Exit Mandela : quam gaudet Diabolus !

Heil BitauraMandela de cujus : dégoûtant déballage d’éloges sirupeux de la bien-pensance qui se proclame anti-raciste, mais pas du tout capable de reconnaître le racisme anti-Blancs, sous prétexte qu’un ancien colonisé ne saurait être raciste. Ben voyons !

Le type que les philistins portent aux nues était un chef terroriste et l’ANC une bande d’assassins et de pillards. Rien d’étonnant, donc, que l’Afrique du Sud connaisse aujourd’hui une insécurité inimaginable. Rien d’étonnant non plus qu’elle connaisse ce que certains économistes pudiques appellent une « crise de croissance » à laquelle la dégradation des infrastructures contribue fortement, tout comme l’incompétence de la nomenklatura ANC. Que l’on se souvienne également des crimes de Winnie Mandela. Que l’on sache aussi l’existence, au sein des terroristes d’Afrique du Sud, de la tentation du Zimbabwe, qui massacre ses fermiers Blancs et se condamne à la famine.

Je cite ici une contribution de Vautrin :

« Il faut avoir connu l’Union Sud-Africaine « avant » et « après ». Le pays se développait à toute vitesse, malgré les terroristes de l’ANC. Johannesburg n’avait rien à envier aux métropoles de l’Amérique; d’avion, on voyait la campagne avec des fermes et des champs labourés; de loin en loin, de centrales électriques…

C’était trop, sans doute, car l’émergence d’un pays développé en Afrique, qui aurait, entre autres choses, prouvé que ce continent n’est pauvre que par paresse et désordre, cela gênait certaines puissances occidentales. La concurrence, on n’aime pas cela; alors on s’est abrité derrière des idiots utiles bien-pensants. Pensez donc ! « Ils » ont fait des bantoustans ! Oui, mais j’ai aussi visité deux d’entre eux, le Lesotho et le Botswana, et ces pays avaient l’air de bien fonctionner, bien mieux que les pays d’Afrique de l’Ouest que je connaissais.

L’Amérique yankee et son ONU ont gagné : l’Afrique du Sud est en voie normale de sous-développement, comme il sied, pourrait-on croire au vu de la politique occidentale, à tout pays d’Afrique. Il me souvient que la diplomatie française de l’époque (je parle des années 80-85) avait pour instruction de préférer Soweto à Pretoria.

Il faut aussi avoir connu l’ANC. J’ai souvent rencontré ses sbires, réfugiés au Ghana (Michel’s Camp, sur la route d’Akossombo). Si vous saviez comme c’étaient de merveilleux démocrates amis des « droits de l’homme » ! Tenez, Winnie Mandela elle-même était certainement une grande sainte !

Encore un point : on dit que la terre est au premier occupant. Ce qui est sans doute idiot : elle est à celui qui la met en valeur; mais il se trouve que les Afrikaners étaient sur place avant les Bantous et qu’ils ont mis cette terre en valeur. Et nos propres calvinistes dès 1652. (Voir « L’Afrique, choix de lectures de géographie », de M.L. Lanier, éditions Belin, 1887). Qui sont donc les spoliateurs ? »

Naturellement, nos anti-racistes professionnels et fortement financés par l’argent que nous extorquent les socialistes et leur fisc récupèrent la triste momie Mandela. La dame Bitaura ne manque pas d’en profiter. Ils espèrent sans doute faire oublier les gros flops de leurs « manifestations » récentes, destinées à faire oublier, sous prétexte d’une « montée du racisme » parfaitement imaginaire, les déprédations et spoliations de la clique hollandienne et de ses complices. Pauvres nouilles, le Peuple ne les suit plus sur les chemins de l’hystérie !

« Bref, conclut Vautrin, que la bien-pensance continue à déverser ses éloges sirupeux et vomitifs au spectre de Mandela, je m’en moque : je n’allume jamais la radio et n’ai pas la télévision. Mais je me dis, ce soir, que le Diable doit bien rigoler dans son coin ! »

Quam gaudet Diabolus !

Raymond.

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