Les socialistes ont la gueule de bois, mais ils sont toujours nocifs

MG42bisHier, je n’en croyais pas mes yeux. Je pensais qu’une malheureuse fois la loi perverse promulguée par le coq de village déplumé, notre Tea-Party à la française allait être démobilisé, dégoûté, relégué dans un coin à lécher ses plaies. Déjà, les pharisiens de pseudo « droite » songeaient à leur avenir électoral : Lellouche, UMPS bon teint, disait même que la droite, si elle parvenait à reprendre l’avantage, ne remettrait pas en question l’attentat fait aux fondements de la société. Même la mère Frigide, qui semble elle aussi avoir poussé de longues dents en surfant sur la vague d’indignation légitime, actionnait les rétrofusées. On avait le sentiment que les rats quittaient le navire, préoccupés uniquement de leur survie politique et se fichant complètement du sort de la Nation. Ce qui est vrai.

De leur côté, les fascistes du gouvernement en rajoutaient. Le caudillo n’avait-il pas débagoulé, au cours de son précédent laïus devant la presse du Propaganda Staffel : « Oui, la France peut aussi continuer à porter la promesse de l’égalité (…) Cela a été le sens de la loi sur le mariage pour les couples de même sexe. J’ai voulu un grand débat (…) Ce débat a eu lieu. Longtemps (…) Ce débat était légitime et toutes les opinions doivent être respectées, toutes les sensibilités ». Il ne manque pas d’air, le Franco Hollandouille ! Sa coterie fasciste, désireuse de faire un écran de fumée pour cacher la merde au chat économique et fiscardier, a, au contraire tout fait pour qu’il n’y ait pas de débat, et surtout pas de référendum. Les aboyeurs habituels, toute la voyoucratie « progressiste », les accapareurs, les prévaricateurs, les pervers, avaient mené une campagne tonitruante de propagande, agitant le vieil épouvantail de « l’extrême droite » faite de riches et de cathos réacs. Manque de pot ! Les citoyens n’ont plus peur du loup invoqué par les mauvais Bergé tondeurs de moutons !

Donc un million de citoyens, hier, sur l’esplanade des Invalides. M’est avis que le compte-fils de la police politique est un tantinet faux, puisque les sbires de Beauvau annonçaient… 150 000 pègreleux ! Il suffit de regarder les images, pour se rendre compte de l’énormité du mensonge. En réalité, les socialistes font dans leur culotte, et je rigole bien en voyant que les Identitaires ont réussi à placer une banderole « Hollande démission » au saint des saints du fascisme, à la grande fureur du repris de justice Bronx-Jouissance ! Les citoyens ont infligé un cinglant démenti à la fois aux gouvernementaux et aux couilles molles de la droite tout aussi molle. D’ailleurs, un sondage en ligne du Figaro (21895 réponses lorsque nous l’avons consulté) se prononçaient à 71,55% pour l’abrogation de la loi perverse.

La colère haineuse des facho-socialistes s’est montrée dans toute sa violence. Il suffit de consulter les chiffres : la racaille envahit le Trocadéro, les « bousculades », comme dit De l’Âne Ohé, occasionnent plus d’un million d’euros de dégâts. S’en fout la mort : l’embrayage ne demandera pas cette fois réparation aux vrais casseurs, on n’interpelle qu’une quarantaine de « défavorisés » de gauche banlieusarde. Faut quand-même pas désespérer le 9-3, ce sont des clients, on est venu au pouvoir avec leurs voix. La Manif, elle, se disperse bien en ordre, mais on se débrouille pour ourdir quelques provocations flicardes, il y a non plus des « bousculades » mais des « heurts », et la volaille de Valls alpague 300 citoyens en colère. Pas photo : la disproportion est à la hauteur de la trouille des socialistes et de leur haine du peuple, lequel est condamné à voter, payer et la fermer quand on vandalise sa société. Ils auront beau claironner, ces traîtres, qu’il faut respecter les lois de la république : ils sont les premiers à les violer, témoin la manière dont l’ignoble loi Bitaura a été imposée, témoin les combines et magouilles des fédérations socialistes poursuivies par la justice. Et cette lie voudrait nous donner des leçons de morale et de démocratie ? A d’autres !

A défaut de taper sur la clientèle vandale des socialistes, Valls se venge sur les citoyens – à mon avis trop respectueux du tabou des « lois républicaines » : in der Not frisst der Teufel fliegen , le diable bouffe des mouches quand il est dans la dèche. N’empêche : les vauriens pensaient qu’une fois leur forfait perpétré, le peuple mis devant le fait accompli, les choses allaient se tasser. Il n’y a pas d’apparence qu’il en aille ainsi : le caudillo de pacotille a ouvert une fracture durable dans la société, entre les 29% qui, la peur aux tripes, essaient de faire bloc autour de lui (il paraît qu’il aurait regagné 4 points à ne rien faire !) et les 71% d’autres qui ne souhaitent qu’une chose : qu’il foute le camp vite fait et qu’on abroge ses lois à la con.

Il aura beau faire : même si les marchés internationaux marchent à fond, même si une fausse embellie de quelques jours semble se dessiner dans la finance internationale, sans que le brimborion socialiste y soit pour quelque chose, d’énormes bulles financières gonflent : quelque jour elles vont péter, et alors la France dérouillera d’autant plus que sa dette est faramineuse et que 57,2% du PIB sont extorqués par l’obèse état socialiste pour financer les paresseux qui, à raison de 200 000 mâchoires annuelles (chiffre officiel !), viennent bouffer à la gamelle du « social ». Donc l’heure des comptes approche, sire Soliveau, et il est heureux que notre peuple commence à se réveiller. À cet égard, il est réjouissant que les jeunes Veilleurs continuent à mener la résistance, en chantant Le Chant des Partisans. C’est bien, ce n’est pas assez : le chant de guerre dit : « Montez de la mine, descendez des collines, camarades/Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.» Nous ne pourrons plus différer davantage l’affrontement violent.

D’autant moins que les adeptes du chamelier infernal lancent l’offensive, aux USA, mais aussi en Europe : Londres Stockholm, la France. Et là ces fripouilles islamistes sont bien obligées de jeter le masque : jamais la bien trop tolérante et permissive société suédoise n’a colonisé les terres de cailloux et de scorpions. Mais elle fait comme nous (ou nous suivons stupidement son exemple) : elle accueille les claque-becs fainéants, incapables de développer leurs pays d’origine, par paresse, incapacité et corruption, aux frais des contribuables locaux. Et voilà que cette société imbécile en prend plein la gueule de la part des chers « défavorisés » (tu parles ! à coups de millions de couronnes ou d’euros !). Alors qu’on ne nous emmerde plus avec cette fable idiote des pôv’ mecs qui se vengent de la colonisation : on leur a donné à bouffer, on les a soignés, sans nous ils se seraient entretués et cannibalisés, et ils osent nous emmerder ? Mais la seule réponse, c’est de leur envoyer des gnons à proportion de leur connerie outrecuidante : le djihad, ils peuvent se le foutre où je pense, et marre c’est marre !

Il y aura donc, c’est normal, c’est fatal, des réactions contre les affreux. Mais, hé ! Les « citoyens » de papiers sont des électeurs de gôche, donc, de peur que le peuple ne leur botte le cul, on protège leurs mosquées et on embarque en tôle les mécontents. Un de ces jours, gauchistes, je vous le prédis, ça va exploser, et vous en prendrez autant sur le pif que votre clientèle. Et ce sera justice. J’espère simplement qu’on n’attendra pas trop longtemps pour vous virer.

Raymond.

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