#Geonpi : les Bercy-Pirates veulent niquer les Pigeons en canard

Donc la mobilisation spontanée des entrepreneurs a été suffisante pour inquiéter les voyous du gouvernement. Aussi Moscou-Vichy a-t-il « reçu » une délégation à laquelle il a fait des promesses socialistes, donc dilatoires,  en martelant, en bon totalitaire, qu’ « Il est hors de question » de renoncer à aligner la fiscalité du capital sur celle du travail et, en bon faux cul, que ce le gouvernement voulait taxer, «c’est la rente pas le risque». Mais s’attaquer à la rente, c’est décourager le risque : raisonnement trop fort pour un cerveau de kleptomane socialiste !

En sus, une leçon de morale bien fasciste en accusant les Pigeons de donner une mauvaise image de la France à l’étranger en faisant croire que le gouvernement était contre les entrepreneurs. Or c’est la pure vérité : les socialistes haïssent les entreprises et font tout pour les faire capoter. Comme ils haïssent le Peuple qu’ils pressurent mais qui leur fait peur. Quant à l’image de la France à l’étranger, c’est le ridicule qui domine, grâce à nos pantins gouvernementaux.

En tous cas, les Geonpi ne semblent pas vouloir désarmer et veulent le retrait pur et simple de la loi scélérate. Même le MEDEF de Parizot, peu suspect de défiance envers les Bercy-Pirates, soutient (timidement) les contestataires. A suivre…

Le Figaro : « Le gouvernement a consenti des aménagements à la marge aux patrons de start-up inquiets de voir les plus-values de cession taxées comme les revenus.
Reculer… mais pas trop pour ne pas donner l’impression de perdre la face! Les espoirs des patrons de voir le gouvernement abandonner sa proposition de taxer les cessions d’entreprise au même niveau que les revenus ont été douchés, jeudi après-midi, par le ministre de l’Économie. «Il est hors de question» de renoncer à aligner la fiscalité du capital sur celle du travail, a martelé Pierre Moscovici en fin de journée précisant cependant que ce que le gouvernement voulait taxer, «c’est la rente pas le risque».

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26,76% de naïfs, d’extrémistes de gauches et d’imbéciles ont eu grand tort de donner une majorité aux socialistes, dans une élection biaisée. L’après-socialisme est à l’ordre du jour, et c’est une nécessité vitale.

Raymond.

 

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