Les grenouillages socialistes montrent de manière éclatante que cette clique de forbans a les miquettes. On les aurait à moins, quand un président Soliveau se trouverait, selon l’IPSOS, à 26% d’opinions positives contre 70% de désaveu. Ce qui, grosso-modo, correspond aux chiffres des législatives de juin, reportés à l’ensemble du corps électoral.
Un exemple de cette panique : figurez-vous que le lundi de Pâques, une douzaine de personnes ont été verbalisées pour avoir innocemment arboré des « sweet-shirts » au logo de la Manif’, représentant une famille normale, papa-maman et deux enfants. Une vrai provocation, pensez-donc, alors que les débris siégeant au Sénat se penchaient -jusqu’à tomber dans les égouts- sur la loi cannibale de Bitaura officialisant la déchéance des familles ! Remarquons que la questure du sénat avait donné des ordres. N’empêche : les poulardins des socialistes ont été bien emmerdés pour trouver des motifs à verbaliser : « port d’une tenu contraire aux bonnes mœurs » (évidemment, une famille normale, c’est contraire au fascistement correct !), requalifiée en « organisation d’une manifestation ludique dans le jardin du Luxembourg sans autorisation spéciale » (le père de famille ayant organisé pour ses enfants une chasse aux œufs de Pâques !). Tout à l’avenant, voir les détails dans Le Figaro. Les fascistes gauchards ne manquent pas d’imagination pour faire du citoyen un abominable délictueux… et pour ficher la paix aux vrais délinquants et aux criminels, n’est-ce pas, Bitaura ?
Ce régime pourri empoisonne l’atmosphère par les miasmes de sa décomposition. Cela n’empêche pas les pitres gouvernementaux de faire « comme si de rien n’était » : Rodomontambour et Zayrault, par exemple, font du tourisme en Indre-Et-Loire. Là, les sifflets de la Manif’ les accueillent à Montlouis, ils filent vite sous un hangar, parlent d’autre chose, se vantent de « ne pas renoncer à l’essentiel, redresser le pays, sauver notre modèle social en le réformant… » Évidemment ! On sauve le pays en taxant les entreprises et le peuple, en provoquant les délocalisations. On veut absolument sauver un « modèle social » qui ne peut plus du tout fonctionner, c’est-à-dire qu’on veut continuer à utiliser l’argent extorqué aux citoyens pour nourrir des prébendiers oisifs et paresseux (quand ils ne sont pas franchement nuisibles !). Rien de nouveau sous le ciel miteux des socialistes. Mais, raconte-t-on, malgré ces rodomontades, il paraît que les deux compères avaient « la tête ailleurs ».
Mais rien n’y fait : le pouvoir des forbans se sent menacé. Alors on couine qu’on va voir ce qu’on va voir, « moraliser la vie politique » en légiférant dans l’urgence : une loi pour le 24 avril. Oh ! Soyons tranquilles, ça n’ira guère plus loin que d’exiger que les élus fassent état de leur patrimoine et soient inéligibles s’ils… Si quoi ? Il est facile de sous-estimer son patrimoine, et le monarque lui-même le fait quant à ses propres biens. En fait, comme prévu, on donne ici et là un petit coup de plumeau, on cache la merde au chat sous les tapis, et on continue comme avant, de magouilles en prévarications. Il est vrai que si une véritable règle de morale était instituée, les effectifs de la caste politique -et pas seulement dans sa composante gauchiste – seraient divisés par dix. Cela voudrait dire que des gens honnêtes, issus du corps politique, devraient prendre la place des pourris. Pas de ça, Lisette ! Donc : poudre aux yeux, on va donner des hochets à ce con de peuple, et basta.
La solution, bien entendu, serait d’effectivement renvoyer la caste politique méditer en prison sur ses turpitudes, et d’opérer une véritable révolution libérale – au sens où Bastiat entendait ce vocable de « libéral », rien à voir avec un régime de monopoles soutenus par l’État. Mais les esprits ne sont pas préparés, les citoyens étant tombés tout petits dans l’infâme marmite de l’étatisme. La preuve : les deux composantes extrémistes du fascisme semblent être confortées par la pagaille au sommet du pouvoir. La composante stalino-fasciste, notamment, hurle comme une meute de carnassiers enragés. Le grand Méchant-Con appelle à manifester en mai et à forcer Marianne à entrer en sixième. On peut imaginer ce que serait un régime sous la botte du grand admirateur de tout ce que l’humanité a engendré de putride : Mao, Pol-Pot, le hamas, Castro, Chavez… Le plus rigolo, c’est qu’au grand dam de ses complices escrolos, la gremlin Effa Cheuli, d’une voix de peloton d’exécution, appelle à soutenir la marche fasciste de l’apprenti Pol-Pot. Voilà une pavasse dans le jardin plein de ronces des escrolos, qui, ayant très probablement des tas de magouilles à se reprocher, font profil bas.
Pendant ce temps, la décroissance s’installe, le chômage grimpe dans les chiffres. Résultat d’une intoxication des citoyens par l’étatisme : il y a un an, aucune alternative n’était proposée à la double-contrainte du choix entre la peste et le choléra. D’où un système totalement bloqué, qui a conduit le pays à sa perte. Aussi, la situation politique, ainsi que nous l’avons dit, est-elle aujourd’hui extrêmement dangereuse. Au lieu d’avoir pour perspective le dégraissage drastique de l’État et son confinement dans ses rôles régaliens (défense, sécurité, diplomatie), ce qui se profile à court terme est un totalitarisme assez semblable à ceux d’Hitler ou de Staline. Éventuellement mâtiné de charia. Comment voulez-vous qu’il en aille autrement, dans un pays où deux actifs sur cinq sont fonctionnaires ?
L’Angleterre vient de perdre Margaret Thatcher, libérale qui avait bien compris que le socialisme des Travaillistes avait ruiné son pays, et fit en sorte de redresser la situation Nous n’aurons jamais de « Dame de Fer ». Les dames qu’on nous propose, ce n’est que de la volaille hargneuse de basse-cour. Mais que faire contre cette malédiction, alors que les citoyens abrutis de propagande, endettés, gavés encore pour un temps (très court, désormais !) de sur-consommation demeurent devant leurs écrans aussi plats que leur encéphalogramme ? Puisqu’il n’y a pas de solution, les libéraux n’étant qu’une poussière infime dans le monde politique, le mieux est de dire à nos jeunes : « Quittez ce pays, il n’y a plus d’avenir pour vous ici ! ». Et à nos vieux les plus conscients : « Crevez, mais après avoir saboté autant que faire se peut la machine fasciste ! »
Raymond.
Share
Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !