Un pas de plus dans l’ignominie

Trop, c’est trop ! Le misérable Soliveau II, bien dans la ligne de son prédécesseur Soliveau Premier, se confit en repentance. Maintenant, c’est l’affaire du 17 octobre 1961 qui est érigée en date de repentir et de fustigation nationaux. Inadmissible !

On sait la légende : ce 17 octobre, 300 algériens auraient été massacrés par les policiers, sur ordre de Papon. C’est du moins ce que colportent depuis le début les propagandistes de gauche, notamment les communistes, appuyés par les terroristes du FLN et malheureusement relayés par certains traîtres de la droite dhimmi. Or la vérité semble être tout autre : sept cadavres à la Morgue, pas un de plus, dont deux du fait des forces de l’ordre, les cinq autres ayant probablement été victimes de règlements de comptes entre ruffians mal embouchés de la rébellion algérienne.

Soliveau a statué sur un mensonge, et a décidé de l’officialiser. C’est ainsi que ces jacobins de malheur écrivent l’Histoire. Ils ne sont même plus capables de reconnaître la vérité, tellement ils la travestissent. Moi, j’appelle cela une trahison. Une de plus à inscrire en charge contre ces maudits.

Soliveau, et vous traîtres de tous poils, ignobles sorciers des officines fascistes qui en sous-main, dans vos chaudrons infernaux, concoctez une politique de délitement de la Nation, sachez-le : vos conneries, vos infâmies, vos trahisons, le Peuple ne les prend pas à son compte. De la repentance, nous n’avons rien à faire. En 1830, c’est pour mettre fin aux actes de piratage barbaresques que l’on a débarqué à Sidi-Ferruch. Cela nous a donné un territoire dont au départ l’on ne savait que faire, mais a conduit à abolir l’esclavage sur cette rive de la Méditerranée. Cela a fait naître un pays avec ses routes, ses écoles, ses hôpitaux. Un pays que le FLN a réduit en ruines.

Il en va d’ailleurs ainsi de tous les pays conquis au XIXe siècle. La paix, le recul de l’épidémie, le recul des disettes ont accompagné la colonisation. Il suffit de voir ensuite comment ça a tourné au « soleil des indépendances » pour constater que la colonisation avait été une oeuvre civilisatrice. Alors que l’on cesse de nous bassiner avec le repentir : NON, NOUS NE NOUS REPENTIRONS PAS !

De quelque côté que l’on prenne l’affaire, ce gouvernement de rencontre n’a aucune légitimité pour parler en notre nom. Les socialistes sont minoritaires : même pas 39% du corps électoral pour Soliveau, même pas 28% pour les gauchistes à l’Assemblée, ces Juda-là règnent par un déni de démocratie et vont chercher leur inspiration auprès des pires officines fascistes et de la bureaucratie non élue bruxelloise. Alors ce que peut raconter Soliveau le Second avant d’aller se prosterner devant le dictateur  algérien, ce que ressassent et amplifient jusqu’à la nausée les menteurs patentés des médias, c’est de la merde de putois. Non, sire Soliveau, vous n’êtes pas NOTRE président, et vos gesticulations ne nous concernent pas.

Votre politique infâme, votre parti-pris de tondeur d’oeufs, votre préférence accordée aux illégaux dont vous espérez que prochainement ils remplaceront les français autochtones sont autant d’actes de trahison qui rapprochent l’heure de votre châtiment. Un jour, messieurs les traîtres, nous serons vos juges. N’attendez aucune pitié. Car il y aura un printemps français après l’hiver socialiste, soyez-en sûrs !

Cela dit, nous avons fait une belle connerie en ayant des colonies : l’oeuvre civilisatrice nous a coûté infiniment plus qu’elle nous a rapporté, et nous sommes payés d’ingratitude. Nous aurions mieux fait de rester chez nous à travailler à la prospérité de notre pays et laisser les peuplades de là-bas se massacrer entre elles. Vous voyez, bande de gueux : moi aussi je désapprouve la colonisation, mais pour des raisons opposées aux vôtres.

Raymond.

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