Contre nous de la tyrannie…

Bénito Valls small« Sinistra » : la gauche ; de là viennent toutes les catastrophes. Et les gens de gauche sont des SDF : Sectaires, Dévoyés, Fascistes. Car c’est bien de fascisme qu’il s’agit, comme l’a expliqué Vautrin (Hé ho ! Citoyen Sacha !  Nous attendons ta quatrième leçon sur le fascisme !).

De quoi s’agit-il ? Une poignée de fanatiques, inspirés par des officines comme Terra Nova, profitant des énormes défauts institutionnels, des failles constitutionnelles,  s’est emparée du pouvoir à tous les échelons, de la commune à la présidence de la République, et règne tyranniquement. Ce pouvoir illégitime met le pays en coupe réglée, distribue des prébendes à une clientèle électorale, ruine l’économie et tente d’instaurer le règne de la perversion qu’il considère comme le Bien.

Inutile d’évoquer ici la déconfiture économique : les faits parlent d’eux-mêmes, et chaque jour le citoyen voit se rétrécir son porte-monnaie comme peau de chagrin. Chaque jour les citoyens craignent de tomber dans la précarité parce que les entreprises ferment. Et presque plus personne ne veut investir dans un pays où le canon fiscal tire sur tout ce qui bouge, et où le « code du travail » dépasse le millier de pages.  Les rodomontades et les mensonges du pitre élyséen ne changeront rien à l’affaire.

Ces malfaisants suractivés de gauche ont un plan : la ruine générale de la France. Et ils s’y emploient avec constance et brutalité. Par le remplacement de population, d’abord : n’est-ce pas le César de carnaval, ministre de l’intérieur, qui favorise l’importation de populations sous-développées et pratiquant une religion infernale ? N’est-ce pas l’incroyable mansuétude pour les revendications insolentes de ces barbares, l’impunité totale dont bénéficient les petites racailles chassant en meutes, les millions octroyés aux banlieues perdues de la République, qui montrent avec clarté qu’il s’agit bien là d’un plan concerté ? Les socialistes savent ce qu’ils font, et ce qu’ils font est un crime de forfaiture d’abord, une trahison ensuite.

Ensuite, forts de leur pouvoir sans partage, ils s’attaquent à la famille. Sous couvert « d’égalité », ils nient totalement les pathologies de perversion, en mariant les pervers. Sous couvert « d’égalité » encore, ils s’apprêtent à faire bénéficier les pervers de la parentalité, sans se demander s’il n’y aura pas d’effets de bord. Pourtant, ces effets-là sont déjà connus. Sous couvert de « propriété du corps », ils favorisent des avortements autres que thérapeutiques. Sous couvert de « féminisme », ils pervertissent les jeunes esprits en propageant les « gender theories » nées du cerveau fêlé d’une décadente Française de rive gauche (Beauvoir) et reprises par des harpies fanatiques d’Outre-Atlantique. La vipère Belkacem et le ministre de l’éducation nationale n’expérimentent-ils pas dans 500 écoles ces théories du genre ? Ne figurent-elles pas (depuis l’UMPS Chatel) au programme de SVT en classe de première ?

Allez donc voir un peu à cette adresse, citoyens, ou à celle-ci, et vous verrez que les idéologues du genre n’hésitent pas à passer à l’action, charcutant la matière humaine comme le fit le sinistre Mengele des camps SS. Une femelle sénateur PS a même laissé sous-entendre que les enfants n’appartiennent pas à la famille, mais à l’État ! Nazis ou communistes nord-coréens ne disent pas autre chose. L’École, au lieu d’instruction publique, est en train de diffuser une propagande totalitaire, un bourrage de crâne immonde. Ils oublient une chose : l’École, au départ, c’était l’instruction publique, l’éducation étant réservée aux familles. Dans leur folie totalitaire, ces monstres se considèrent propriétaires d’institutions qui n’existent que par la délégation des citoyens et par leurs impôts. NOUS sommes propriétaires d’un État qui doit être notre serviteur et non pas notre maître, et des institutions, dont l’École. Et ces criminels s’offusquent lorsque le peuple descend dans la rue pour leur demander des comptes ? En quel pays vivons-nous ? Est-ce là une démocratie ?

IL FAUT LES ARRÊTER ! Je suis personnellement content que dimanche dernier se soit exprimée la colère, qu’aujourd’hui la Manif’ retrouve le pavé parisien et demande des comptes à ces vauriens. Naturellement, le fasciste Valls enverra ses sbires casqués gazer et matraquer, il suffit de quelques provocateurs merdeux du genre Méric pour que tout tourne au vinaigre. Mais je me dis que ce n’est ni par les urnes ni par les manifestations pacifiques que les tyrans accepteront de changer leur politique. Ils passeront outre, se gardant bien de demander son avis au peuple. Si un jour, au lieu de poussettes, les forces de la tyrannie trouvaient en face d’elles les fusils de l’insurrection, alors ce serait une autre paire de manches. L’ennemi civilisationnel nous a appris la bonne tactique : le harcèlement. Que chaque gauchiste, du président au dernier militant, soit apostrophé et sommé de s’expliquer, qu’il réponde de ses actes. Les campagnes électorales à venir fournissent pour cela une bonne occasion : puisqu’ils ne jouent pas le jeu de la démocratie, jouons le jeu de la guérilla et de l’insurrection maquisarde. Que les parents ayant compris combien l’École était désormais l’ennemie de l’enseignement et des familles refusent en bloc (ça commence…) la participation forcée de leurs enfants aux mascarades perverses du « gender ». Les enseignants conscients doivent être soutenus dans leur refus, les collabos harcelés, ministre compris.

Cela suffit ! Un vaste mouvement de refus s’est dessiné l’an dernier, partout, dans les familles, dans les entreprises… Il prend de l’ampleur : il doit se radicaliser !

Raymond.

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