Recette du gâteau du 14 juillet : prenez une bande d’escarpes, de maquerelles et de rufians, vous en faites une caste politique. Réduisez en bouillie électorale, dont vous prélevez 39% auxquels vous ajoutez une pincée de niais, un bouquet d’incapables et une grosse louche de tyrans : vous obtenez un gouvernement socialiste.
Ces rombiers-là n’hésitent pas à se précipiter comme des hyènes sur le site d’un déraillement mortel, afin de se goinfrer de caméras. Un prétendu « président » est là avec son ministre des déraillements et pleurniche : ça fait bien, ça fait croire au bon peuple que l’on est près de lui, que l’on compatit, hou là là ! Mais curieusement, on dirait qu’une consigne de silence a été passée pour ne pas parler de ce que Nathalie Michel, du syndicat policier Alliance, a déclaré sur Europe 1 : des pillards auraient détroussé cadavres et blessés et caillassé policiers et pompiers venus les virer. Dans un pays ou le garde des sceaux prône le laxisme envers une certaine catégorie de délinquants bien de pas chez nous et, au contraire, l’extrême rigueur contre les manifestants opposants à une loi scélérate, rien d’étonnant. Circulez, y a rien à voir, sauf le président compatissant !
Dans cette cour des Miracles, je distinguerais volontiers la dénommée Karine Berger, députés socialiste. Polytechnicienne, « spécialiste » des statistiques, la da-dame se prend volontiers pour une égérie du gouvernement socialiste : « Ma voix a fortement porté et le président de la République l’a entendue. De même pour la loi bancaire. J’avoue que cette capacité à faire bouger les lignes dès la première année de mon élection a sans doute surpris… C’est aussi le fruit de ma motivation, de mon ambition et de mon énergie. » Si ce n’est pas de la mégalomanie, ça… Mais l’important est que cette volaille n’exagère pas autant que ça ! En effet, elle est de ceux qu’écoute le gouvernement de rencontre : on préfère 30 milliards d’augmentation d’impôts à 10 milliards de cure d’amaigrissement de Sa Bouffissure l’État. Prétexte, explique la dame qui croit à « l’impôt heureux » : « L‘effet récessif est plus fort à court terme quand on baisse les dépenses publiques que quand on augmente les impôts. C’est simple : réduire de 1 euro la dépense publique, c’est immédiatement retirer 1 euro de marché, de débouché aux entreprises. En revanche, selon l’impôt qu’on augmente de 1 euro, l’impact négatif peut être soit immédiat, soit beaucoup plus retardé. Par exemple, 1 euro de fiscalité sur des ménages à très hauts revenus est prélevé sur leur épargne et pas sur leur consommation, donc à court terme, cela n’a pas d’impact. » Comme quoi on peut être polytechnicien et parfaitement con ! Car tout au contraire, l’expérience montre que l’impôt provoque la récession et que réduire les dépenses étatiques, en faisant baisser l’impôt, incite à l’investissement privé. Pas besoin de sortir de Polytechnique pour le comprendre. En attendant, nous venons de perdre le dernier « triple A », celui que Fitch Rating nous réservait encore.
Bon, donc on taxe. Et on augmente de 5% le prix de l’électricité. On me dira : ouais, faut bien moderniser les centrales nukes. Sans doute, mais il y a quelque chose de vicieux dans cette affaire. Il ne faut pas oublier : EDF appartient à un gros actionnaire, Sa Bouffissure l’État, auquel il verse annuellement 84% de 2 milliards d’uros de dividendes, soit 1,68 milliards. Ça ne vous dit rien ? Eh bien ! C’est autant de moins pour l’investissement de l’entreprise, et une véritable manne pour les Bercy-pirates. Quand on gruge ainsi une entreprise et, via celle-ci, les foyers et les entreprises qui consomment l’électricité, y a pas d’raison de s’en priver et de diminuer la dépense publique. Énorme arnaque, qui fait souhaiter une réelle dénationalisation et l’instauration de la concurrence dans le secteur de l’énergie. Ça marche si bien, cette carambouille, que Zayrault va encore taxer de 5% supplémentaires en 2014 et 5% de plus en 2015. Carrément ignoble. Pas que je sois un défenseur du « pouwardacha », car c’est d’abord l’augmentation de la richesse générale qui le crée et non pas lui qui crée la richesse. Nos énarques et polytechniciens socialistes, décidément, ont Zayrault en économie !
En cette veille de la fête nationale, nous sommes décidément très mal partis, la récession est bien installée, et toutes les mesures socialistes vont dans son sens.
J’aimerais toutefois, pour terminer ma diatribe, revenir sur ce que notre Camorra appelle la « loi perverse ». Un homosexuel s’adresse au sire de Tulle. Ce qu’il dit comble d’aise notre ami Vautrin qui soutient que l’homosexualité n’est pas un choix, mais un trouble qui occasionne de la souffrance. Je cite : « Là, je suis directement concerné, puisque je suis homosexuel. Du coup, j’ai pleinement ressenti le message de haine que vous m’avez adressé à travers la loi Taubira.
Message de haine, oui ! Une haine clairement discernable derrière le discours officiel (compassion, justice, égalité des droits,…) – cette haine froide qu’on appelle ordinairement : indifférence, égoïsme, mépris absolu.
Pourquoi, Monsieur Hollande, pourquoi cet empressement à prendre au mot l’infime minorité qui réclamait le « mariage gay » ? Pour payer vos dettes de campagne envers M. Bergé ? Sans doute. Mais aussi, et surtout, pour ne pas avoir à entendre le cri de détresse caché dans cette revendication farfelue. C’est tellement commode, n’est-ce pas ? On prend au mot, pour ne pas avoir à entendre la véritable demande. Et hop : l’euthanasie ! Et hop : le « mariage gay » !
La réalité, Monsieur le président, c’est que beaucoup d’homosexuels sont des blessés. Des blessés de la vie. Ils souffrent de leur état. Un certain malaise interne les avertit, plus ou moins clairement, qu’ils ont, en eux, quelque chose de déréglé. C’est d’abord la compassion qu’ils attendent.
Je vous entends d’ici : Pas du tout. L’homosexualité n’a rien d’une blessure. Regardez ces milliers de gens qui défilent chaque année lors de la Gay-Pride pour afficher à la face du monde leur fierté, leur joie, leur béatitude d’être homosexuel ! »
(…) Pas besoin d’être grand psychologue pour comprendre que la fierté ultra-affichée des militants gay, et leur extrême susceptibilité, cachent une blessure intérieure. Une blessure que je connais bien, monsieur le président, pour en souffrir moi-même. Je me rends compte qu’il y a en moi quelque chose d’anormal. Et je comprends très bien qu’on puisse, par fierté, se raidir contre ce constat. Surtout si d’autres personnes sont venues – consciemment ou inconsciemment, par maladresse ou par cruauté – appuyer là où ça fait mal. Réaction de fierté : Même pas mal ! Récupération immédiate du président au cœur sec qui ne veut surtout pas avoir à se soucier des autres : Vous voyez bien qu’il n’a pas mal ! »
Cette lettre pathétique méritait d’être citée et pensée.
Alors, le petit bonhomme qui dimanche va « passer en revue » cette Armée qu’il achève de démanteler – dans la stricte ligne du socio-chiraquisme ! – non seulement n’a aucune compétence, aucune légitimité, mais n’est rien d’autre que le représentant d’une caste d’imbéciles m’as-tu-vus qui marchent au carburant idéologique le plus frelaté. Triste 14 juillet ! Et le Propaganda Staffel va encore débiter sur les ondes une haute densité de conneries au mètre cube d’air brassé.
J’espère que la Manif’, les Veilleurs, mais aussi tous les Patriotes, feront en sorte que ce jour-là, par divers moyens, s’exprime la colère du peuple. Nous mettrons les drapeaux en berne, jusqu’au jour où plus aucun socialiste ne sera en mesure de gouverner. (Ouais…Ça risque prendre du temps !)
Raymond.
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Chez Books on Demand (BoD)

Excellente approche anthropologique de l'immense différence entre les femmes Russes et les horreurs quérulentes à cheveux bleus de chez nous.

Livre truculent, dont il faut retirer " la substantifique mœlle". Lorsque tout fout le camp, que faire ?
À lire pour rire et réfléchir !
Très instructif. À méditer !
D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils vu ? Quel est le combat ?
Pensée et testostérone !



Insigne des Masques Jaunes :
adoptez-le, portez-le !






Bon ! À vos portefeuilles !





ASSEZ DE BARBARIE !!!

et toutes les formes de fascisme dont le socialisme.
Notre "antikons" a le droit d'aînesse :)
Que de tels mouvements naissent chez nous et dans toute l'Europe !