Neutralité ? Mon c.. !


Dès qu’un socialiste devient ministre de l’Éducation Nationale, c’est la catastrophe. Pas que les ministres de drwâte aient été plus brillants, puisque la fausse droite est complètement intoxiquée par la gauche, mais au moins faisaient-ils moins d’idéologie. Avec les gauchistes, c’est l’idéologie ostentatoire et sans complexes.

Évidemment, puisque ces idiots tyranniques s’imaginent qu’ils représentent le Bien, alors qu’ils sont en vérité des fossiles totalitaires. Le sieur Peillon illustre bien le cas. Il ne dirige pas « les hussards noirs de la République », car il y a belle lurette que la masse de manœuvre qu’il actionne n’est guère mieux qu’un ramassis de fonctionnaires illettrés, chargés de façonner des crétins à la demande et à l’image des « progressistes » décadents.

Le personnage s’est permis de tancer vertement Éric De Lebarre, secrétaire général de l’enseignement catholique, pour avoir adressé une circulaire aux directeurs des établissements privés, le 12 décembre dernier. Que disait cet homme ? Dans le contexte de forcing que fait la gauche sur « le mariage pour tous », il faisait simplement des recommandations à ceux qui « sont souvent interrogés ou interpellés » par les parents, élèves ou enseignants sur la question du projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux couples homosexuels. Il rappelait un principe -indiscutable, je pense, mais vilipendé par la loxodoxie (1) gauchiste- selon lequel « la reconnaissance de la différence des sexes et l’accès à ses origines (sont) des droits essentiels pour permettre à chaque jeune de construire son identité et sa personnalité ». Il appellait ensuite, malgré l’opposition de l’Église projet de loi gouvernemental, « au respect des personnes accueillies dans nos établissements, quelles que soient leurs histoires familiales ». Et, usant d’un droit constitutionnellement reconnu (pour combien de temps encore ?), il estimait que  « chaque école, collège ou lycée peut prendre les initiatives qui lui paraissent localement les plus adaptées pour permettre à chacun l’exercice d’une liberté éclairée ». Discuter, par conséquent avec les élèves qui le souhaiteraient quel que soit leur âge, sur le sujet du mariage homosexuel.

Rien que de très banal, mais cela suffisait pour déclencher les fureurs des tyranneaux gauchistes, ministre en tête. Écoutez-le hurler à la violation de la « neutralité ». Oubliant que SON école est tout sauf neutre, que c’est un instrument d’asservissement idéologique entre les pattes de la gauche. De fait, les tyrans ont peur que le Peuple discute ses orientations : chercher à comprendre, c’est commencer à désobéir, et pour un socialiste désobéir c’est s’opposer à sa conception du « Bien ». Au passage, je m’étonne que les électeurs des 700 mosquées qui ont très largement contribué à l’élection du calamiteux Soliveau-le-Minuscule ne renâclent pas. Pourtant leur religion n’est pas tendre pour les homosexuels qu’à l’occasion ils pendent, lapident, égorgent. Ce silence est un symptôme : si on laisse les gouvernants précipiter la décadence en favorisant la déviance, « on » aura beau jeu de dénoncer la perversion d’un système et d’offrir la charia pour solution « morale ». C’est dire que le débat est systématiquement étouffé, empoisonné juridiquement, désamorcé dès que l’on couine à « l’homophobie », interdit même d’examen scientifique. Et l’ennemi civilisationnel attend son heure.

En tous cas, le « parti du Bien » ne voit aucun inconvénient, lui, à violer la prétendue neutralité de l’École pour imposer sa loxodoxie. Le sieur Peillon n’a pas du tout tancé la dame Belkacem, ministricule des « droits de la femme » et écho parlant des imbécillités gouvernementales, pour avoir carrément fait une séance de propagande pro-homos dans un collège de Fleury-les-Aubrais (Loiret) devant une classe de quatrième, filmée par les caméras de BFMTV, pour vanter les mérites de ce projet de loi en faveur du mariage déviant. Si ce n’est pas une violation de la « neutralité », je me demande ce que c’est ! Mais, n’est-ce pas, le « naja » s’exprimait au nom du « parti du Bien », DONC elle avait toute légitimité. La preuve :

« Cela veut dire que finalement pourront se marier des gens qui s’aiment, même s’ils sont de même sexe, ce qui n’est pas le cas jusqu’à présent. Cela va permettre plus d’épanouissement. Plus de liberté. Plus d’égalité dans la société. Il faut comprendre ça comme une avancée ». Typique de l’imbécillité gauchiste. A) L’alliance n’est pas le désir, le mariage n’est pas l’amour. Confondre l’attirance avec le contrat, c’est fausser dès le départ le  jeu social. B) Personne n’a jamais empêché les homos de s’aimer : on s’en fout, à vrai dire. C) « l’épanouissement », cela ne veut rien dire. Si s’épanouir c’est se livrer sans retenue aux plaisirs, alors les bêtes sont supérieures aux hommes, car les animaux ne sont pas pervers. D) « égalité » ? C’est un mot creux chez les socialistes, surtout quand on constate comment la « justice » de Bitaura traite d’une part une certaine catégorie de délinquants et d’autre part les patriotes. L’égalité ? Foutaise ! Surtout lorsque la caste bobotique s’en fout plein les poches avec de l’argent extorqué aux contribuables. Belkacem, tu mens, tu dis des conneries. E) « une avancée » !!! Donc on continue à croire que l’idologie de gauche améliore l’humanité. Mais faut-il être con, après avoir connu les atrocités du XXe siècle, pour croire à un possible « progrès humain » ? On ne changera pas les hommes, Najat ! Et surtout pas en en faisant des carpettes soumises à Sa Bouffissure l’État, forcément socialiste.

Si Peillon n’y voit pas une intervention incitative de l’Etat, ni une instrumentalisation des jeunes esprits en faveur du mariage-gay et de l’adoption, c’est qu’il est aveugle !! Mais, en fait, il n’est pas aveugle : c’est un malandrin comme tous les gibiers de potence qui nous gouvernent. Chaque jour qui passe rend de plus en plus urgente la nécessité de s’en débarrasser.

Raymond.

(1) Loxodoxie : néologisme dû à Vautrin. Si l’orthodoxie est une « doctrine droite », étymologiquement, la « loxodoxie » est une doctrine en biais. Une déviance, donc.

 

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