtout, n’est-ce pas, si elle est belle, Blanche et pas voilée. Mais enfin, il y a encore des citoyens ayant le sens de l’honneur et de la chevalerie. Un groupe de paras du 8e RPIMA s’avise donc de protéger la jeune fille. Mal leur en prend : Vladimir, avec Vladimir et son cousin Vladimir et pas mal de racailles de leur espèce commencent à tomber à bras raccourcis sur les paras -désarmés, cela va de soi- en les traitant de « sales militaires » et « sales Français ». S’ensuit une mêlée générale, chaque camp ayant reçu des renforts, dispersée par la police. Un parachutiste perd un œil dans l’échauffourée.
Il y a des imbéciles -et des traîtres- pour nier l’existence du racisme anti-blanc : voici une preuve de plus de son existence. Il y a un Ministre de l’Intérieur pour oser affirmer qu’il « n’y a pas d’ennemi intérieur », alors que presque chaque jour nous recevons la preuve que cet ennemi est désormais franchement passé à l’attaque. La bien-pensance se tait : ne pas faire de vagues, des fois que le citoyen endormi et assujetti s’éveillerait. Je suis même prêt à parier que quelque part, dans les ministères du sieur Zayrault, on prépare des consignes draconiennes pour empêcher les militaires de sortir se détendre dans les « boîtes » ou les « fêtes », et même qu’on va ordonner une enquête afin de punir les paras du 8e RPIMA pour avoir eu une attitude qui devrait être spontanément celle de tout citoyen responsable. Avec ce pouvoir de lèche-babouches, il faut s’attendre à tout et à n’importe quoi.
Je souhaite que l’exemple des paras soit suivi, qu’au lieu de faire semblant de ne rien voir lorsque « Vladimir » commet une agression, qu’au lieu de rester tremblants et foireux dans leurs culottes de dhimmis, les citoyens lui flanquent une bonne trempe. Il est même souhaitable, puisque la Police est muselée dans ce genre d’affaire, et donc ne protège plus les citoyens, que s’organisent des groupes d’auto-défense civique. L’État ayant failli dans un de ses rôles régaliens – en fait, comme l’a montré Vautrin, il faillit dans tous – il est normal que les citoyens s’y substituent, même au prix de l’illégalité. Car, que le pouvoir et la bien-pensance hargneuse le veuillent ou non, nous sommes bel et bien en état de guerre civile ouverte.
C’est contre l’intoxication des esprits que s’est élevé avec raison Richard Millet : son Eloge Littéraire d’Anders Breivik n’est pas du tout, quoi qu’en disent les Ben Djennoun ou BH-Deville et toute la meute hurlante des vendus, une apologie du crime. C’est simplement une étude littéraire qui fait réfléchir. Pourquoi une telle tuerie, comment un homme décidé, agissant seul, et reconnu sain d’esprit par les jurés qui l’ont condamné, en arrive-t-il à une telle extrémité ? La réponse est simple : à cause du négationnisme des castes dirigeantes et des médias qui, tout en faisant croire que le barbare est une « chance » pour les pays qu’il envahit, interdit toute libre-expression à propos d’une souffrance réelle des autochtones. Cela finit par se traduire en révolte, ciblée contre les idéologues politiques et leurs héritiers. Il est prévisible qu’ailleurs surgiront d’autres Breivik, agissant seuls, indétectables, et tragiquement efficaces. Ou plutôt inefficace : la solution n’est pas dans le romantisme et la pratique de l’assassinat considéré comme l’un des Beaux-Arts, il est, faute d’alternative, dans l’insurrection populaire.
Article 35 de la déclaration du 24 juin 1793 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »
Raymond.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !