Ils ont les miquettes !

L’excroissance cancéro-gauchiste du Vénézuela a réussi à persuader le conseil électoral de le déclarer vainqueur par 54 pour cent, alors que l’évaluation au sortir du vote donnait son adversaire, Capriles, gagnant par 51,3% (pour les hispanophones, lire ici). En vertu de quoi, pour éviter les débordements d’enthousiasme, sans aucune doute, le ridicule tyran Chavez a fait « défiler » ses blindées de nuit dans les rues. Il est bien regrettable que les services secrets occidentaux aient perdu l’habitude d’éliminer ce genre de chancre. Enfin, espérons que le crabe débarrassera bientôt les Vénézueliens du triste personnage.

Remarquez, côté Baraque-aux-Bahamas, ce n’est pas mieux : roulé dans la farine par son adversaire, Romney, le chéri américain de nos merdiats semble devancé dans les sondages par son adversaire. Voilà de quoi désespérer nos crétins de bobos pour qui Barrack Hussein est un nouveau Jésus prêt à marcher sur l’eau (trouble). Fort opportunément, si l’on s’en réfère à la délectation avec laquelle France-Culture a rendu compte de l’affaire dans son édition de vendredi dernier, le chiffre du chômage aux USA aurait baissé en-dessous de la barre « psychologique » des 8%. Alléluia ! Chante le choeur des bobos bêlants. Tout de même, on se demande comment l’embauche de 114 000 personnes, dans cet immense et très peuplé pays, a pu opérer ce miracle arithmétique. A moins que les sbires obamesques de la Maison Blanche aient un tantinet manipulé les données, chose somme toute fort vraisemblable. Des forces obscures gaucho-islamiques ont intérêt à conserver le crétin au pouvoir, l’Occident a tout intérêt, au contraire, à le voir renvoyé à ses chers clients.

Chez nous, c’est les grosses miquettes, côté Soliveau et Zayrault. Décidément, ces brigands de socialistes sont en chute libre dans les sondages : 42% d’opinions positives contre 49% d’opinions négatives pour Soliveau le Second, 40% de contents contre 45% de mécontents côté Zayrault (voir ici). Les chiffres ne sont pas les mêmes que dans les sondages précédents (mystère de la technique sondâgeuse), mais la chute se confirme. Tant mieux ! Mais il aurait mieux valu, tout de même, ne pas les porter au pouvoir dont ils abusent.

En tous cas, c’est la déprime. La révolte des #Geonpi ne laisse pas de les inquiéter, aussi on-ils fait monter en ligne l’un de leurs médiocres, le ministre de-je-ne-sais-quel-redressement, Robespierre de pacotille et Terra-Neuvien par concubinage, le sieur Montambour, pour essayer doctement de « démonter » qu’on aurait affaire à des « pigeons exagérateurs« . La gôche sait fabriquer des barbarisme linguistiques, c’est sûr ! Mais Montambour n’a pu que raconter les mêmes mensonges que Moscou-Vichy. Bref, on sent que les vauriens sont déstabilisés par cette fronde. Pas étonnant : depuis leur arrivée au pouvoir total, ils multiplient les conneries et trahisons. Il ne se passe pas un jour sans que soit décrétée une sagouinerie inédite ou une nouvelle extorsion fiscale.

A force d’à force, on se dit à l’Elysée-Matignon et dans les officines fascistes genre Terra Nova et Tartes sur câble que ça sent le roussi. Il faut gagner du temps, en espérant redresser la situation. Mais hélas, pour redresser la situation, il faudrait effectuer un virage à 180 degrés. Impensable pour ces cerveaux mous et atrophiés. Alors, on s’est dit qu’on allait reporter à 2015 des élections cantonales et régionales. Prétexte : en 2014, il y aura aussi les élections municipales, les uropéennes et les sénatoriales : houlà ! Ça ferait trop pour le peuple !

Argument bien dans la ligne spécieuse des crétins patentés : les uropéennes, c’est en général 60% d’abstentions, les sénatoriales ne concernent que les grands électeurs. Ah ! La vraie raison est que les brigands veulent se donner du temps pour manipuler, jeter de la poudre aux yeux du peuple qui commence à crever, conclure de honteux traités d’alliance avec des glaireux. Soliveau et ses sbires ne veulent pas risquer cinq déculottées la même année ! La stratégie des gauchistes, par le monde, est toujours la même !

En fait, c’est par les Municipales que les Patriotes doivent commencer : c’est la base de la reconquête du pouvoir par le Peuple. Ne l’oublions pas ! Et les sénatoriales, compte tenu des exactions socialistes, pourraient bien ramener une majorité de droite au Sénat et ruiner les espérances anti-françaises des socialistes. Achtung ! Oui, ils ont les miquettes, et m’est avis qu’ils se sentent installés sur des sièges éjectables. A quand le « Printemps Français » ?

Raymond.

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