Après la ratification à la sauvette parlementaire du traité de Lisbonne, une nouvelle forfaiture se prépare : la ratification parlementaire, tout aussi à la sauvette, du traité budgétaire européen. De quoi s’agit-il-il ? Rien de moins que de priver le pouvoir législatif Français de sa fonction législative. Jadis, le Parlement, sur proposition du Gouvernement, pouvait décider du budget de la Nation. L’entité bruxelloise apatride pouvait a posteriori examiner, grogner, blâmer, infliger des amendes, mais peu importe : la souveraineté était protégée.
Ce ne sera plus le cas ! Désormais, c’est l’entité bureaucratique bruxelloise qui décidera avant le Parlement de la recevabilité du budget de la France ! Autrement dit : la caste politique s’apprête à abandonner un nouveau pan de la souveraineté nationale.
Entendons-nous bien : ce n’est pas contre la nécessaire rigueur budgétaire que je proteste. Il est normal qu’un pays ait un budget équilibré : c’était la politique du Général, et le gaspillage étatique, pour acheter la paix sociale au moyen d’emprunts et d’impôts a trop longtemps et trop lourdement pesé sur les budgets : maintenant, c’est la Dette dans toute son horreur et ses funestes conséquences. Un gouvernement responsable – exactement le contraire du nôtre – pouvait bien dégraisser drastiquement la dépense étatique tout seul. Mais ce sont des couards, et ils préfèrent s’abriter sous le parapluie européâstre. De plus, leur doctrine est tout de même la dépense publique exponentiellement grossie. Donc ils sont en conflit avec eux-mêmes.
La procédure choisie est bel et bien une forfaiture. Il s’agit d’une décision très grave, minant les fondements de la Nation. A tout le moins, il fallait en appeler à la consultation populaire par voie de référendum, comme l’ont fait Mitterrand pour Maastricht, Chirac pour le projet de constitution européenne. Morfalou, auteur du présent traité, et Soliveau, qui malgré ses rodomontades de campagne n’a fait que chausser les bottes européâstres de son prédécesseur, ont peur du refus populaire. On va donc procéder en catimini, avec un parlement à la botte. N’oublions pas : c’est une modification constitutionnelle qui s’ourdit, un complot contre la Nation. On demande au Parlement – dont on se demande à quoi il sert d’autre qu’à d’irresponsables trahisons – de se transformer en chambre de proposition, l’entité bureaucratique apatride bruxelloise disposant, et d’enregistrement. Le contraire de toute démocratie, même stupidement dite « représentative ».
Grave, très grave. En d’autres termes, on appelle cela : une trahison. Certes, à leur grand dam, les traîtres socialistes devront faire appel, pour obtenir une majorité des 3/5e, aux voix de la droite européâstre, celle de Morfalou. On aura ainsi confirmation qu’au-delà des différences de style, les deux partis, le PS et l’UMP, sont bien l’unique parti de la trahison nationale : l’UMPS. Bien sûr, les écolos menacent de voter contre le traité, de même l’aile « gauche » du PS est-elle disposée à voter contre ou à s’abstenir, les trois députés FN voteront contre, le collectif de la Droite Populaire votera contre, mais l’écrasante majorité des irresponsables députés PS et UMP voteront pour. Zayrault fait semblant d’être inquiet, et bêlant à la manière d’un curaillon, prétend rassembler « les brebis égarées » dans le troupeau de la trahison. De toute façon, les carottes sont cuites, un crime se prépare, un crime aura lieu. Cette collusion des députés UMP et PS laisse mal augurer d’un éventuel rejet du projet de droit de vote des allochtones, l’an prochain !
Et vous voudriez, messieurs les parlementaires, que l’on puisse vous faire crédit et respecter le parlement qui porte bien ses noms de « Chambres », c’est-à-dire de lieux où l’on se couche ? Eh bien, le devoir du citoyen, aujourd’hui, est d’être anti-parlementaire et de revendiquer désormais la démocratie directe. Car il n’est pas acceptable que l’étranger, ou une technocratie apatride au service des financiers, fasse la loi chez nous. Vous vous apprêtez à trahir, vous trahirez, mais méfiez-vous : un beau jour, nous pourrions bien être vos juges, et vous condamner lourdement pour avoir asservi notre peuple à l’entité européâstres, pour sauver à tout prix cette lamentable incongruité, cette monnaie de singe qu’on appelle « euro ».
Le Peuple devrait être dans la rue, prendre l’Elysée, Matignon, le Palais Bourbon et celui du Luxembourg, défenestrer les traîtres, mais abruti devant ses écrans plats, et encore gavé pour quelque temps, il ne bronche pas, comme s’il ne comprenait pas qu’on l’asservit à l’étranger. Il se contente de baisser la cote de popularité de Soliveau dans les sondages : le bel exploit ! Mais, peuple de France, tu devras quelque jour sortir de cette torpeur létale, car une fois le crime commis, citoyens, le devoir sera celui d’insurrection. Tu y seras poussé par la misère ! Tu seras obligé de ne plus obéir à la caste politicarde, d’affamer l’état européâstre, de reconquérir la souveraineté nationale. N’attendez pas, citoyens, d’être nus et asservis pour vous soulever, car vous paieriez alors votre inconséquence au prix fort !
Raymond.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !