L’enfer est, dit-on un lieu de souffrance éternelle. Admettons, même si l’on ne croit pas à ces fariboles religieuses. Mais ce n’est pas cela : en fait l’enfer est le lieu où sont concentrés les fous pour leur insanité et les imbéciles pour leur bêtise. Telle est la France qui persiste malgré l’évidence à se draper encore dans les guenilles des « drwâââ de l’ohm ». L’actualité minable nous en inflige à chaque instant la preuve.
Parlons d’abord de ce que masque toute la comédie socialiste du mariage et de l’adoption par des altérés : la déconfiture économique, qu’accélère dramatiquement l’incompétence encyclopédique des idiots et forbans qui gouvernent ce pays sans aucune légitimité. Là, chaque foyer français -en dehors de la caste bobotique, pour le moment – l’éprouve au jour le jour, et curieusement je ne trouve personne, chez mes interlocuteurs, pour défendre les brigands qui nous gouvernent. Étonnant, car si 61% du corps électoral n’a PAS élu le misérable brimborion de l’Élysée, même si celui-ci se vêt de légalité candide et de lin blanc sale, il y a tout de même 39% d’abrutis qui l’ont porté au pouvoir, par un pur déni de démocratie et de légitimité. L’idiot et sa bande de rufians régissent ce pays et le conduisent au néant. Où sont passés ces 39% de crétins ? Quelque chose leur aurait-il ouvert les yeux ? Qu’est-ce qui explique que selon un sondage en ligne du Figaro portant sur quelque 30 000 réponses, à 92,10% les gens ne croient pas du tout que Molle-Hand pourra inverser la courbe du chômage ?
Les citoyens prennent la mesure de l’incompétence économystique des socialistes. Mais reconnaissons -non pas à leur décharge, mais à la charge de toute la secte politicarde- que le choix des candidats élyséens était d’entrée de jeu grevé par un vice fondamental : l’étatisme. Par cette curieuse inversion des facteurs qui voudrait que l’État soit la solution, alors qu’il n’est rien d’autre que LE problème. Ce qui fait que le citoyen conscient et intelligent n’avait le choix qu’entre l’abstention, la peste ou le choléra. Dans tous les cas, le « double-bind » qui enferme dans un cercle vicieux, ne pouvait que produire des effets désastreux. Nous y sommes !
Alors on amuse le peuple non plus avec du pain -il n’y en aura bientôt plus- mais avec les jeux du cirque. Premier jeu : l’ajustement habituel des paramètres de machines obsolètes, bricolages idiots destinés à foirer dès le commencement : le système de sécurité sociale, les retraites, les allocations familiales. Personne n’ayant encore compris qu’il fallait dynamiter ces biglotrons débiles, les socialistes ont beau jeu de jouer les durs en ajustant un peu plus les paramètres, comme sans doute on a essayé de le faire pour la centrale de Tchernobyl. Paf dans la gueule ! C’est ce qui va se passer, et il n’y a pas besoin d’être devin pour le prédire. Ils ont beau jeu : abrutis d’étatisme, les Français n’imaginent même pas qu’ils pourraient avoir l’entière responsabilité de leur santé et de leur avenir. Pire : évoquer même cette responsabilité leur flanque une trouille bleue, tellement ils sont conditionnés par le Tout-État. Alors ils raquent, acceptent de payer toujours tant et plus. Jusqu’à la ruine totale. Et même à ce stade final, réagiraient-ils ?
Second jeu : les guignols. On ressort l’idiote dinde du Poitou-Charentes dont on fait un responsable de la stratégie de la Banque Publique d’investissements. Un stratège, cette endive ? Mais à côté d’elle, le général Gamelin était Napoléon ! Mais, bon, hein, il faut bien que Soliveau le Second place ses anciennes maîtresses, l’une à la BPI, l’autre à la Mairie de Paris, la troisième, carrément, dans sa carrée élyséenne. C’est ce qu’on appelle une présidence « normale ». Autre guignol : l’incontinent don-juan DSK dont on nous régale des démêlées judiciaires avec une de ses anciennes conquêtes. Ce qui fait dire à mon fils : « Hollande, c’est une huître, DSK une tortue ». Pas mal vu ! Encore que je me demande si une tortue peut être sexuellement incontinente… Troisième jeu : un Montambour outré de la lettre du PDG de Titan, qui lui balance la réalité en pleine gueule, et qui trouve le moyen de dire bêtement : « t’a’r’ta gueul’ à la récré ! » en brandissant la menace des gabelous. Pitoyable !
Quatrième jeu, carrément ignoble : on rend (et disons que c’est justifié) un hommage national aux deux malheureux policiers tués par des ordures banlieusardes et trafiquantes. En temps « normal » (pas dans le temps de Normal 1er !!!) ce serait digne et sain. Mais quand on voit les véritables responsables de cet état de fait, cette gauche et ce gouvernement de rencontre, jouer les pleureuses, on a envie de hurler : « pas vous ! » Quand on a un garde des sceaux ultra-tolérant envers cette frange allochtone et criminelle et prompte à remplacer la population carcérale par les patriotes, on se dit qu’on est dans une véritable tyrannie, et qu’à côté le régime de Pétain était de la petite bière. C’était au Peuple de rendre hommage à ces agents morts dans l’accomplissement de leur devoir, face à l’ennemi intérieur, pas aux fauteurs de troubles !
Cinquième jeu : voilà les merdias pleurnichant la mort du dénommé Hessel, et l’inévitable Hollande, ainsi que le non moins inévitable Zayrault, célébrant ce vieux gâtochant, pro-palestoche-hammassiste et tout heureux d’une notoriété usurpée grâce à un poulet excitant d’imbéciles zindignés (tous de gôsh), héros d’une passivité et d’un gandhisme pour fumeur de shit, on a envie de rire. Ou de vomir. Qu’est-ce qu’a apporté ce vieux guignol ? Peut-être fut-il en son temps un Résistant, je l’admets, mais, selon le mot du Général, « la vieillesse est un naufrage », et le pire naufrage est de sombrer dans l’idéologie gauchiste. Ce gusse-là a une responsabilité morale, au même titre que Brasillach en son temps : quand les écrits d’un crétin entraînent à mal faire, il y a crime.
Sixième jeu : il est tellement intéressant d’agiter le chiffon rouge du mariage et de l’adoption homos que, contrairement à la Constitution et à la loi, les lavettes du Conseil Économique, Social et de l’Environnement ont refusé la recevabilité de la pétition civique signée par 700 000 citoyens, visant à faire réexaminer le projet de loi. Les pleutres avaient des instructions et des menaces précises venant de Matignon, on le sait, et ont préféré leur gentil plaçou financé par l’argent public plutôt que de prendre le risque d’agacer les salauds qui gouvernent. Il y a là évidemment un déni de démocratie, une violation des lois, bref : une forfaiture de plus, et je me plais à imaginer trois millions de citoyens prenant d’assaut l’assemblée, matignon et l’élysée (pas de majuscule pour ces officines pourries) et jetant par les fenêtres cette caste décadente. Las ! Ce n’est qu’un rêve. On a châtré les Français, et les seuls couillus, on veut les jeter en prison. Méfiance, tas de salopards, un jour il y aura retour de bâton, car on ne peut pas châtrer tout un corps électoral. L’ennui est que le bâton risque de ne pas être celui qu’il faudrait.
Le prochain chiffon rouge sera, on s’en doute, le vote des allochtones. Mais d’ici-là, la catastrophe sera peut-être arrivée, et les vauriens auront des comptes à rendre. Si nous pouvons les attraper, car il y a lieu de penser qu’ils auront pris la poudre d’escampette, de peur de payer leurs forfaits.
Bref : nous vivons une tyrannie (pas une dictature !). Soliveau est trop petit pour être Néron ou Caligula, mais il en a les principes et les vices. Et puisque le Peuple est encore en-deçà de l’horizon, en attendant, je conseille à mes propres enfants, et à tous ceux de nos jeunes qui voient bien que les carottes sont cuites dans cet enfer socialiste, de quitter ce pays dévasté et d’aller chercher ailleurs par le monde les conditions favorables pour exercer leurs talents. Il n’empêche : désormais, il n’y a aucun motif d’obéir aux voyous qui martyrisent ce pays, ce sont des hors-la-loi. Quiconque respecte la loi socialiste est un traître.
Finissons par le futur Pape. Mon vœu est qu’il soit parfaitement anti-islamique et que ce soit un Pape de Croisade.
Et j’emmerde la gauche, le prophète et la bien-pensance.
Raymond.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !